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Camille Clemenceau ~ BRILLANTE ~

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AuteurMessage
Prodige
Camille Clemenceau
Camille Clemenceau



FC
▌SUPER: La Lionne
▌POWER: Manipulation des souvenirs
▌LEVEL:
Camille Clemenceau ~ BRILLANTE ~  Left_bar_bleue26/100Camille Clemenceau ~ BRILLANTE ~  Empty_bar_bleue  (26/100)


Camille Clemenceau ~ BRILLANTE ~  Vide
MessageSujet: Camille Clemenceau ~ BRILLANTE ~ Camille Clemenceau ~ BRILLANTE ~  Icon_minitimeMer 24 Avr - 11:57



Je fais la guerre !


Identité
Nom: Clemenceau
Prénom(s): Camille
Âge: 31 ans
Nationalité: Française
Profession: Vice-principale
Orientation sexuelle : Bi'
Phobie(s) : Même si elle ne se l'avouera jamais, finir seule


Identité Secrète

Année : Depuis le début
Niveau : A compléter après le passage d'un admin
Super peudo: La Lionne
Groupe : Personnel
Classe : Prodige
Combat : Rapproché & distance
Pouvoir : Manipulation des souvenirs
Maîtrise : 9/10
Explication : N'y a-t-il rien de plus personnel, secret, intime que les souvenirs qui constituent votre identité ? Ce sont eux qui vous façonnent, vous dictent votre conduite et votre façon d'être actuelle après des événements divers et variés dont vous garder la trace, quelque part dans votre esprit. Vous les pensez à l’abri ? Fatal erreur ! De vos souvenirs que je viole, je les prends, je les tords, je les efface, j'en fais ce qu'il me plaît. Oui, je peux m'immiscer dans votre for intérieur et lire tel un livre ouvert, tous vos souvenirs. Je peux les modifier, les altérer. Pire ! Je peux les effacer, soit temporairement soit définitivement selon ma concentration, l'impact affectif dudit souvenir sur vous et votre capacité à me résister. Car oui, vous pouvez me résister, enfin, vous pouvez toujours essayer, c'est un acte louable. Mais gardez bien à l'esprit, si je puis dire, que plus vous résisterez, plus la migraine vous prendra. Donc à moins d'aimer l'impression de recevoir un coup de masse sur le crane, ne résistez pas, cela n'en sera que moins douloureux et plus rapide.

Allons, ne faites pas cette tête, je suis obligé d'entrer en contact physique avec vous pour manipuler vos souvenirs, ce serait trop facile sinon !


✤ Si tu devais avoir...✤

Une arme : Cf, ici.
Un costume : Cf, ici.
Un gadget : Un monocle qui lui permet d’augmenter sa précision de tir, notamment en localisant les positions ennemies et qui est doté d'une vision nocturne.
Un moyen de transport : Une Renault Wind, ici.


Camille Clemenceau ~ BRILLANTE ~  8NCovKYhj4

Caractère
Certains me disent néo-bonapartriste, d'autres fasciste. Moi, j'en ris ! Si la première étiquette ne me dérange pas spécialement, la seconde si. Ceux-là ne savent pas ce qu'est le fasciste. Alors oui, je prône un pouvoir exécutif fort. Oui, j’abhorre, non j’exècre le jeu parlementaire ! Pour l'avoir exercé, il me fatigue, me lasse. Les discours ne se perdent en palabre que pour mieux traîner en longueur. Qu'importe le numéro de la République, le problème reste le même. Et si encore les politiques actuels avaient le verbe de ceux de la IIIe République, cela rendrait les discours agréables, mais ce n'est même pas le cas. Empereur ? Super président ? Utilisez le mot que vous préférez, mais que Diable, renforçons l'exécutif afin que l'Assemblée n'ait plus qu'à applaudir !

En général, ces mêmes qui me qualifient de fasciste, énonce bien vite deux autres mots, autoritarisme et dictatrice. Permettez-moi de me méfier de ces appellations, surtout venant de gens tenant pour semblable État autoritaire et totalitaire. Ce sont deux choses différentes. Si être pour un État autoritaire c'est s'assurer de la sécurité de ses citoyens, alors oui, je le suis ! Si être pour un État autoritaire, c'est mettre en place des dispositifs nécessaires à la sécurité de ses citoyens, alors oui, je le suis ! Si être pour un État autoritaire, c'est punir fermement ceux qui brisent l'Ordre et vont à l'encontre de la sécurité de ses citoyens, alors oui, encore une fois, je le suis ! En passant, je vous signalerai qu'être dictateur sous la Rome Antique, c'était un poste prestigieux et bien vu. Et oui, en période de crise, quand il faut prendre des décisions rapidement et sans avoir à rendre de compte, c'est vers eux qu'on se tournait pour rétablir la situation.

