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Quand la passion vire à l'obsession ...

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AuteurMessage
Belinda S. Viperidea
Belinda S. Viperidea


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Quand la passion vire à l'obsession ... Vide
MessageSujet: Quand la passion vire à l'obsession ... Quand la passion vire à l'obsession ... Icon_minitimeLun 18 Fév - 12:35

♕ GOLDSMITH BELINDA AURELIA
«Souviens-toi que tu es mortel.»




♕ IDENTITÉ

• 24 ans.
• Bel', Belly, Aurel', Lia...
• Anglaise d'origine noble.
• Bijoutière pour les civils/ Faussaire de talent pour les criminels ou voleurs intéressés et prêts à y mettre le prix.
• N'a fait que des études totalement normales.
Belinda
IDENTITÉ SECRÈTE


Sybil •
Criminels •
Envoûtement •



Explication du don ::
Alors tout d'abord, expliquons ce qu'est en soi l'envoûtement. Un envoûtement, pour la plupart des gens, c'est un sort lancé sur certaines personnes pour vengeance par d'autres. Mais ce terme est bien vaste de diverses façons. Être envoûté peut aussi dire être charmé par quelque chose. Toutes sortes de choses peuvent charmer, mais diffèrent selon les personnes. Les goûts et les couleurs, ça ne se discute pas. Intel aimera cela, un autre aimera ceci, c'est un fait tout ça fait banal qui fait partie de la vie de tous les jours.

Eh bien, pour ce qui est du don de Belinda, tout ce que vous voyez d'elle vous charme. Ses yeux, ses paupières, son nez, sa bouche, son visage, ses formes, sa façon de marcher, de bouger, de respirer, de cligner des yeux, le son de sa voix... Vous ne pouvez détacher votre regard d'elle une fois qu'il s'est posé sur un seul de ses membres. Vous êtes envoûté, charmé, elle se sert de vous et de votre désir pour satisfaire les siens. Si elle vous demandait de sauter d'un pont, vous seriez capable de le faire sans réfléchir. Sa voix vous envoûte à tel point que vous ne vous en rendez pas compte jusqu'au moment où elle vous laisse, vous et vos désirs ardents de l'entendre encore et toujours vous susurrer des mots doux dans l'oreille.

De ses yeux vous ne pouvez détacher votre regard. Elle vous regarde, et c'est une joie pour vous, une chance inespérée de se faire remarquer d'elle, qui semblerait presque irréelle à vos yeux de mortel. Ses yeux verts émeraude sont si profonds qu'on dirait qu'ils risqueraient de vous voler votre âme en se laissant plonger dedans trop longuement. Tous les gestes qu'elle fait sont gracieux et élégant, comme ceux d'un cygne. Vous pourriez la regarder indéfiniment sans vous lasser. Tel est l'effet de son don sur autrui, quand elle décide de s'en servir pour arriver à ses fins, malhonnêtes et douteuses.

Dans son travail de bijoutière, c'est un atout pour mettre le client dans sa poche facilement, en usant de ses charmes que la nature lui a gracieusement accordés. Le pauvre client ne se doutera pas une seconde que le bijou qu'il a donné à la bijoutière sera remplacé par un faux très bien travaillé qui pourrait induire en erreur les meilleurs experts en matière de fausses pierres et métaux précieux. Mais elle ne le fait pas à chaque fois. Seulement quand le risque de se faire prendre plus tard par le client est très faible. Pour ce qui est de son autre métier, qui est de voler les pierres précieuses dans des musées et les remplacer par des contrefaçons frôlant la perfection, elle s'en sert pour duper les pauvres gardiens, leur susurrer des mots doux, et les assommer d'un bon coup sur le crâne.

Explication de l'arme ::
Son arme est un simple poignard de 20 cm, datant d'une époque plutôt lointaine, mais est pourtant très bien conservé malgré le fil du temps, avec des inscriptions et autres décorations étranges mais pourtant agréables à regarder. Le fourreau est lui aussi plein de gravures décoratives. La lame est argentée, la garde, elle, est en forme d'ailes d'oiseaux dorés. Le manche, quant à lui est noir, toujours avec des motifs gravés dessus. Sur le bout doré, on peut voir un rubis rouge décoratif.

Il est bien plus pratique d'avoir une arme assez petite pour qu'elle ne gêne pas et qu'elle passe inaperçue pour surprendre l'adversaire. Ayant fait de l'escrime depuis toute jeune, elle sait se servir des avantages et des inconvénients de son arme. Rien de bien sorcier là-dedans. Elle n'a pas vraiment envie de la perdre, sachant que c'est une pièce rare d'un certain musée, qui serait certainement très content d'apprendre qu'il a enfin été retrouvé et qu'il avait servi à des fins malhonnêtes... Tout en sachant que ses empreintes digitales se trouvent dessus, ce n'est vraiment pas l'objet vital à perdre, si elle ne veut pas se faire prendre par la police ou autres.

Histoire dans un autre post, étant un peu trop longue.
♕ CARACTÈRE
Alors, comment expliquer un caractère d'une jeune femme de vingt-quatre ans qui attise les hormones des beaux messieurs justes par envie de se faire apprécier ? Elle est agréable avec les gens, ne se basant pas sur les ouïes dire des commères. Jamais elle ne jugera quelqu'un sur ses actes ou sur son apparence, même si des fois il lui arrive de le faire, mais elle n'en tient pas compte, jusqu'à connaitre personnellement la personne en question. Étant issue d'un "monde" où l'on fait beaucoup attention aux manières, elle reste distinguée en toutes circonstances. Elle n'insultera pas des gens qui ne le méritent pas. Après tout, seuls les jeunes d'aujourd'hui insultent sans raison les gens, juste par plaisir. Elle ne parle pas grossièrement avec ses mots disgracieux. Par contre, il lui arrive d'user de mots que personne n'utilise aujourd'hui pour insulter les gens qui lui déplaisent fortement. Mais elle n'en restera pas moins charismatique pour ceux qui ne la connaissent que de vue.

D'elle se dégage une sensation de mystère. Comme si elle n'était pas comme vous. C'est effectivement ce qu'elle est. Elle fait attention à ce que ses moindres fait et gestes soient totalement calculés. Cela fait depuis quelques années que s'est ainsi. Avec ses clients, elle restera professionnelle, les conseillant sur leur choix de bijoux, étalant quand il est nécessaire sa longue liste de connaissances en la matière. Pour ses amis, elle sera joviale, blaguant de temps en temps avec eux. Elle ne parlera sans doute jamais de sa vie à ceux en qui elle n'a pas un minimum de confiance. Car, elle le sait bien, les commérages vont vite, et il serait fâcheux que des rumeurs courent sur son dos. Elle a tendance à garder un sourire mystérieux sur les lèvres, pour cacher ses pensées. Certains pourraient dire que ce sourire est faux. Et pour être faux, il est faux de chez faux. Il n'y a que dans certains moments de relâchement où elle pourrait faire des moues plutôt drôle, comme quand elle est au téléphone avec son petit frère, ou alors avec son ami le mafieux.

En fait, c'est avec seul ceux qui connaissent sa vie privée, ou du moins quelques détails qu'elle ne portera plus son masque. Des surnoms affectueux, des blagues douteuses, de l'ironie... Des choses qu'elle ne dévoile pas en public, à quelques exceptions près. Quand elle a affaire à des criminels ou voleurs pour faire de faux bijoux, elle est enjouée, confiante en ses capacités, et restera attentive aux faits et gestes de la personne en face d'elle, car c'est son petit marché et surtout sa vie en tant que citoyenne normale qu'elle tient à préserver des yeux indiscrets. Elle donnera donc un rendez-vous dans un endroit calme et tranquille, à l'abri de certaines personnes. C'est aussi une bonne comédienne, quelque chose qui lui sera bien utile pour de futures situations délicates.

Elle aime particulièrement avoir de l'argent sous la main. Oui, elle est quelque peu avide, mais après tout, qui ne l'est pas ? Sinon, ce qu'elle aime bien faire, c'est s'amuser avec certaines personnes et le faire tourner en bourrique. Un coup elle veut quelqu'un, un autre coup, elle ne le désire plus. Ses victimes ne savent plus sur quel pied danser. étant de nature assez libertine, elle ne se voit pas encore rester avec quelqu'un longtemps. À moins que la personne en question sache toujours l'intriguer, s'intéresser à elle, lui offrir de petites choses. Elle est assez sensible à ces choses-là. Au contraire, si vous êtes une personne qui aime bien se faire désirer, vous  risquez de vous retrouver seul. Elle n'aime particulièrement pas les machos ou autres hommes qui se trouvent supérieurs.

