# Depuis combien de temps t'es dans l'école? J'ai appris tout seul.
# C'est quoi ton super pseudo? Le faucheur d'Hadès
# Tu as quoi comme genre de pouvoir? Mythologique.
# Tu as un don, un pouvoir? Lequel? Les astres d'Hadès.
# Et tu le maîtrises bien? 8/10
# Tu m'expliques en quoi il consiste? Contrôle des brumes et ténèbres élyséennes. Un peu comme le pouvoir de glace en plus flexible. Il peut donc être apparenté à un pouvoir de création, il peut par exemple, envoyer une nuée de pointes d'ombres sur son adversaire, l'attraper, il peut également le canaliser en Excalibur afin de produire des ondes tranchantes.
En revanche il ne peut pas utiliser son pouvoir lorsqu'il n'y a pas d'ombres conséquentes. (Le minimum étant au moins deux ombres humaines complètes.) ce qui le rend également vulnérable entre onze et treize heure, au zénith. Mais à l'inverse mieux vaut éviter de l'affronter la nuit. Et lorsqu'il perd la tête il ne contrôle plus son pouvoir, celui peut être amplifié, inutilisable ou encore devenir dangereux pour lui.
# Quel genre de combat tu préfères? Polyvalent.

Si tu devais avoir....
# une arme? Excalibur.
# un costume? Juste un long manteau noir.
# un gadget? Aucun.
# un moyen de transport? Une Harley !

Et en fait...
# Tu as une matière préférée? J'ai pas été à l'école.
# Un endroit que tu aimes? Le parc.
# Tu t'entends bien avec qui? Avec quel groupe? J'viens d'arriver.
# Tu as un modèle? Non.
# Tu as un ennemi? Pas encore mais ça va venir !
# Tu penses quoi des criminels? Des gens qu'essayent de gagner leur pain... Illégalement.
# Tu as un passe-temps? Traîner au parc.

Je suis Alduin, Alduin Bravewyrm.
Je suis né à Mosou, dans les quartiers sensibles. Mon père, celui qui m'a conçu, à pour patronyme Hadès. Oui, c'est bien du dieu des morts dont je vous parle. Il a laissé ma mère seule après l'avoir engrossée ouais.
Du coup ma mère c'est trouvée tellement seule et démunie qu'elle a été chercher du réconfort dans les bras du premier gars passé par là.

Au départ tout se passait bien. Selon les dires de ma mère, les quatre ou cinq premières années on été tranquilles et sans trop de soucis. Pis c'est là que l'autre gros porc qu'a épousé ma mère à commencé à partir sérieusement en vrille. Il a quitté son travail puis il c'est mis à boire, à boire beaucoup. Et un jour cet enfant d'femme de petite vertu à giflé ma mère. Au fil des jours il c'est mis à la frapper plus souvent, plus violemment. Je m'en suis pris plein la tronche aussi.

Très tôt j'ai été amené à traîner dans les rues et à me débrouiller par mes propres moyens. Je fréquentais des gens pas très recommandables. J'ai même fait partie d'un gang  pendant plusieurs années. Un gros gang à vrai dire. Peut-être même une mafia. Si je ne les avais pas tous massacrés en partant, c'est surement eux qui m'aurait dérouillés et je serais pas là en train de vous raconter ma vie.
Pour en revenir à l'histoire, mes journées c'était surtout trafic d'armes, bagarres, meurtres et toutes ses choses qu'on peu reprocher à des délinquants. Le soir je rentrais, j'me prenait une tannée, ma mère aussi parce que c'était je cite : "Une câtin qui c'est faîtes engrossée par le premier venu et qui est pas capable d'élever son môme."

Les jours passaient, tous semblables... Tous durs et harassants. Un soir tout à basculé.
C'était lors d'un règlement de comptes. Très violent... C'est peut-être là que j'ai commencé à perdre la boule. Les coups de feu, les os brisés, les cris, le sang, le sang !
Et c'est là que je l'ai aperçu, cet homme encapuchonné un peu à l'écart du carnage. Il fixait ça avec un léger sourire au lèvres. Je me suis immédiatement senti comme un lien avec cet homme. Lorsqu'il se retournait pour disparaître dans l'ombre d'une ruelle, ni une ni deux je bondit hors de de la mêlée fracturant un ou deux nez au passage et m'engouffrait à mon tour dans cette ruelle.

Une ruelle anormalement sombre si vous voulez mon avis.
Il était là debout en face de moi son sourire n'ayant pas quitté ses lèvres.
Il me dit : "Bonjour, mon cher fils."
J'en fut abasourdi. C'était impossible. Selon ma mère, mon père vivait très loin et n'avait pas eu vent de ma naissance.
Nous partîmes plus loin et je discutait avec cet homme d'abord agressif, puis un peu plus calme. Il m'appris tout ce que je devais savoir sur mes origines, que je suis un "Demi-Dieu", que je peux faire ce que je veux des ombres et d'autres trucs sans intérêts majeurs.
Quand il eu disparu, la bataille était déjà terminée. Je rentrait chez moi et mes mis en quête de mon pouvoir. En quelques années j'en acquis une maîtrise raisonnable, mon cher père prenait des nouvelles de temps à autres de mon avancée.

Un soir ou je rentrait plus tard que d'accoutumée, je tombait sur mon enfoiré de père adoptif. Sans grande surprise, il était en train de battre ma mère.
C'est ce soir là que j'ai commencé à devenir fou. Il a envoyé son poing dans le visage de ma mère. Fort, trop fort. Elle ne s'est pas relevée. Dans ma tête c'était le vrac. J'ai sauté sur cet immonde tas de merde et je l'ai frappé, je l'ai frappé de toute mes forces. J'ai cogné, cogné, cogné, cogné, cogné, cogné... J'ai cogné jusqu'à ce que je me rende compte que je tapais sur un tas d'os assorti d'une bouillie ensanglantée.
Et je riais, je riais comme un diable.

J'ai quitté la Russie peut-après pour partir en grande-Bretagne, sans rien dans les mains après avoir massacré mes anciens "collègues" lors d'une crise de folie meurtrière. Pas un ne m'a échappé.
J'ai vécu en allant de petit boulot en petit boulot et de petit crime en petit crime.
En trois années j'étais devenu un monstre recherché et craint de tous.
Une nuit ou j'ai fait sauter un coffre fort ultra protégé un peu violemment je me suis retrouvé à fuir dans les plaines pour échapper aux autorités locales, alors que j'étais terré dans une petite caverne comme un lapin j'aperçu au loin une légère lueur derrière quelques rochers disposés en cercles. C'est là que je l'ai entendue me parler dans ma tête. La seule fois d'ailleurs. Elle m'a dit : "C'est toi que je veux, déloge moi de la pierre et je serais ta propriété maintenant et à jamais."
Je approchait et aperçu alors une épée, comme neuve, symboles sur la garde, pierres incrustées au pommeau et j'en passe, plantée dans un énorme rocher taillé. Excalibur... c'est ce qui était gravé sur le rocher. Si c'était moi qu'elle voulait, elle m'aurait.
Au moment ou j'ai saisit la garde de l'épée et que j'allait la délivrer, le rocher c'est effondré de lui même. Je suis le possesseur de la seule et unique Excalibur.

J'était trop connu là-bas et en Russie.
C'est pour ça que je suis ici aujourd'hui.
Paumé dans une ville avec un petit boulot et que j'évite dans faire des tonnes.
J’espère que vous avez bien écouté parce que tout ce que je viens de vous dire là, j'le répéterais pas.