Tenez-le vous pour dit, il n'y a qu'une chose, voire deux, qui font tourner le monde. L'Ordre et le sexe, mais pour cette deuxième chose, c'est une autre histoire ! Revenons à l'Ordre donc. Quoi de mieux qu'une société bien ordonnée ? Où tous se sentiraient en sécurité ? Certains diront qu'à force de police et surveillance, l'on empiète sur la vie privée et la liberté. Ceci n'est que partiellement vrai, voire faux. Empiétez sur votre vie privée ? Mais croyez vous vraiment que dehors, vous êtes encore dans le cadre du privé ? Est-ce qu'une conversation dans le tram, à une voix telle que tout le monde en profite, relève encore du privé ? Non. Enfin, la notion de liberté dans le sens « faire tout ce que je veux, quand je le veux, sans contrainte » est à nuancer. En effet, vous ne pouvez être sans contrainte, déjà vous devez subir les contraintes de votre corps, vous ne pouvez passer outre la faim sous peine de dépérir. Et croyez vous vraiment qu’assouvir toutes ses pulsions, c'est être libre ? Non, c'est être prisonnier de soi-même. Navrée de vous l'apprendre. Puisque l'on philosophait, sachez aussi que, je ne crois pas en l'autonomie pure et que je ne supporte pas le relativisme. Mais passons et revenons à nos moutons. Vous l'aurez compris, je suis pour une répression ferme des actes criminels . Et quand la police est débordée, ou ne veut pas se donner la peine d'être débordée, les héros sont là pour vous. Je suis là pour vous. N'est-il pas préférable de perdre un peu de liberté – même si cela est à nuancer comme nous l'avons vu – pour gagner en sécurité ? Je le pense. Et le bon peuple dans tout ça ? Et bien, il a intérêt à bien se tenir ! Sinon, prenez, fusillez et ce sera bien fait ! Non, rassurez-vous, je plaisante. Petite blague de la Great Dictator que je suis. (Notez que je me plais à rire de moi-même et de ceux qui m'imaginent dictatrice). Souvenez-vous, l'Ordre est le garant du bien être et de la sécurité des citoyens. Il fait tourner la société et le monde. La Justice en est la garante. Allez à l'encontre de l'Ordre, le briser en commettant des exactions, c'est une déclaration de guerre à la paix des citoyens. La Justice se doit donc d'être ferme, rigoureuse et sans ménagement dans son châtiment.

J'ose espérer que vous ne m'imaginez pas pour autant comme une femme cruelle et froide. Ce que je ne suis pas. De prime abord, je peux paraître un peu distante, mais n'y voyez rien de mal. Même si je suis une fine oratrice, démagogue diront les mauvaises langues, je ne me lie réellement qu'avec peu de gens. Je préfère être entourée de peu de personnes, mais l'être bien, que d'avoir plein de connaissances, mais peu de réels amis. De mes collègues, j'attends de la rigueur professionnel, comme il est logique qu'ils en attendent de même pour moi.

J'imagine bien que vous êtes des commères, ainsi, je vous apprendrai donc que je suis un cœur à prendre, mais je souhaite bien du courage à qui tentera, je suis inconstante. Malgré moi... et j'en souffre, beaucoup. Je désespère, un peu. Je veux retrouver ce sentiment, mais à trop chercher, on ne trouve pas. Mais à force, je suis blasé. Une rupture de plus ou de moins, je ne suis plus à ça près. L'Amour est comme moi aujourd'hui, inconstant, il m'a animé un jour, puis est parti.


Oratrice ✤ Charismatique ✤ Polie ✤ Agréable ✤ Stratège ✤ Protectrice ✤ Ambitieuse ✤ Consciencieuse ✤ Féminine ✤ Calme ✤

Démagogue ✤ Autoritaire ✤ Belliciste ✤ Narcissique ✤ Têtue ✤ Intransigeante ✤ Inconstante (en amour)✤ Sévère ✤ Acerbe ✤ Exigeante ✤

Exemple en plus : Fumeur ? Non. Buveur ? Raisonnablement. Manie ? J'aime l'ordre. Sport pratiqué ? Karaté. Musique pratiquée/instrument ? Rien. Bosseur ou glandeur dans l'âme ? A votre avis ?