Elle aime bien s'habiller de façon atypique. Fidèle à son style depuis toujours. L'époque victorienne la fascine beaucoup et quand elle en a l'occasion, elle lit un livre dessus. Quoi d'autre à dire sur elle, sinon qu'elle préfère manger équilibré que de prendre de la nourriture grasse. Elle ne mangera jamais d'hamburger ou d'autres trucs de ce genre. Des fruits, des légumes, quelques gâteaux, mais rien de mauvais. Elle n'est pas de ces femmes à faire attention aux moindres calories ingurgitées, mais elle surveille quand même son alimentation. Car même de ceci dépend sa santé, et si elle n'est pas en forme quand elle commet un vol... Elle peut dire vite faire adieux à sa belle vie.

Passons maintenant à ce qu'elle déteste le plus. Alors, une des choses qui l'horripilent, ce sont les gens avec leurs faux-semblants. Dire des choses qu'ils ne pensent pas réellement. Ces choses qui sont obligatoires de dire ou de faire. Ou alors, les personnes qui critiquent les autres sans même les connaitre. Ces personnes-là, elle ne peut pas les piffer. Qui sont-ils pour dires des choses sur le dos des autres ? On pourrait tout autant en dire sur eux. Ils croient vous connaitre alors qu'ils ne vous connaissent même pas. Ils ne connaissent pas votre vie, et n'ont donc aucun droit de vous juger. Quand elle croise ce genre de personne, elle a souvent des envies de meurtres... Qui resterons inassouvie, car elle n'a pas envie d'ôter la vie à qui que ce soit.

Enfin, bref, c'est une personne complexe, qui, si vous prenez le temps de la connaitre se révèlera sympathique et pleine de surprise.
Ingénieuse
Aimable
Amusante
Rusé
Attentive
Charismatique
Boute-en-train
Consciencieuse
Contemplative
Courtoise
Cultivée
Confiante
Enthousiaste
Féminine
Distinguée
Habile
Mystérieuse
Prudente
Beau parleur
Machiavélique
Trompeuse
Vicieuse
Paradoxale
Lunatique
Fourbe
Cupide
Avide
Comédienne
Insolente
Désobéissante
Libertine
Profiteuse
Solitaire
Curieuse
♕ PHYSIQUE
Couleur de peau ::
Sa couleur de peau est blanche, comme le veulent les gênes héréditaires de sa famille. Elle n'est pas particulièrement bronzée, du fait qu'elle ne va pas souvent au soleil, même si elle ne serait pas contre. Car il paraît que le bronzage rend une femme sexy, pour certains hommes... Mais mine de rien, elle aime bien sa blancheur de peau, et donc, compte bien rester comme elle est.
Couleur d'yeux ::
Ses yeux sont verts, comme si deux émeraudes étaient incrustées dans ses globes oculaires. Mais ils prennent une teinte bleu pale sous certains éclairages. Elle n'a nullement les yeux bridés ou d'autre que façon que ce soit, et cela lui va très bien ainsi, car son regard est hypnotisant, littéralement parlant, autant au sens figuré qu'au sens propre.
Couleur de cheveux ::
Pour ce qui est de sa couleur de cheveux, ce n'est pas réellement sa vraie couleur que vous voyez là. À moins que vous ne trouviez cela tout à fait banal d'avoir des cheveux naturellement rose, voire magentas... Sa véritable couleur de cheveux est le noir. Mais ne vous fatiguez pas à tenter de prouver cela en regardant ses racines. Dès que le besoin s'en fait sentir, elle refait immédiatement une couleur. C'est-à-dire vers les deux ou trois mois.
Taille ::
La taille normale d'une jeune femme de 24 ans. Ses jambes sont naturellement longues et s'accordent harmonieusement bien au reste de son anatomie et n'est nullement complexées de sa taille. Plus sérieusement, elle fait 1m73 sans talons hauts.
Corpulence ::
Comparée à la corpulence d'autres femmes de 24 ans, Belinda paraît quelque peu maigre. Mais cela ne veut pas dire qu'elle se nourrit mal, bien au contraire.
Traits particuliers ::
Les seules choses les personnes pas assez proches d'elle ne verront pas, voire jamais, ce sont; sa tâche de naissance en forme de croissant de lune au bas du dos, à gauche et son tatouage représentant un petit serpent derrière son oreille gauche.



♕ INFOS COMPLÉMENTAIRES

Si vous deviez avoir ::

Un costume : Son costume reflète son goût pour le luxe des vêtements victoriens, qu'elle trouve particulièrement grisant à porter. Son haut est à lui seul sa cape -ou sa traîne lui arrivant à mi-mollets, à voir-, sa capuche et son manteau, avec des manches où se trouve de la belle dentelle brodée est entièrement vert avec des broderies dorées. C'est un moyen comme un autre de ne pas perdre sa cape, ou de finir étranglé à cause de la ficelle qui retient le bout de tissu qu'est une cape. Surtout que son collier est une sorte de col, bien pratique pour ne pas avoir froid au cou. Pour cacher son visage, histoire de ne pas se faire reconnaître des autorités, elle porte un masque doré avec un bec, pour faire comme une sorte d'oiseau qui lui recouvre entièrement le visage. Il y a deux trous où se trouve du verre, pour cacher ses yeux, histoire qu'elle puisse voir où elle va. Dans de rares occasions, elle porte un masque plus simple, ne lui couvrant que les yeux et le nez. Il est lui aussi doré et a un bec au niveau du nez. On peut voir ses yeux à travers les deux trous béants.
Masque 1:
Masque 2:

Son pantalon est blanc cassé, voire crème, ou encore beige, tout dépendra de l'éclairage de la pièce où elle se trouvera. Il est plutôt moulant, mais cela n'a pas l'air de la gêner le moins du monde. On peut voir à sa ceinture de cuir marron un fourreau -celui de son arme- et une bourse toujours présente quelles que soient les situations, très bien attachée. C'est à l'intérieur de cette bourse que souvent se trouvera son butin amassé lord de ses larcins. Ses bottes, elle, sont marron à talon de 5 cm de hauteur. Elle peut très bien courir avec, cela ne la ralentira pas, ou ne la fera pas tombé, y étant habituée. Elles lui arrivent en bas du genou et sont toujours au-dessus de son pantalon.
Ledit costume~ :

Une arme : Un petit poignard, tout en accord avec son costume de style victorien. Inutile de décrire à quoi il ressemble à nouveau.
Petit joujou ♡:

Un moyen de transport : Une belle moto de course R6 2009 noir et or de marque Yamaha. Magnifique petit bolide de compétition payé très cher, mais pas assez pour ruiner la grande fortune de Belinda, vu que sa famille est ce qu'il y a de plus riche en Angleterre, du fait que ces ancêtres étaient des orfèvres réputés pour leur travail d'artiste et impeccable. Une seule rayure sur celle-ci, vous mourrez dans les pires tortures qui soient. Mine de rien, elle tient beaucoup à sa magnifique moto, même si elle ne s'accorde pas vraiment à son costume, les nuits de vols.
Petit bijoux ♥:

Un gadget : Sarbacane à fléchettes anesthésiantes. Bien pratique pour ne pas avoir à se salir les mains pour assommer les ennemis. La sarbacane a l'apparence d'une mini flûte traversière dorée. Il n'y a aucun vrai trou dans ceux peint et gravé dessus, à part celui pour souffler et celui d'où par la fléchette.
Gadjet ♬ :

Une phobie/peur : N'a peur que d'une chose; les araignées. Elles ont tout pour déplaire, ces petites bêtes. Elles sont poilues, elles piquent, et elles donnent plus de ménage à faire. Leur seul point positif, c'est qu'elles mangent les mouches et les moustiques.

Un pire ennemi: Personne pour le moment, mais qui sait ? Elle trouvera peut-être un héro qu'elle n'appréciera pas parce qu'il lui aura mis des bâtons dans les roues...


Qui êtes-vous ::

Fumeur : Quand elle était plus jeune, elle fumait un peu, histoire de faire comme ses amis. Mais au final, elle a arrêté, parce que cela la ferait mourir plus tôt, et elle n'avait pas envie de quitter se monde plus tôt que prévu. La vie, ça se respecte comme il se doit. Donc, elle évite les endroits pleins de fumeurs, histoire d'éviter d'avoir envie de se remettre à fumer.

Buveur : L'alcool, elle connaît, mais pas au point d'y être accro. Elle apprécie particulièrement le champagne, le vin blanc et quelques autres boissons particulières que sont les cocktails. La bière, elle ne l'aime pas trop, tout en sachant que cela donne envie d'aller aux toilettes pour plus que ce que l'on a bu. Elle est ouverte à toutes sortes d'alcools, mais elle n'en abuse pas non plus, sachant rester sobre. Elle tient particulièrement bien l'alcool.