Physique
Couleur de peau ::
Laiteuse
Couleur d'yeux ::
Cyan
Couleur de cheveux ::
Châtain
Taille ::
1m71
Corpulence ::
Svelte, corps qui témoigne de la pratique de sport tout en restant féminin avec de belles courbes
Traits particuliers ::
/

Histoire

♪ Chanson thème : Ayumi Hamasaki - BRILLANTE ♫


I/ Petite lionçonne deviendra lionne


Chartres, un soir de février de l'année 1982, le deux pour être exact. Sous le coup des 22h, je vins au monde. Une petite chose à l'apparence si fragile, légère et pourtant, avec un nom si lourd à porter. Si ce fut le simple fruit du hasard ou celui de la Destiné, je n'en sais rien, mais voilà que le nouveau né que j'étais se voyait nommer du nom d'un homme illustre, Clemenceau. Camille, du petit nom que choisirent mes parents, parce qu'ils aimaient ce prénom et que cela faisait une belle allitération. Belle certes, mais ferme, tel l'homme qu'il avait été, telle la femme que je serai. Si vous vous demandez si j'ai quelques liens de sang avec le « Tigre », non. D'ailleurs, les membres de la famille de mon père n'ont jamais mis les pieds en Vendée. Hasard donc. « Il n'y a pas qu'un âne qui s'appelle Martin », comme le dit en plaisantant mon père. Le hasard fait quand même bien les choses. Je suis particulièrement fier de ce nom et m'efforce de le porter dignement, même si quelques facettes de ma personnalité s'éloigne de celle du « premier flic de France ».

Mes deux parents sont professeurs, comme quoi, quand on dit que les profs ne se reproduisent qu'entre eux, ce n'est pas complètement faux. Il y a finalement toujours un fond de vérité dans les clichés. Mon père, Maxime, professeur de math au lycée Fulbert et ma mère, Élodie, professeur de français à Silvia Monfort. Avec des parents issus de cette classe professionnelle, vous êtes presque prédestiné à acquérir un certain niveau tant morale, intellectuel et culturelle et vous vous devez de réussir parfaitement vos études. Ma foi, de ce côté-là, mes parents ne furent pas déçus, j'ai toujours été une élève sérieuse et je ramenais de bonnes notes à la maison, ainsi que des « images » offerts généreusement par l'instit' en récompense. Cependant, mes parents ne voyaient là que la face visible de l'iceberg.

Cela en fera rire plus d'un, mais gamine, j'étais timide. Oui, je vous assure. Moi, j'avais envie d'aller jouer au loup, 1 2 3 soleil et autres jeux de gosses avec les autres dans la cour, mais je n'osais les aborder. Je ne sais pas pourquoi et en y repensant avec le recul, c'est même particulièrement stupide, mais voilà, je n'osais pas aller vers les autres. Bien souvent, en maternelle, c'étaient les maîtresses qui m'introduisaient dans les jeux avec les autres. Puis vinrent quelques moqueries, toujours un peu plus vexantes au fil des années. Je n'avais pas les cheveux assez longs, j'étais trop grande, je n'étais pas jolie. Quoi que je faisais, ou que je ne faisais pas, on en parlait dans mon dos. Qu'importe ! Les remarques coulaient sur mon dos, à moins que ce ne soit mes larmes sur mes joues le soir, seule dans mes draps bleus ? Je feignais l’indifférence, mais au fond de moi, je soufrais en silence, prenant sur moi. Comme à mon habitude, je n'osais rien rétorquer, ni rien dire à mes parents.

C'est en primaire que je rencontrai ma meilleure amie, Mathilde. Elle aussi était timide et entre timides, on se sert les coudes, c'est bien connu ! Comme en sport, peu de gens voulaient se mettre avec nous pour les activités par deux, souvent on se retrouvait ensemble. Ce fut comme cela que nous fraternisâmes. À défaut d'avoir plein d'amis, j'en avais au moins une sincère, une réelle. On allait souvent l'une chez l'autre et on restait ensemble à la récréation. Un jour, la coupe fut pleine, un gars avait bousculé Mathilde volontairement qui était tombé au sol. Elle n'avait qu'une égratignure au genou, mais pour moi, ce fut l'action de trop, la goutte d'eau qui fit déborder le vase. Pour la première fois de ma vie j'ai élevé la voix et lui ai hurlé dessus. Mes entrailles ne firent qu'un tour et je lui mis une claque, ses lunettes valdinguèrent quelques mètres plus loin. J'avais les joues rouges de colère et je tremblai d'énervement. Nous fumes finalement tous punis, mais je m'en moquais, j'étais soulagé. Bon sang, que ça faisait du bien de dire merde à tous ces enfoirés au travers de ce garçon qui cristallisa toute la rage que j'avais accumulée au fil du temps ! Face à mon refus de faire ma punition, la maîtresse rédigea un mot à mes parents. Mais à dire vrai, je fus plus grondé par eux pour ne leur avoir jamais rien dit, que pour le fait d'avoir giflé l'autre. Quant à ses lunettes, les assurances sont là pour ça, non ? Par la suite, Math et moi fûmes en paix.

Puis vint le collège avec de nouvelles personnes. Les brimades était finies, mais il y a des choses qui vous marquent. Je ne prenais pas particulièrement soin de moi. Finalement, je ne compris que je n'étais pas moins jolie qu'une autre uniquement quand je remarquai qu'un garçon posait les yeux sur moi et que je sentais les prémices d'un nouveau sentiment m’habiter. En cette fin d'année de 3e, j'étais amoureuse. Nathan et moi nous sommes mis en couple le jour des résultats du brevet. J'avais la mention très bien, tout comme Math', Nathan lui avait bien. Ce fut le début de notre histoire.


II/ Souviens-toi de moi


Notre premier baiser et toutes nos premières fois. Nos tête-à-tête au Le Parisien dans cette ambiance cosy et ce barman si joviale. Nos promenades le soir dans le vieux Chartres. Les mots d'amour en russe. Lui qui faisait semblant de bouder, moi qui faisais semblant de l'ignorer. Tout ce que je voyais était rempli de brillance. Qu'importe les anciennes brimades, puisque maintenant j'aimais, puisque maintenant j'étais aimé. On rêvait à se plonger dans l'avenir, les étoiles dans les yeux. On s'amusait, très sérieusement, à réfléchir aux noms de nos enfants. Comment serait notre mariage et notre « chez nous ». On y croyait, naïvement.

C'est en effet à partir du lycée que je commençai réellement à m’épanouir. Doucement mais sûrement, je pris confiance. Dès lors que je fus amoureuse, plus jamais je n'ai marché la tête baisée. Je pris soin de moi, de mon allure, je voulais lui plaire et me plaire. Enfin. N'y avais-je pas le droit après tout ? Nous étions au lycée Marceau, grand théâtre où les gens, même s'ils ne vous aimaient pas, préféraient médire dans votre dos qu'en face de vous. Et alors ? Je restai fidèle à moi-même, peu d'amis, mais des bons. Mathilde aussi avait fini par s'ouvrir, elle restait timide, mais c'était moins pire. Nathan et moi avions pris russe en LV3, elle, préférait le grec ancien. Alors que Nathan allait en ES, Math' et moi filions en L. Notre scolarité se passa sans encombre, nous eûmes les mêmes mentions au BAC qu'au brevet.

C'est au lycée aussi que je pris conscience de mon don, ou plutôt, que j'en pris réellement conscience. Certes au collège les prémices se montraient, mais je ne les saisis pas sur le moment. Des images et des mots, tout ça surgissaient quand j'entrais en contact avec mes camarades. En sport surtout et d'autant plus quand il était collectif, il n'y avait guère que là que j'étais tactile, par la force des choses. Au club de Karaté aussi. Club dans lequel je m'étais inscrite en 5e. Ça me défoulait et me changeait les idées. Mais qu'était-ce donc ? Les images devinrent des scènes et les mots des phrases. Des flashs, des micros histoires. Je finis par soupçonner que c'était des éléments de la vie de ceux que je touchais, des bouts de souvenir. Mais ils étaient si bref que je n'en faisais pas attention et je me disais que c'était juste mon imagination qui mettait en scène les anecdotes racontaient par les autres. Jamais je n'ai remarqué avant le lycée, que les choses que je voyais n'étaient pas des mises en scène de mon esprit.