Manie : Passer sa main dans ses cheveux en soupirant quand elle s'ennuie fortement. Elle ne s'est jamais rongé les ongles et ne le fera jamais, même quand elle est stressée. Les ongles, c'est sacré. Sinon, rien de particulier à ajouter, à part le fait qu'elle aborde assez souvent son sourire "commercial" et aimable devant les gens, ne peu importe qui ils soient. Les moments où elle ne sourit pas, elle aborde un ton neutre.

Sport pratiqué : Quand elle était plus petite -vers 12 ans environ- elle faisait de l'escrime, un cours qu'elle affectionnait particulièrement, pour son côté créatif et libre. Sinon, elle avait commencé à faire quelques sports de combat avant d'arrêter au bout de 3 ans, estiment qu'elle en savait assez pour botter le cul aux idiots qui auraient l'idiotie de l'aborder dans la rue. Sinon, elle fait de la course à pied deux fois par semaine, qui fait qu'elle garde la forme.

Musique pratiqué/instrument : N'ayant pas beaucoup de temps pour beaucoup d'activités musicales, elle avait décidé de ne faire que du piano et de la guitare. Aujourd'hui, elle ne regrette pas son choix, pouvant faire du piano dans des soirées hautement placées, avec pas mal de victimes potentielles. Elle maîtrise totalement l'art du piano, même si elle est plutôt loin d'être une experte en la matière. Pour ce qui est de la guitare, il lui reste pas mal à apprendre, mais ses bases sont solides. En ce moment, elle prend des cours pour apprendre à jouer de la flûte traversière, un instrument qu'elle trouve particulièrement magnifique autant visuellement que musicalement.

Bosseur ou glandeur dans l'âme : Elle est de nature bosseuse, comparée à ses parents qui se prélassent dans leurs fortunes à ne rien faire, à part être dans leurs bureaux, en train de parler de bourse ou d'autres trucs qui lui passent totalement par-dessus la tête, même si elle avait étudié sa au lycée. Elle comprend parfaitement le système économique, mais ça ne l'intéresse vraiment pas. Elle aime mieux faire les choses soi-même avec ses propres mains. Comme faire de fausses pierres précieuse ou encore du métal doré se confondant facilement avec l'or. Tenir une boutique n'est pas de tout repos, mais au moins, elle sait dans quoi elle s'était lancée. Ayant une tonne de bijoux inutiles en or, elle les expose dans sa boutique. Étant donnée qu'elle est elle-même voleuse, elle sait ce qu'il faut faire pour qu'un de ses collègues ne viennes pas la soulager de ses bijoux.

Célibataire/en couple/c'est compliqué : Célibataire depuis un petit moment, n'ayant pas trop le temps ni l'envie de se trouver un copain. Bien qu'elle soit plutôt populaire chez la gent masculine. Elle est relativement difficile question petit ami, sachant qu'elle a eu des déceptions amoureuses, avec des mecs qui n'en valaient pas la peine.

Orientation sexuelle : Elle est plus intéressée par les hommes que par les femmes, même si elle n'est pas contre de nouvelles expériences. Et il faut dire que les femmes savent en elles-mêmes ce qu'elles ont pu ressentir pour un homme qui les a laissées tomber comme une vulgaire chaussette. Disons donc Bisexuelle à tendance hétéro.

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AVATAR :: Calliste de la BD Memento Moris.
SURNOM :: Miku
ÂGE :: 15 ans (bientôt 16~)
DC :: Nope.
PLUS :: J'aime bien le contexte du forum. J'cherchais justement un fofo où y'avais pas assez de méchants %D.
CODE :: Ok (Xia)


Dernière édition par Belinda A. Goldsmith le Jeu 9 Mai - 23:38, édité 78 fois
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MessageSujet: Re: Quand la passion vire à l'obsession ... Quand la passion vire à l'obsession ... Icon_minitimeMar 19 Fév - 5:26

Bonjour! Bienvenue!! *super, de la racaille \o*

Avant que tu ne commences vraiment ta fiche, je dois t'annoncer qu'il est impossible que de tes 15 à 20 ans, tu aies été à la Heroe's SUP, tout simplement parce que celle-ci a été créé à tes 22 ans (vu qu'elle a ouvert deux ans plus tôt). Désolé :/

Et j'ai encore oublié de changé, mais l'arme doit être dans "Si vous deviez avoir ::"
Merci d'être venue parmi nous =D
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MessageSujet: Re: Quand la passion vire à l'obsession ... Quand la passion vire à l'obsession ... Icon_minitimeMar 19 Fév - 7:00

Merci~ *Wesh, j'suis une super vilaine %D /OUT/*

Away. J'ai mal capté des trucs alors.
(en même temps, quand on reste sur l'ordi jusqu'à 3h du mat, j'pense qu'on capte plus grand chose >_>)

M'enfin, j'vais modifier ça de ce pas \o/.

EDIT: L'histoire étant trop longue, je me permet de la mettre ici. >_>

♕ HISTOIRE D'UNE VIE


« Alors, docteur ? Notre enfant sera-t-il une fille ou un garçon ? » Demandait un homme, dont les vêtements faisaient signifier qu'il était un homme riche et important.

« Je pense... Que cela sera une fille. L'échographie est très claire à ce sujet. » Fit ledit docteur, en réajustant ses lunettes à verres rondes, tout en regardant l'écran où se trouvait la radio de l'intérieur du ventre de la mère.

« Une fille... C'est tout aussi bien comme cela. Elle pourrait m'accompagner acheter des robes et des bijoux... Elle aurait, elle aussi, de belles petites robes roses... Chéri ? » disait la future mère de l'enfant.

« Et dire que si cela avait été un garçon, nous l'aurions appelé "Victorien"... Je préfère nettement "Belinda" et "Aurelia" pour "beau serpent" et "or". C'est d'autant plus magnifique. Espérons qu'elle te ressemble en tout point, car tu es la plus belle des femmes et que tu fais de moi un homme comblé de bonheur. » Il éclata de rire et alla enlacer sa femme.

La femme de sa vie, celle qui allait lui donner des tas d'enfants magnifiques qui lui ressembleraient tous. Quelques-uns lui ressemblerons, le reste, ressemblerons à son unique amour, celle qu'il avait demandée en mariage au bout de quelques mois de vie commune. Ses vieux parents étaient contre le fait qu'il se marie avec une femme issue d'une famille banale et modeste. Mais, au diable les traditions ! Il l'aimait, il la voulait pour lui seul pour le reste de sa vie ! Alors autant briser les règles de la famille, qui était elle aussi modeste, avant que leur ancêtre ne devienne orfèvre et ne devienne connu dans toute l'Angleterre. Être orfèvre rapportait beaucoup à l'époque victorienne. Les nobles étaient de nature dépensières pour un peu tout, mais surtout pour les bijoux.

Quelques mois s'était écoulé depuis l'entrevue avec le médecin. La petite Belinda avait montré le bout de son nez un peu plus tôt que sa date prévue, et était donc née prématurément, sortant la tête la première vers sa vie en dehors du ventre confortable et préférable à toutes autres choses de sa mère. Elle avait quelques touffes noires avec les yeux verts, qui viraient au bleu quand l'éclairage changeait. Aucune anomalie n'avait été détectée sur l'enfant, qui était en bonne santé, auprès de sa mère, et de son père qui leur rendait souvent visite, ne délaissant pas pour autant son travail de boss au bureau.

Elles ne pourraient pas sortir tout de suite, histoire que l'enfant n'attrape aucune maladie pendant le temps où elle devait prendre un peu de poids et de grandir un peu, pour éviter que certaines choses malheureuses ne lui arrivent. Le temps a passé lentement pour le père, mais étonnamment vite pour la mère. En même temps, la personne qui aime l'autre comme un fou peut très facilement trouver le temps long à force de ne pas voir chez elle la personne aimée. La petite Belinda avait pris assez de poids et avait bien grandi. Maintenant, la mère et l'enfant pourraient enfin retourner sous leur toit, avec le père, impatients de montrer la grande chambre d'enfant aménagée exprès pendant la longue absence de sa femme.

C'est avec sa fille dans les bras, les yeux caché par les mains chaudes et chaleureuses de son cher et tendre mari, que la jeune femme avait franchi la porte de la chambre. Il avait lentement retiré ses mains, comme pour faire durer le suspens. Elle en reste muette. Il y avait du rose partout, des jouets roses, des draps roses, des murs roses, une moquette rose, un lustre rose... Tout, absolument tout, était rose !

« C'est... magnifique... » Souffla-t-elle, le souffle coupé, en serrant l'enfant dans ses bras en souriant.

« Tout ceci est pour elle... Et sera aussi pour nos autres filles, quand elle aura grandi et qu'elle aura eu assez du rose bonbon ! » Il enlaçait sa femme doucement, comme si elle et sa fille n'était faite que de porcelaine fine et fragile comme du verre que le moindre choc pourrait casser.

La petite Belinda regardait sa chambre avec de grands yeux, comme le font tous les bébés de son âge, ne se doutant pas que ce lieu était dorénavant sa chambre. Elle gazouillait joyeusement dans les bras de sa mère. Personne n'aurait pu dire le nombre de fois qu'elle avait réveillé ses parents, les nuits suivantes, rendant ses parents fous de fatigue. Ils avaient engagé une nounou, histoire que quelqu'un s'occupe d'elle pendant qu'ils étaient absents. Avoir un enfant était plus de responsabilité qu'ils ne le croyaient. Mais ils finiraient bien par arriver à comprendre leur petite fille qui grandissait à vue d'oeil, chaque jour encore. Et ressemblait de plus en plus à sa mère quand elle était enfant.

Ce ne fut que trois ans plus tard qu'ils eurent leur deuxième fille. Cette fois-ci, elle était née le bon jour, et ressemblait trait pour trait à son père, ayant les cheveux blond -ou du moins quelques touffes blonde-, si ce n'est ses yeux. Ils étaient vairons. L'un bleu, l'autre vert. Belinda ne savait pas spécialement ce que cela signifiait d'avoir une soeur, ou même un frère. Elle regardait aussi curieusement que pouvait le faire une petite fille de trois ans qui regardait un enfant qui était né quelques jours avant. Elle posait pleins de questions, sachant quelque peut parler, à force d'écouter les domestiques qui parlaient entre eux. Elle ne comprenait pas le sens de certains mots, mais en comprenait d'autres. Et puis, à défaut de pouvoir s'exprimer parfaitement avec des mots, les gestes sont tout aussi efficaces.

« C'est ma... choeur ? Le bébé... dans maman ? » Demandait-elle à son père, avec son petit doigt dans sa bouche.

« Ta soeur, oui. Elle est mignonne, comme toi. Tu t'occuperas bien d'elle ? Elle est très fragile. » L'avertit-il.

Elle était un peu jalouse de sa petite soeur, du fait que ses parents s'occupaient plus de sa soeur que d'elle. Une pensée tout à fait normale pour une petite fille qui aime beaucoup ses parents. Elle leur faisait des dessins, des câlins, des bisous, tout pour attirer leur attention sur elle. Cela ne marchait qu'un certain temps avant qu'ils ne se refocalisent sur sa petite soeur. Elle la détestait, il fallait l'avouer, mais il fallait lui pardonner. Après tout, c'est à cet âge-là qu'on a le plus besoin de ses parents, mais sa soeur en avait encore plus besoin.

Elle n'allait pas à l'école, sur un caprice de ses parents et apprenait des choses via son précepteur. Même si à cet âge-là, on préfère courir partout et faire tourner en bourrique les adultes. Elle grandissait un peu moins vite, maintenant. Mais comme on dit; " Lentement, mais surement". Elle avait maintenant sept ans et sa soeur en avait quatre. Belinda était très jolie à son âge. Avec quelques dents de lait en moins, serte, mais tous les petits garçons de son âge qui la croisaient lui faisaient les yeux doux, quand elle allait s'acheter des vêtements avec sa mère et sa petite soeur. D'ailleurs, elle avait arrêté sa crise de jalousie envers elle, car elle avait compris que cela ne servait à rien d'en vouloir à Aven, en sachant qu'elle avait une partenaire de jeux, avec le même caractère qu'elle. Et puis, elles partageaient la même chambre toutes les deux. Elles s'adoraient, se détestaient, se réconciliaient presque aussitôt et jouaient ensemble. Quoi de plus à avoir ?

Belinda aimait bien son précepteur, qui était plutôt sympathique. Il était quelque peu vieux, mais ça, elle s'en fichait un peu. Elle apprenait beaucoup avec lui. Et même qu'elle était en avance sur les enfants de son âge avec ses connaissances. Il faisait très bien son métier. Et ses parents avaient totale confiance en lui, et lui faisait régulièrement aller faire réparer des bijoux précieux, n'ayant pas le temps de le faire eux-mêmes. Elle lui demandait souvent quels genres de métiers il avait fait jusqu'à devenir précepteur. Car il ne l'avait pas toujours été. Il avait été peintre, boulanger, serveur, imprimeur, boucher, bijoutier... Elle s'intéressait surtout au fait qu'il était ancien bijoutier. Elle aimait bien sa façon de raconter ses anecdotes, son expérience et le reste. Elle voulait vraiment faire Bijoutière. Le temps passa et son précepteur du tirer sa révérence, étant trop vieux pour continuer à enseigner.

Elle se disait que ce n'était pas à cause de l'âge qu'il était parti, mais à cause d'une autre chose, parce que même l'âge du précepteur ne gênait pas ses parents. Elle aurait bien voulu en savoir plus, mais quand ont à sept ans, on vous dit que c'est une histoire pour les grandes personnes. Elle avait tiré une moue boudeuse quand le grand-père lui avait dit ça. Elle n'insista pourtant pas, sachant qu'il avait raison, et que de toute façon, un jour elle le retrouverait et lui ferait avouer de force, en le chatouillant à mort. -À cet âge-là, on n'imagine pas vraiment ce que signifie le vrai sens du mot torturé, sauf si on regarde des dessins animé drôle sur les pirates, avec la plume qui chatouille l'orteil pour faire avouer des choses a un certain capitaine...- Après ce départ inopiné, elle eut un nouveau précepteur, plus jeune, plus strict, et sans aucun sens de l'humour. Elle se moquait souvent de lui avec Aven, en l'imitant avec une grosse voix.

« Maintenant, j'aimerais que vous vous calmiez, mademoiselle ! Ce ne sont pas des façons de se tenir pour une dame ! » scandait-elle haut et fort, avant d'éclater de rire avec sa soeur.

Elle avait maintenant dix ans et sa soeur sept. Belinda et Aven avaient désormais un petit frère de deux ans du nom de Victorien. Il avait les yeux bleu et les cheveux noirs. Ses deux grandes soeurs restaient toujours ensemble, collées l'une à l'autre, et allaient voir leur petit frère ensembles. Belinda aidait Aven avec ses leçons, et lui apprenait même beaucoup de choses, à l'instar de ses parents et du précepteur de sa soeur. Car elles avaient bien sûr un précepteur différent chacune, leur famille très riche pouvait bien se le permettre, sans que cela ne fasse un trou sur leur fortune phénoménale amassée. En parlant de sa famille, elles rendaient de temps en temps visite à leurs grands-mères. Il faut dire que les deux étaient très différentes l'une de l'autre. Du côté maternel, elle était très gentille et donnait beaucoup de gâteaux en tous genres, très bon. Elle faisait même des crêpes et des gaufres. Et du côté paternel, une vieille dame trop stricte. « Ne met pas tes coudes sur la table ! C'est impoli ! » ou encore « ne mange pas la bouche ouverte ! C'est indigne d'une dame ! ».

Il faut dire qu'elle était une enfant assez rebelle et n'aimait pas obéir aux ordres. Elle était donc souvent punie de toutes sortes de choses. De gâteau, de dessert, de télé, de jeux... Heureusement que sa soeur était là, sinon, elle n'aurait pas tenu longtemps dans ce monde plein de faux-semblants ridicules. Enfin, il y avait une chose qui la passionnait, c'était les robes victoriennes. Elle adorait ça. Chaque fois qu'elle était invitée avec ses parents dans une soirée, elle mettait de magnifiques robes façon époque victorienne. Même sa soeur se prenait au jeu. Son petit frère, lui, ne pouvait pas encore, évidemment. Elle n'aimait pas comment les gens regardaient étrangement sa soeur. Ses yeux vairons y étaient sans doute pour quelque chose, mais ceci ne justifiait pas cela.

Et elle avait bien raison. Quand elle eut treize ans, sa soeur se fit enlever quand Belinda et sa mère avaient le dos tourné. Dès que sa mère avait remarqué sa disparition, elle avait appelés la police, mais Belinda sentait quelque part dans son être qu'elle ne le reverrait jamais plus. Plus de blagues idiotes, plus de jeu idiot, plus de jeux de mots... Plus rien que la solitude. Elle n'avait plus aucune joie de vivre. La police recherchait toujours sa soeur, en vain. La retrouver ne serait qu'un miracle. Belinda était blasée de la vie, elle était toujours en train d'étudier, retenait ses leçons par coeur, pouvait même les réciter sans y penser vraiment. Elle s'était renfermée dans les études à fond, ne portait que des couleurs sombres, avait même des cernes à cause du peu de temps qu'elle passait à dormir, s'occupant de son petit frère de maintenant cinq ans et ses pleurs nocturnes. Ses parents désespéraient de la voir comme ça, était tout aussi très attristé par la disparition de leur deuxième fille. Pour qu'elle fasse un quelconque sourire, ils lui offraient tout ce qu'elle voulait, mais elle ne souriait pas. Ne voulant plus sourire, jusqu'à ce que sa soeur, sa petite soeur chérie, revienne.