Au deuxième trimestre de seconde, Math s'était brusquement replié sur elle-même. Elle qui avait fait de si beaux progrès, la voilà qu'elle revenait sur ses pas. Mais je la connaissais trop bien, pour ne pas soupçonner que quelque chose n'allait pas. Ce fut un soir qu'elle était venue chez moi, que je compris et la cause de ses tourments et le don que j'avais. Je lui demandai ce qu'elle avait, bien sûr, elle me répondit qu'elle allait bien. À d'autres ! Je la pris dans mes bras, ce geste était irréfléchi, spontané et naturel même tant on s'adorait. Pourtant ce soir-là, je la voyais dans sa chambre, lisant sur son lit alors que son beau-père arrivait. Elle lutta, se recroquevilla, fit ce qu'elle put. Les larmes que j'ai vu perler sur ses joues et ses cris étouffés par son bourreau restent depuis gravés dans ma mémoire. Et puis, plus rien. Horrifiée, je la lâchai de mon étreinte, elle tombât délicatement dans l'oreiller. Était-ce réel ? Cette fois, j'étais sûr qu'elle ne m'avait rien raconté au préalable, ce que je venais de voir ne pouvait être une mise en scène de mon imagination. Mais pourquoi ce contact-là et non pas un autre ? Étais-je donc si déterminée à savoir la vérité ou était-ce elle qui était à bout et ne put résister à mon don que je ne soupçonnais pas ? Quoi qu'il en soit, de la vérité de son état et de mon don, tout surgit de ce câlin. Je la repris dans mes bras, elle était n'en pouvait plus et me parla. Le souvenir que je venais de voir n'était qu'un fragment d'une plaie bien plus grande que je ne le pensais.

La Justice fit son devoir. Et après ? Mathilde était brisée et ce n'est pas le suivi psychologique qu'on lui imposa qui changea les choses. Moi, je ne savais pas quoi faire, je me sentais si inutile et ça me tuait. Son état n'influa pas ses résultats, mais je sentais qu'au fond d'elle, rien n'était plus comme avant. La jolie pousse qui était sur le point d'éclore en belle fleur était fanée avant d'avoir éclos. En parallèle, j’entraînais mon don, l'apprivoisais. Bientôt, je n'étais plus simple spectatrice des souvenirs, je pouvais les modifier, très légèrement au début, mais à chaque fois un peu plus. Puis je pus en insuffler de factices, ou bien faire table rase. À bien y réfléchir, ce don est particulièrement pervers. Ce sont nos souvenirs qui forment nos affinités, notre perception du monde, notre identité. Vous croyez vos souvenirs en sécurité, enfuis en votre for intérieur et pourtant, moi, je lis en vous comme dans un livre en ne laissant en vous qu'une migraine si vous avez résisté. Math était dans la confidence, comme sa mère. C'est cette dernière qui fit appelle à moi au milieu de la terminale, Mathilde n'avait pas osé, elle savait la réaction que j'aurai eu. Oublier ? N'est-ce pas une solution bien lâche ? Mais dans la soirée, je ne pus résister devant ses beaux yeux. « Est-ce que ça fait mal... d'oublier ? » me demanda-t-elle en détournant le regard. « Mais non, ça ne fait pas mal ». Je pris ses joues dans mes mains et posai mon front contre le sien. « Détends toi ». Elle n'offrit aucune résistance, effacer un souvenir malheureux est d'une incroyable facilitée. Tant pis pour mes principes de ne pas renoncer, j'avais retrouvé ma Mathilde et c'est tout ce qui m'importait. Sa mère, qui fit arrêter les séances de psy, et moi sommes depuis les seules gardiennes de ce lourd secret.

Pendant que je regagnais Mathilde, je perdais Nathan. Il me fallut du temps pour le réaliser, puis pour l'accepter mais l'amour était parti. Il m'abandonna, me laissant seule avec moi-même. Je ne voyais plus d'éclat aveuglant, juste la morne habitude. Les mêmes baisers qui n'avaient plus la chaleur d'avant. Le même bar et son barman dont la bonne humeur ne nous émerveillaient plus. Les mêmes promenades dans le vieux Chartres qui ne nous divertissaient plus. Les mêmes mots d'amour en russe qui avaient perdu de leur sincérité. Nos petites scènes qui ne nous faisaient plus rire. Le barman était resté le même, Chartres était restée la même, nous étions restés nous-mêmes, mais l'Amour n'y était plus. Je le remarquai un matin, après avoir réfléchi une bonne partie de la nuit. Ce garçon de l'autre côté du lit n'était plus pour moi qu'un souvenir de notre amour passé, comme j'étais de même pour lui. Nous nous sommes quittés après le BAC sans regrets, la tête pleine de souvenirs. Ce n'est pas la perte de Nathan qui m’attrista, mais la perte de l'Amour. Depuis, je le cherche toujours.


III/ Du Tigre à la Lionne


Le fameux diplôme obtenu, je partis à l'université d'Orléans avec Mathilde. Elle faisait une licence d'histoire, tout comme moi, sauf que je cumulais avec une de droit. Oui, je cumule. Ces pendants les années fac que je commençai à devenir une héroïne. Doucement, mais sûrement. Certaines filles de l’université s'étant faire prendre à parti tard le soir après les cours, je décidai de faire des rondes. Autant le campus pouvait être agréable la journée, son petit côté champêtre était vraiment sympathique, autant la nuit, il devenait vite inquiétant. D'autant plus du côté de la fac de droit, le parking étant assez loin d'habitations. L'IUT était plutôt flippant aussi, les bâtiments surtout qui n'avaient rien de plaisants. L'UFR de lettres, langues et sciences humaines avait quand même plus d'allures, mais passons. Je sauvai ainsi plus d'une fois la mise de demoiselles. De ces rondes, j'en suis toujours sorti indemne, il faut dire que même si certains pouvaient se montrer violant, il en fallait plus pour mettre au tapis la jeune karatéka ceinture noire que j'étais. Aujourd'hui, je suis 3e dan.

Au fil des jours, l'actualité et les politiques me blasaient. Tous plus incapables les uns que les autres à régler les problèmes d'insécurités. Est-ce donc si fatiguant que de ça renforcer les forces de polices ? Je finis par le croire et me mis en tête de viser plus haut dans mes rondes héroïques. Si les petites frappes qui embêtent les filles à la sorti des cours le soir aboient plus qu'ils ne mordent, les dealers et autres criminelles, c'était déjà autre chose. La première fois que je me suis essayé à stopper un trafic, je m'en suis sorti avec plus d’égratignures qu’accoutumé. Mais tant pis, c'était le prix à payer, il faut bien que quelqu'un fasse ce boulot. Si ce n'était pas moi, qui ? En parallèle, je pris des cours de tir. J'ai appris à me servir de plusieurs sortes d'arme à feux, mais je préfère utiliser les pistolets qui sont facilement transportables. Ahlala, quand je me souviens du premier que j’ai utilisé... Un vieux Luger que mon grand-père avait fauché aux Allemands. Il était toujours en état, même s'il avait pris de l'âge forcément. Bon, par contre, je vous confesserai bien que je ne lui ai jamais réellement demandé l'autorisation de lui « emprunter » ! Je continuai ainsi mon bonhomme de chemin. Le soir, je laissais place à la Lionne qui est en moi. Comme vous pouvez l'imaginer, je n'ai jamais fait dans la dentelle. Alors oui, je ne les descendais pas non plus – même si ce n'était pas l'envie qui m'en moquait, mais après, c'est moi qu'on allait vouloir mettre derrière les barreaux –, j'utilisais mon arme soit pour les désarmer soit les blesser, mais je n'ai jamais eu de pitié. Ce n'était pas mon problème de savoir comment ils sortiraient de nos altercations. Ce n'était que des criminels après tout, ils ne méritaient que de se faire écraser. Vous vous demandez à quoi peut servir mon don en combat ? Chers criminels, tenez-moi à distance respectable, ce serait tellement dommage pour vous d'oublier, dans un moment aussi crucial, comment vous battre ou utilisez votre don ! Bientôt, mes petites escapades n'étaient plus faites seule, lors de la dernière année de licence, je trouvai un camarade héroïque. Camarade qui fut d’ailleurs un temps, mon copain, mais ça, c'est une autre histoire. Une histoire brève d'ailleurs.


Je finis par obtenir mes deux licences, tout comme Math. Ensuite, je fis un master d'histoire recherche sur la numismatique de Second Empire – plus par plaisir qu'autre chose – et un master pro sciences politiques. Math s'orienta vers un master qui prépare au CAPES. Je continuais ainsi pendant deux ans, alternant étude, histoire d'amour qui ne duraient jamais plus de quelques mois et sorties héroïques. Je crois que je n'ai jamais autant bu de café qu'à cette période de ma vie ! Dans le cadre du master pro science pol, je fis un stage de trois mois dans le cabinet du député de la 3e circonscription d'Eure-et-Loire la dernière année de master. Pour autant, bien que j'avais du potentiel en conseillère politique, il ne put me garder, justement parce qu'il en avait déjà un. Par peur de me retrouver sans travail après l'acquisition de mes deux masters, je partis sur Tours pour préparer l’agrégation d'Histoire. Je n'avais pas envie d'enseigner, mais bon, il faut bien manger comme on dit. Finalement, le conseiller politique du député finit par avoir le bon goût de partir à la retraite, je fus donc appeler pour le remplacer une fois mon agreg – qui me servit donc à rien obtenue. J'ai travaillé deux ans pour lui, de 2005 à 2007. Il voulait que je sois sa directrice de campagne pour les législatives. Moi, j'avais d'autres projets en tête... Être député à sa place ! Je n'avais pas de grands moyens, mais contrairement à lui, je jouissais de mon prestige d'héroïne. En effet, depuis que j'étais revenu en Eure-et-Loire pour faire partie de son cabinet, je ne cachais plus mon identité héroïque. Bien sûr, j'avais fait ça par calcul. Je fis des interviews dans les journaux et la radio. Mes qualités de tribun firent le reste. À 25 ans, je fus élu député de la 3e circonscription d'Eure-et-Loire. J'étais la plus jeune députée, à l'époque du moins.