Enfin, cela ne dura que jusqu'à ses quinze ans. Elle avait du temps libre. Elle avait opté pour faire des études pour faire juge, dans un lycée pour gosses de riches, puisque cela dépassait les compétences de son pauvre précepteur qui fut gracieusement payé pour son dernier cours avec Belinda. Ayant abandonné son rêve de devenir bijoutière. Et elle s'habillait toujours de façon à être différente. Un coup, corset bleu. Un autre jour, corset noir et ainsi de suite. Elle avait relativement peu d'amis, car personne n'osait l'approcher, sauf ceux qui voulaient être ses petits amis. Elle en avait reçu, des demandes, mais un nombre, inimaginable, pour une femme dans une seule vie. En fait, tout le monde semblait réagir à ses coups d'yeux, ses paroles, ses geste d'une drôle de façon...

Elle se demandait ce qu'elle avait pour plaire autant dans un moment où son esprit était relativement en train de broyer du noir. Elle avait dit oui à certains, et bien sûr, elle se faisait quand même larguer au bout de quelque temps. C'était toujours la même rengaine; « Je ne sais pas pourquoi j'étais totalement obnubilé par toi, mais en tout cas, tu es trop étrange pour que l'on puisse continuer notre histoire. Salut ! » Bien, bah qu'ils se barrent, elle s'en fichait bien. ça lui faisait une sacrée belle jambe. Après quelques temps, pour changer de tête, elle se fit teindre les cheveux en rose et elle trouvait cela particulièrement grisant d'avoir les cheveux de cette couleur, même si ses parents n'étaient pas trop chaut pour cela. Sa grand-mère du côté paternel n'avait qu'à bien se tenir ! Elle n'allait pas rester avec les cheveux noir toute sa vie, sachant que cette couleur lui faisait encore plus avoir une tête de zombie, même si elle n'avait rien contre ce fait. C'était juste que le rose, c'était aussi la couleur préférée de sa soeur. Une façon de faire son deuil, bien qu'un peu tardif.

Puis, un coup, en lisant le journal, s'ennuyant de pied ferme à rien faire, elle tomba sur un article particulièrement intéressant. « Nous avons retrouvé le voleur du siècle ! » Pas que le titre change quand choses, mais la photo était des plus intéressantes pour Belinda; c'était la photo de son premier précepteur. Et soudain, un déclic. S'il était voleur, il avait très bien pu voler les bijoux de ses parents pour les remplacer par des faux... Elle sourit, pour la première fois en trois ans. Son précepteur était vraiment un homme beaucoup de surprises. Elle allait lui payer un bon avocat et le sortir d'affaire, et en échange, en échange... Elle verrait bien le moment venu. Elle prit contact avec lui plusieurs fois, prétendant être sa nièce venue le voir avant son procès. Même si c'était totalement faux.

Après tout, elle pouvait bien se permettre quelques petites fantaisies, elle avait seize ans. Un âge particulier où l'on faisait plusieurs grosses bêtises, mais elle, elle ne faisait pas de braquage, de fête qui tournes mal. Ses parents n'avaient pas besoin de se biler à ce niveau-là. Son petit frère était relativement mignon du haut de ses huit ans. Ses cheveux avaient viré au marron et il portait de petites lunettes qui lui donnaient un air sérieux. Il était lui aussi très intelligent. Mais absolument personne ne pouvait se rendre compte de ce qu'elle allait faire. Son ancien précepteur était un voleur très recherché . Soit ! Elle avait envie d'avoir une vie trépidante et pleine de danger, ayant vraiment envie de penser à autre chose. Sa soeur était sans doute quelque part sur le globe? puisque les policiers ne l'avait toujours pas retrouvée. Eh bien, du moment qu'elle vivait, elle était heureuse pour elle.

« Ah, mon cher précepteur, cela faisait si longtemps ! » disait-elle dans le téléphone, au vieil homme qui était  en face d'elle, séparé par une vitre épaisse soit-disant incassable. Personne ne se trouvait dans la pièce, à part aux portes, de l'autre côté. Elle avait insisté sur ce fait, parce qu'elle ne serait pas libre de ses paroles, autrement.

« Oui, cela faisait bien longtemps que je ne vous avais pas vu, miss Belinda Aurelia Goldsmith. Quel bon vent vous amène ici ? » répondit-il, sur le ton le plus jovial qu'il pouvait faire en ces lieux.

« J'aimerais vous sortir de cette malheureuse affaire. Je me doute bien que vous êtes bien l'homme qu'ils cherchaient depuis longtemps, mais j'ai eu une certaine envie d'apprendre votre trépidant métier... » susurra-t-elle au combiné. Elle ne savait pas s'il était d’accord pour se faire tirer d'affaire, mais l'on n'a qu'une seule vie.

« Ah ? Vraiment ? J'ai bien pur de n'être d'aucune utilité pour vous. Je suis bien trop vieux pour ce genre de choses... En voici la preuve, hélas ! Je me suis fait avoir. » soupira-t-il.

« Mais je ne voudrais pas que votre savoir en la matière ne tombe dans l'oubli, mon cher "diamond thief". Et je suis d'ailleurs très curieuse de fait d'avoir pu faire croire que les bagues que vous aviez soi-disant fait réparer étaient vraie. Seriez-vous donc faussaire ? » demanda-t-elle en faisait un grand sourire.

« ... Bon, je pense qu'il est inutile de vous demander de me laisser finir mes vieux jours en prison, ce qui serait très déplaisant, même pour moi. Et je dois dire que vous êtes devenue très attirante, depuis le temps... Je crois bien que vous devez avoir développé un bien étrange pouvoir, car je ne suis pas du genre à vouloir posséder une femme comme vous a mon âge avancé... N'avez-vous pas remarqué des choses étranges autour de vous ces dernières années ?... Excusez-moi, si je change radicalement de sujet. » lui demanda-t-il en la regardant bien dans les yeux.

« Hum... C'est un fait bien étrange que je remarque depuis mes quinze ans. J'attire tous les hommes vers moi, et je dois avouer que j'ai une sacrée réputation de croqueuse d'hommes dans mon lycée... Enfin, là n'est pas la question. Nous pourrions en reparler une fois que vous seriez sortis d'affaire. Je me charge de vous trouver le meilleur avocat de toute l'Angleterre, même si pour sa, je dois passer tous les services secrets et autres au peigne fin. Je vous retrouverais à la sortie dans quelques jours. D'ici là, je trouverais un vieil homme de votre âge à qui faire porter le chapeau. » Elle lui fit un grand sourire.

« Eh bien soit, faites donc, mademoiselle. J'espère de tout cœur que vous en trouviez un compétent au nerf d'acier et très convaincant. Et pour le vieil homme, bonne chance. Vous en aurez besoin. » et sur ses mots, il se leva et alla vers sa porte pendant que Belinda faisait de même, avant même que le policier ne frappe. Elle avait du pain sur la planche.

Dès qu'elle fut sortie, elle se dirigea chez une personne peu recommandable à connaitre, mais elle entretenait quelques relations privilégiées avec l'homme en question, puisque c'était une des personnes rencontrées quand elle allait de temps en temps à des soirées VIP déguisée, du fait d'appartenir à une famille connue. Elle n'avait même pas besoin de dire son nom à la personne chargée de l'accueil qu'on lui demanda d'aller au dernier étage, là où était le boss. Elle était calme, bien que c'était la première fois qu'elle le voyait dans l'exercice de ses "fonctions". Les mafieux son très dangereux, mais lui, était sympathique. Puis de toute façon, elle avait de l'argent à lui proposer contre quelques services. Très pratique d'être issue de famille riche. Elle frappa à la porte, nullement intimidée à entendre des voix du genre suppliante. Elle entendu un coup de feu et on lui demanda d'entrer. Très belle entrée, d'ailleurs, car c'était la première fois qu'elle voyait quelqu'un de mort à ses pieds, mais elle décida de rester impassible. S'énerver ne serait pas très bon, de toute façon.

« Quel bon vent t'amène, ma chère petite Belinda ? J'espère que tu a de bonnes raisons à venir jusque dans mon antre, là où je ne suis pas des plus apte à être tendre. » la prévint-il.