« À écouter mademoiselle Clemenceau, nous sortirions les CRS à la première poubelle incendiée ! » Il y eut des acclamations, même ceux de mon partie avaient bien du mal à me défendre. Cela faisait des mois que je luttais auprès de l'Assemblée et du ministre de l'Intérieur pour que l'on envoie les forces nécessaire à démanteler un cartel à Marseille. « Vous qui vous dites héroïne, que faisiez-vous ? » Nouvelle acclamation. Quelle bande d'imbécile ! « Puisque vous me demandez, M. Geoffroy, ce que je faisais et bien soit ! Hier, je faisais déjà la guerre, aujourd'hui, je fais la guerre, demain, je ferai toujours la guerre ! Mais je ne peux être partout à la fois, je n'ai hélas pas le don d'ubiquité ! Comme à vous écouter, nos précieux CRS et notre précieuse armée ont mieux à faire, prenons au moins les mesures nécessaires pour encadrer les personnes qui comme moi ont un don. Il faut les fédérer afin que soit créée une organisation cohérente, ce qui permettra de faire des actions à une plus haute échelle » diverses protestations pour certains, d'autres semblent d'accord. Le président de l'Assemblée demande le silence alors que je reprends « Je pense également qu'il serait particulièrement pertinent et judicieux de créer une, sinon des écoles afin que les plus jeunes puissent apprendre à contrôler leur pouvoir et s’épanouir dans de bonnes conditions. Si mon don est discret, certains peuvent se révéler dangereux pour les autres et pour eux-mêmes si on ne leur donne pas un cadre qui serait adapté à leur besoin ! » Je n'étais pas naïve, je savais bien que jamais ces vieux grigous n'accepteraient jamais cela. Je finis par quitter la séance.



IV/ USA me voilà !


Des incapables, voilà ce qu'ils étaient tous ! Incapable de débattre sur des sujets importants, alors qu'ils prenaient tout leur temps pour des broutilles ! Gouverner, n'est-ce pas choisir ? Je finis par obtenir, non sans mal, qu'une brigade soit envoyé pour démanteler le cartel et j'obtins même d'y participer. Entre temps, je m'étais trouvé une paire de pistolet qui avait une toute autre allure que mon Luger, à la fois esthétique sans être trop bling bling. Lors de cette mission, j'ai abattu deux types qui refusaient de se rendre. Mais que voulez-vous, c'était soit eux, soit moi et à choisir, je préférais encore que ce soit eux. Les agents qui étaient avec moi plaidant en ma faveur, je ne fus pas inquiétée. Encore heureux ! Non seulement j'avais eu du mal à dégoter cette escouade pour démanteler cette organisation, alors si en plus il fallait que je réponde de mes actes devant un tribunal ! Et puis, ce n'était jamais que deux pourritures en moins, le monde ne s'en portera que mieux. Il faut se donner les moyens de défendre la population.

En 2011, j'eus vent qu'un certain Damage Greem cherchaitt des volontaires pour fonder une école qui accueillerait les gens ayant un don et voulant apprendre à le contrôler pour le mettre au service de la population. Enfin un homme de raison ! Je pris contact avec lui, on s'envoya d'abord quelques mails puis je m'envolais pour les USA. Il me proposait d'abord de finir mon manda de député puis de le rejoindre ensuite, mais je savais que c'était inutile. C'était louable de sa part, mais je serai plus utile ici à l'aider. C'est ainsi que je finis vice-principale à Heroe's SUP après avoir quitté mon mandat de député en France, pendant que Math devenait inspectrice académique rattachée à Orléans-Tours. J'avoue ne m'être jamais préoccupé des motivations de Greem. Un accident qui aurait mal tourné avec ses enfants me semble-t-il. Je n'ai jamais cherché à en savoir énormément à ce sujet, cela ne me regarde pas. L'important était que nous ayons le même but, former de futures héros. Et au-delà de ça, moi, je voyais en ce lieu le terrain d'une potentielle future armée. Il est important que les héros soient unis. Un peu comme les Cinq légendes, sauf que cinq, c'est encore trop peu à mon goût. Une armée par pays – ou continent à défaut de mieux, oui, ça serait pertinent comme organisation... Certains criminels voient les héros comme de grands naïfs, des bisounours osant à peine user de méthodes drastiques pour lutter contre le crime. Voulez-vous savoir ma politique ? Contre ceux qui osent attaquer Heroe's SUP, je fais la guerre. Contre les organisations criminelles, quelles qu'elles soient, je fais la guerre.

Je fais toujours la guerre !

Et toi? Qui es-tu?



Surnom(s) : XIII
Âge : 21 ans
♂ ou ♀:
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Dernière édition par Camille Clemenceau le Dim 28 Avr - 10:28, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: Camille Clemenceau ~ BRILLANTE ~ Camille Clemenceau ~ BRILLANTE ~  Icon_minitimeMer 24 Avr - 21:21

Bon dieu, une française...
Je t'aime. ♥
BIENVENUE 8D
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MessageSujet: Re: Camille Clemenceau ~ BRILLANTE ~ Camille Clemenceau ~ BRILLANTE ~  Icon_minitimeJeu 25 Avr - 0:33

J'aime ton personnage ! Super pouvoir en tout cas ! Bienvenu.
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MessageSujet: Re: Camille Clemenceau ~ BRILLANTE ~ Camille Clemenceau ~ BRILLANTE ~  Icon_minitimeJeu 25 Avr - 1:10

J'ai comme qui dirais l'impression qu'il ne vaudrais mieux pas te croiser en tant que criminel...

Bienvenue /o/
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MessageSujet: Re: Camille Clemenceau ~ BRILLANTE ~ Camille Clemenceau ~ BRILLANTE ~  Icon_minitimeJeu 25 Avr - 2:03

Bienvenue ! j'aime ton personnage, une gentille comme je les aime (pas niaise ni bisounours) !! *.*
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MessageSujet: Re: Camille Clemenceau ~ BRILLANTE ~ Camille Clemenceau ~ BRILLANTE ~  Icon_minitimeDim 28 Avr - 10:08

Ah ça non, ce n'est pas une bisounours ! mdr Merci en tout cas ! ♥ J'espère que vous l'aimerez toujours autant maintenant que sa fifiche est complète ! :3

P.S. : La malédiction du premier paragraphe qui ne veut pas se justifier a encore frappé ! mdr
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MessageSujet: Re: Camille Clemenceau ~ BRILLANTE ~ Camille Clemenceau ~ BRILLANTE ~  Icon_minitimeLun 29 Avr - 11:00



Fiche validée !

Félicitations, et rebienvenue parmi nous ! ♥


J'adoooore ta fiche *^* La manière de penser de Camille est très intéressante et l'histoire est pleine de détails c'est wonderful ♥ (D'ailleurs tu décris très bien le campus d'Orléans, tu y serais aussi ? 8D)

Ton personnage appartient dès à présent au groupe des Personnel et il est au niveau 25. Pour commencer, je te donne ton costume !

La première chose à faire sera de t'identifier !
N'oublie pas de créer ton équipement, ainsi que ta fiche de relations. Tu peux aussi faire une demande de logement.
Si tu ne sais pas avec qui rp, poste une demande ici !
Et n'hésite pas à m'envoyer un MP si tu te sens perdu.
Et surtout, amuse toi bien sur Heroe's SUP !
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MessageSujet: Re: Camille Clemenceau ~ BRILLANTE ~ Camille Clemenceau ~ BRILLANTE ~  Icon_minitimeLun 29 Avr - 11:41

Merci ! ♥ Et ouis, je suis étudiant à Orléans, L3 Histoire ! ^^ Comme je suis aussi un ancien de Marceau. Pour l'anecdote, Le bar/restau' Le Parisien existe vraiment et il y a bel et bien un serveur très jovial/rigolo ! XD
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MessageSujet: Re: Camille Clemenceau ~ BRILLANTE ~ Camille Clemenceau ~ BRILLANTE ~  Icon_minitime

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Camille Clemenceau ~ BRILLANTE ~

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