Elle passa au-dessus du cadavre qui avait une balle entre les deux yeux, pas un spectacle où quelqu'un de sensé pourrait rester calme. Mais elle se disait que c'était pour la bonne cause. Après tout, si elle voulait devenir voleuse, il fallait faire preuve de sang-froid. Elle se rapprocha du bureau, en jetant un regard aux hommes de main du mafieux qui semblait avoir peur de leur boss, et surtout intrigué que la jeune fille n'ai pas crié et ne soit pas tombée dans les pommes à son entrée. Mais il faut aussi dire que ses vêtements y étaient aussi pour quelque chose.

« Je suis ici pour te demander un peu d'aide. Je pense que tu as dû entendre parler d'un certain "diamond thief", non ? J'aimerais que tu lui trouves un très bon avocat et que tu fasses porter le chapeau à quelqu'un d'autre. Et pour dédommagement, que dirais-tu que je te paie en plusieurs fois ? Je n'ai pas vraiment envie que mes parents ne se doutent de quelque chose en voyant une petite partie de leur fortune partir quelque part là où s'y attendent le moins... Alors ? Qu'en dis-tu ? Partant ? » lui demanda-t-elle.

Il la dévisagea pendant quelques longues minutes, en s'allument un cigare et il prit son temps pour le terminer. C'était la technique d'intimidation que les mafieux aimaient utiliser. Mais elle ne flancha pas et continuait à le regarder dans les yeux, en souriant, sachant qu'il s'amusait seulement de la voir aussi calme, et aussi qu'il était surement surpris qu'elle veuille sortir d'affaire un voleur connu. Après tout, c'est tout à fait normal qu'un mafieux se demande ce qu'elle pouvait bien penser, elle, une fille de riches qui était depuis toujours dans le droit chemin de la vie.

« Je ne te donnerais aucune explication sur les idées que j'ai derrière la tête, mon cher. Mais sache que je trouve ma vie particulièrement trop calme, et j'ai envie de bouger et de la rendre plus amusante. Et si tu veux savoir comment je vais te rembourser, j'aimerais que l'on soit seul à seul pour mieux discuter de cela. Je préfère avoir le moins de personnes dans le coup si possible. » dit-elle en posant ses deux mains sur le bureau et en jetant un coup d'oeil aux hommes de main de son ami le mafieux.

« Très bien, je t'écoute. Vous pouvez attendre en bas. » dit-il à ses hommes qui partirent de la pièce, en prenant le corps du mort avec eux. Il fit signe à Bélina de s'asseoir sur un des sièges et attendit patiemment qu'elle lui explique son plan.

« Pour te rembourser, je compte te donner des pierres précieuses que je volerais dans des musées, quand mon ami "diamond thief" estimera que je suis prête à aller sur le terrain. Il m'apprendra à voler, et tout ce qu'il faudrait que je sache. Je pense aussi que si je lui demande, il m'apprendra à faire de fausses pierres précieuses, puisqu'il est aussi un faussaire. Mes parents en on fait les frais, mais ils ne le savent pas encore. Et ils ne le sauront jamais, même. J'espère que tu me trouveras un bon avocat capable. Je n'ai vraiment pas envie que mon ex-précepteur aille en prison. » dit-elle, une fois assise sur un siège confortable.

« Si je comprends bien, tu veux que je t'aide pour faire plaider non coupable un homme qui a commis plein de vols et faire porter le chapeau à quelqu'un d'autre pour le tirer d'affaire ? Je pense que ça peut se faire. Et puis, je ne dis pas non pour le payement en pierreries... Je pense que tu es très douée en affaires, ma petite. Je me charge de te trouver tout ça. Espérons que tu apprennes bien avec lui. » lui dit-il en souriant.

« Je l'espère aussi. Il faut que je te laisse, je pense que mes parents risquent de se demander ce que je fais si je ne reviens pas tôt aujourd'hui. On en reparlera demain, je pense que tu as dû recevoir une invitation de ma part pour un bal costumé organisé pour que l'on me trouve un futur mari... Je te jure, ma grand-mère et très fatigante à ce sujet... » Elle se leva et lui fit signe avant de partir du bureau. Elle comptait sur lui pour trouver ce qu'elle lui avait demandé.

En rentrant chez elle, on prit ses mesures pour faire sa robe pour le lendemain. Elle se demandait comment les couturières pouvaient faire autant de travail en une nuit. Enfin, elle avait voulu une belle robe de style victorienne pour l'occasion, plus, un beau masque doré qui allait avec. Après tout, sa grand-mère avait bien voulu faire un bal masqué, pour Que belinda ne se retrouve pas être la seule avec une robe victorienne. Très prévenante la grand-mère. Elle passa la fin d'après-midi à choisir le tissu vert qu'elle voulait. C'était un vert émeraude, un peu plus foncé que le vert pomme. Elle n'avait pas le temps de souffler. Le lendemain matin, il fallait essayer la robe, qui, il fallait l'avouer, était bel et bien finie. Il fallait juste quelques repiquages pour qu'elle soit au poil. Son petit frère la regardait le sourire aux lèvres, l'air de dire qu'elle était ridicule.

« Victorien... Arrête de sourire bêtement comme ça, tu vas finir défiguré, mon pauvre petit ! » ricana-t-elle.

« Belinda le serpent m'a parlé . Wouah ! C'est vrai ? Dit moi que c'est faux ! » demanda son petit frère affolé.

« Mais bien sur que c'est faux. Je te taquinais... Serais-tu jaloux des jeunes hommes qui ne demandent qu'à se marier avec moi ? Ahah ! » elle éclata de rire.

« Même pas vrai d'abord... Pourquoi je serais jaloux ? T'es... T'es... Trop moche ! » lui dit-il en rougissant.

« Oh ! Ciel ! Mon petit frère me dit que je suis laide à en faire peur ! Mon monde parfait s'écroule ! Ahh... En fait non. Je sais que je suis belle, pas la peine de dire le contraire, la preuve, tu as rougi. » lui dit-elle en lui pinçant les joues, une fois débarrassée des couturières qui avaient fini leur boulot.

La soirée ne se fit pas attendre. Belinda devait accueillir les invités à cause d'un caprice de sa grand-mère. Enfin bon, même sans accueillir les invités, elle se serait fait remarquer. Tous les hommes la regardaient au moins une fois avec une envie non dissimulée. Même son ami le mafieux qui avait fait un effort évident pour porter quelque chose de simple et dans le thème de la soirée. Elle alla le voir, délaissant l'entrée pour aller discuter sur des affaires pas très bonnes à entendre pour des gens de bonne famille. Elle lui demanda s'il avait trouvé un avocat compétent et il lui dit que oui et qu'il avait même trouvé la victime idéale pour le remplacer. Elle passa la soirée sous des regards brûlent de personnes qu'elle ne connaissait même pas. Sa grand-mère devait bien s'amuser, cette vipère. Enfin, heureusement qu'elle avait son masque, sinon, elle se serait sentie nue sous leurs satanés regards brûlants et dégoûtant. En fait, si son ex-précepteur avait raison, il fallait à tout prix savoir contrôler son pouvoir, parce que sinon, elle allait droit vers la catastrophe...

Au final, cette soirée n'était pas si mal, tout le monde avait dansé. Elle, était toujours restée avec le mafieux, la seule personne qu'elle connaissait dans ce boui-boui. Fallait-il encore espérer que sa grand-mère ne l'ai pas remarqué, sinon elle était bonne pour se marier avec quelqu'un de vraiment plus vieux qu'elle... Pas que ça ne pose de problèmes à la vieille vipère... Elle passa les mois qui suivirent à aller en cours, attendant que les policiers réalisent qu'en fait, l'homme qu'ils avaient attrapé n'était pas le voleur. Même si c'était vraiment lui. Il lui avait quand même fallu attendre un an avant qu'on ne déclare que l'homme qu'ils avaient cru prendre pour le voleur n'était qu'une simple victime d'un traquenard. Elle savait que le mafieux avait fait son possible pour que sa tienne la route. Maintenant que son "oncle" était libre, le vrai plan pouvait enfin commencer. Elle avait dix-sept ans. Un âge particulier où l'on fait la fête tout le temps. Mais elle, elle ne ferait pas la fête de la même façon.

Elle attendait patiemment que son nouveau professeur de vol vienne à sa rencontre, dans une ruelle relativement sombre. Ils s'étaient donné rendez-vous ici, après avoir longuement discuté au téléphone. Il lui avait dit qu'une fois qu'il serait là, elle saurait pourquoi dans cet endroit précis. En fait, elle se doutait qu'il devait y avoir une cachette secrète quelque part. Un endroit aménagé pour pouvoir apprendre toutes les bases.

« Belinda. » dit une voix derrière son dos.

« Vous voilà enfin. Qu'aviez-vous à faire avant de venir ici ? » lui demanda-t-elle quelque peu agacée, en se retournant.

« Pas mal de choses. Puis il fallait que je prépare certaines choses. » lui avoua-t-il.

« Bon, quand vais-je commencer à apprendre à voler et à faire de fausses pierres ? » Elle était impatiente de commencer.

« Tout d'abord, il faudrait entrer, ma petite. » il appuya sur une brique qui fit apparaître une porte dans le mur. Il l'ouvrit et il fit signe à Belinda de le suivre. Quand il appuya sur un bouton, elle vit tout le matériel pour s'entraîner.

« Waou... Tout ceci est à vous ? » demanda-t-elle, des étoiles dans les yeux, à voir l'espace occupé par tant de choses.

« Oui, même si ceci pourrait te revenir plus tard, vu que tu es devenue officiellement mon élève. Pose ta main sur l'écran, là. » dit-il en lui faisant poser sa main dessus, qui fit un scanner et enregistra les empreintes digitales de la jeune fille et prit une photo d'elle.

« Vraiment ? Je pense que je pourrais passer toute ma vie la dedans si je pouvais... ça enregistre tout, cette machine ? » fit-elle en le regardant de plus près.

« Oui. En fait, tout ceci était à mon professeur, qui lui aussi était un voleur. Je pense qu'il est temps pour moi d'apprendre tout ce que je sais à mon élève. Après tout, je pense que je te dois pas mal, pour m'avoir sorti d'affaire. Je me demande bien à qui tu as pu demander service... Non, ne me dit rien, je n'ai pas besoin de savoir. Tout ce que tu as à faire, maintenant, c'est d'apprendre toutes les compositions chimique des fausses pierres, et comment se composent les vraies. Je pense que cela va te prendre un peu de temps pour tout retenir, mais si tu veux faire faussaire tout comme moi, il faut commencer par les bases. Suis-moi. » Il descendit les escaliers pour aller dans une pièce plus bas. Il y avait des tonnes de livres, et même des ustensiles pour fabriquer de fausses pierres précieuses. Un petit paradis pour les yeux de Belinda, qui regardait tout ce matériel en se disant qu'elle devait tout savoir sur leurs utilités. Il faut dire que le vieux voleur s'attendait à ce qu'elle veuille tout de suite passer à la pratique. Enfin, il la ferait réciter pendant qu'elle s'entraînera.

Le temps qu'elle connaisse sur le bout de doigts, il s'était passé plusieurs mois. Elle avait décidé d'arrêter l'escrime qu'elle faisait depuis ses douze ans, parce qu'elle maîtrisait à la perfection cet art. Elle n'aimait pas s'en vanter comme les fils et les filles à papa, parce que de toute façon, ceux qui faisaient les malins étaient très souvent écrasé par d'autres. Elle avait commencé un sport de combat très pratique, le karaté, histoire de savoir assommer ses futurs adversaires qu'allaient être les gardiens de nuit des musées. Elle ne voulait pas tuer les gens, cela ne servait qu'à se faire haïr par les proches des victimes, et personne n'avait besoin de se faire détester de cette façon.

Comment entrainement, elle devait courir sur de très longues distances en continu, pour qu'elle tienne le coup lors des courses-poursuites qui durent généralement longtemps. Et pour courir, elle courait. Son meilleur temps de course sans ralentir se trouvait entre trente et cinquante minutes. Ce n'était pas un temps de débutant. Elle put donc passer à l'escalade des murs. Une chose des plus compliquées sans grappins ni d'autres choses pour s'agripper. Il lui avait fallu au moins trois mois pour arriver à escalader un mur de brique sans aide. C'était moins bien que sa performance pour la course à pied, mais à chacun ses faiblesses. Pour ce qui est de passer les systèmes de sécurité laser, ce n'était pas trop mal, même si elle devait encore y travailler pendant un long moment. Vint ensuite la fabrication de fausses pierres, quand elle eut enfin dix-huit ans, l'âge où l'on devient autonome. Même si elle vivait encore chez ses parents, elle avait un petit appartement près du lieu où se trouvait la cachette secrète de son professeur.

Elle passa environ deux ans à peaufiner sa technique de création de fausses pierres. Elle n'avait pas atteint la perfection, mais c'était très réussi et ses pierres s'approchaient beaucoup de celle de son professeur. Elle avait aussi fait faire un costume à ses couturières. Son costume de super-vilaine qui vole les pierres précieuses. Elle avait demandé à faire un "S" doré sur l'étiquette de chaque partie du costume, pour son nom de super vilaine; Sybil, signifiant femme prophète. Elle avait aussi acheté des bottes de très bonne qualité pour aller avec. Pour le masque, elle avait regardé dans des sites italiens et avait trouvé deux magnifiques perles rares. L'un qui couvrait tout le visage, l'autre les yeux et le nez. Une ceinture pour éviter de perdre, éventuellement, son pantalon et une bourse où elle mettrait prochainement ses larcins.

« T'en pense quoi . Il est bien mon costume ? » lui demanda-t-elle, ayant son costume de super-vilaine sur elle.

« Oui. Mais tu ne penses pas que ta traine risque de te faire prendre . Et puis, tu ne m'as toujours pas dit ton nom de super-voleuse... On dirait une petite fille qui veut qu'on devine un mot... » soupira-t-il.

« Rhô... Bon, mon nom en tant que super-vilaine voleuse, c'est Sybil. » Lui dit-elle en enlevant son masque pour changer avec l'autre moins couvrant.

« Je vois que tu as fait bon usage des livres que je t'avais prêté. Tu seras la première prophète des voleurs. » dit-il en riant.

Elle avait vu juste en choisissant son nom. Après tout, elle pouvait très bien être la Sybil des voleurs si ça lui chantait. Par contre, pour son don, il fallait vraiment savoir en quoi il consistait vraiment. Elle fit plusieurs tests via l'ordinateur central de la cachette secrète. Elle ne se doutait pas vraiment que l'envoûtement était aussi le fait d'être charmé par quelque chose. Pas étonnant qu'elle attirait les hommes comme des mouches sur du miel. Restait à savoir si elle allait arriver à le contrôler. Enfin, avant ça, il fallait mettre l'entrainement en pratique, et passer à son premier vol. Parce que son ami mafieux avait beau être sympathique, il ne fallait pas abuser de sa patience plus longtemps... Son premier vol était planifié de A à Z. Du départ à la fin. Elle avait mis son costume avec son masque couvrant tout le visage, étant de nature prudente pour sa première expérience.

Tous s'était passé comme sur des roulettes. Elle avait assommé tous les gardiens qu'elle avait croisés, et l'alarme ne s'était déclenchée qu'au moment où elle était déjà en train de courir vers la sortie. Elle avait eu juste à passer par les petites ruelles pour aller vers la voiture. Elle avait volé plusieurs pierres précieuses exposées sous dôme qui étaient gros comme ses pousses. Pour une première fois, ce n'était pas si mal. Elle aurait pu en voler plus, mais cela aurait été difficile de tout transporter dans sa petite bourse. Déjà bien assez pour rembourser son ami le mafieux. Pour cela, elle était retournée se changer dans la planque et était arrivée l'air de rien chez son ami. On lui demanda de monter, comme la dernière fois. Elle frappa et entra et vit qu'il était déjà avec quelqu'un. Cet homme était lié à la mafia, et il venait d'Italie pour savoir si les affaires fonctionnaient bien. Elle attendit que le vieux mafieux lui fasse signe de s'asseoir. Il lui présenta son ami qui parût grandement intéressé par elle.

« Voici celle dont je te parlais. Belinda Aurelia Goldsmith. Belinda, voici un vieil ami, Alberto Antonionni. » dit-il d'un ton jovial.

« Enchanté, perdere, ravis de vous rencontre. » dit-il en lui faisant un baise main.

« Moi de même, Mr Antonionni... » Elle rougit un peu n'ayant pas l'habitude qu'on lui fasse un baise main. « J'ai de quoi te rembourser. Je pense que tu à dû entendre parler d'une certaine Sybil, n'est-ce pas ? » demanda-t-elle en regardant le mafieux.

« Je vois... Tu les as sur toi ? » demanda-t-il en posant son cigare sur le cendrier.

« Oui. » Elle sortit sa bourse et défit le noeud avant de déverser son contenu sur le bureau. Il y en avait pour beaucoup dans ce qu'elle avait volé. Le mafieux regarda son ami avec un sourire entendu.

« Je pense que vous pourriez nous être utile, perdere Belinda Aurelia Goldsmith. Que diriez-vous de faire équipe avec notre famille, les Antonionni ? Vous ne seriez pas déçue. » demanda Mr Antonionni.

« J'avoue que votre offre est des plus alléchantes, mais... Je me dois de refuser. J'ai encore beaucoup à apprendre et... » Fit-elle.

« Belinda, je pense vraiment que tu serais utile. Tout ce que l'on te demande, c'est de partir aux USA et de voler des choses là-bas... Que nous viendrons chercher. En échange, nous te promettons de chercher des informations sur ta soeur. Tu comprends ? » lui dit-il en la regardant dans les yeux.

« ... Des informations sur ma soeur ? ... » elle n'en revenait pas.

« Si~ Nous ferons notre possible pour la retrouver, si vous acceptez. » fit Antonionni.

« Tu n'as rien à perdre à collaborer » dit le mafieux en rangeant les pierres précieuses dans son tiroir.

« Très bien. J'accepte, mais à une condition. Je finis mon entrainement avec mon prof' particulier, qui durera encore quatre ans environ. Une fois ces quatre ans passés, j'irais aux USA. Il faut encore un peu de temps pour que je me prépare à partir. Ces quatre ans serviront aussi à ça. Je ne peux pas me permettre de partir sans rien. J'ouvrirais certainement une bijouterie comme couverture pour les civils. Sinon, je serais faussaire pour les personnes intéressées. Je ne vous cèderais pas mon chiffre d'affaires, puisque cela sera certainement inutile avec mes vols. Les vols que je ferais ici ne seront pas non plus dans le contrat. Alors ? Toujours d'accord ? » demanda-t-elle en les regardant tour à tour pour voir leurs expressions.

« Si~ C'est un plaisir de collaborer avec vous, perdere. » Dit l'ami du mafieux.

« Bien sûr, ma chère Belinda. » dit le mafieux en souriant, le cigare de nouveau entre les dents.

« Dans ce cas, à dans quatre ans. » dit-elle avant de partir, pour retourner chez elle, et par la même occasion, acheter le journal du jour avec les gros titres. "Une voleuse du nom de Sybil vient de frapper !" disait-il, avec un cliché d'elle flou, mais on voyais bien le style de son costume. Elle avait réussi son coup. Elle était maintenant connue de tous, sans que personne ne sache qui elle était vraiment. Sauf peut-être les couturières qui lui avaient confectionné sa tenue. Il fallait maintenant qu'elle fasse attention à tous ses faits et geste. Surtout qu'elle n'avait toujours pas de travail à son âge... Il fallait donc en trouver un pour éviter les soupçons sur elle, avec l'argent qu'elle allait gagner de ses vols.

Elle trouva donc un poste dans une bijouterie. Elle connaissait toutes les pierres, puisqu'elle les avait étudiées et connaissait leurs compositions par coeur. Le bijoutier était impressionné et l'avait rappelé. Elle n'avait plus à penser à son argent qui viendrait mystérieusement sur son compte en banque déjà bien garnis par ses parents. En parlant de ses parents, ils étaient contre le fait qu'elle travaille dans une bijouterie. Mais elle s'en fichait pas mal. Elle devait vraiment tout apprendre du métier pour ouvrir sa bijouterie. Son vieux rêve de petite fille était revenu et elle comptait bien le réaliser. Elle passa deux ans à travailler le jour et voler la nuit, vêtue de son costume de super voleuse. Le week-end, elle vendait ce qu'elle avait volé au marché noir pour avoir de l'argent. Elle n'était pas dans le besoin, et ne le serait pas même si elle ne travaillait pas jusqu'à la fin de ses jours. Elle avait beaucoup appris de son pouvoir, mais toujours pas assez pour charmer entièrement les femmes. Elles l'appréciaient beaucoup quand elle l'utilisait sur elles, mais rien de plus. Alors que les hommes perdaient totalement la tête.

Les deux années suivantes, elle alternait entre l'orfèvrerie et en joaillerie, pour en apprendre plus en profondeur. Il fallait dire que cela la passionnait. Elle savait maintenant le minimum pour ouvrir une bijouterie quand elle le voulait. Elle avait eu plus d'argent qu'elle aurait pu l'espérer dans ses vols. Elle était maintenant célèbre pour ses vols dans les musées, ceux dans quelques bijouteries, et d'autres dans de riches propriétaires qu'elle avait repérés au préalable en jouant du piano dans des soirées très fermées. Il était temps pour elle d'aller aux USA, avoir une vie trépidante et attendre des informations sur sa soeur disparue depuis onze ans déjà. Elle fit ses adieux à son petit frère seulement, le chargeant de dire la nouvelle à ses parents. Enfin, il n'avait plus rien d'un enfant. Il avait maintenant seize ans et était un peu plus grand qu'elle. Il l'avait regardé partir tristement. Il aimait bien sa soeur, la taquiner et tout le reste. Il aurait bien voulu qu'elle reste. Mais elle le lui avait dit. Il ne fallait pas la retenir. Et puis, s'il voulait, il pourrait venir la voir de temps en temps, sa porte était toujours ouverte.

Elle laissait son vieux professeur finir sa vie tranquillement, emportant quelques livres de sa précieuse bibliothèque, histoire de réviser ses composants, car elle pouvait très bien oublier quelques petites choses. Elle avait d'énormes valises. Dont une contenait son costume bien caché parmi d'autres vêtements. Une fois arrivée aux USA, elle choisit une ville tranquille, enfin tranquille, pas vraiment; Il y avait une école pour former des super-héros... Et quelques criminels cambrioleurs. Elle allait s'amuser avec tout ça. D'ailleurs, sa bijouterie allait se nommer "The Golden Life" qui voulait dire "L'or de la vie". Il suffisait juste de mettre les lieux en état, et cela allait lui donner du travail... Heureusement que son appartement était juste en haut de sa future boutique. C'est ainsi qu'allait commencer sa nouvelle vie de bijoutière pour les civils, et faussaire pour les criminels ou même voleurs intéressés. Après tout, elle avait depuis peu dépassé son maître en la matière de faire des pierres, et pouvait donc se permettre de faire ce qui lui chantait de ce côté-ci.

L'ouverture de la boutique n'est déjà plus très loin...


Dernière édition par Belinda A. Goldsmith le Jeu 7 Mar - 13:01, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Quand la passion vire à l'obsession ... Quand la passion vire à l'obsession ... Icon_minitimeVen 22 Fév - 3:29

Oooooh une crimo *^*
Bienvenue à toi ♥

(Tiens, random fact : savais-tu que le premier masque que tu décris dans ton costume est une version stylisée des masques que portaient les médecins soignant la peste au XVIIè siècle ? J'ai appris ça y a pas longtemps, ça m'a fait rire d'en voir un ici, surtout que j'avais pensé à un prédef' de criminel qui en porterait un xD )

Bref bref, pour l'instant je n'ai rien à ajouter, Abby avait tout dit avant moi \o/
En tout cas, c'est un chouette personnage qu'on a là ♥

Et puis bon courage pour ta fiche, préviens nous quand tu l'auras terminée !
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MessageSujet: Re: Quand la passion vire à l'obsession ... Quand la passion vire à l'obsession ... Icon_minitimeSam 23 Fév - 15:22

Merci~ ♫

Ah, non je savais pas. Tu viens de m'apprendre un truc là :'D. J'me coucherais un peu moins bête.

Ouais 8). J'ai fait un max de trucs, étant très inspirée sur le coup. Mon histoire était même trop longue pour que j'arrive à mettre le caractère dans le même post, alors j'ai déplacé l'histoire >x>.

En tout cas, j'ai -enfin- fini \o/.
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MessageSujet: Re: Quand la passion vire à l'obsession ... Quand la passion vire à l'obsession ... Icon_minitimeSam 23 Fév - 22:29

En effet, ton histoire est vraiment très complète, et mis à part quelques fautes d'orthographe je n'ai rien à redire dessus ! (Ah, et "The Golden Life" veut plutôt dire "la vie dorée" et non "l'or de la vie" \o/ ). Bref, dans tous les cas :


fiche validée !


Félicitations, et bienvenue parmi nous ! ♥
Ton personnage appartient dès à présent au groupe des Criminels, et il est au niveau dix-neuf. Tu as dès à présent le droit de porter ton ravissant costume, fais-en bon usage ~

N'oublie pas de créer ton équipement, ainsi que ta fiche de relations. Tu peux aussi faire une demande de logement.
Si tu ne sais pas avec qui rp, poste une demande ici !
Et n'hésite pas à m'envoyer un MP si tu te sens perdue.

Et surtout... Amuse-toi bien sur Heroe's Sup !!

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MessageSujet: Re: Quand la passion vire à l'obsession ... Quand la passion vire à l'obsession ... Icon_minitime

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Quand la passion vire à l'obsession ...

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