Markus Silverlight, l'homme-fougère-psychopathe !

Markus Silverlight
Ravi de vous étriper !

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■ Nom : Markus Silverlight.
■ Âge : 30 ans et quelques !
■ Origine : France.
■ Métier : Braqueur, voleur, falsificateur... Ça dépend du jour. Oh, j'ai oublié les prises d'otages !
■ Groupe : Criminel, je pense que vous l'aurez devinés à ma proffession.
■ Orientation : J'aime les femmes.
■ Autre : J'ai la peur de :
-Rester enfermé dans une pièce sans occupations ou pour travailler
-Quand je suis trop loin du sol (quand je suis dans un building, par exemple)
En gros, tout ce qui me rend impuissant.

Citation

Hedera

■ Nombre d'année dans l'école [professeurs et étudiants]
■ Pouvoir : Mystique
■ Don + explication : J'ai le pouvoir de créer des plantes et de les contrôler. En gros, si j'ai de la terre à proximité de moi, je peux puiser dans mon énergie vitale pour faire pousser n'importe quelle plante ou arbre à très grande vitesse. Plus l'invocation est conséquente, plus j'utilise de l'énergie. Même chose s'il faut faire de gros efforts avec les végétaux (comme soulever des poutres ou grandir à travers du béton). Une petite précision: dès que j'utilise mon pouvoir, mes yeux deviennent entièrement vert et incandescent.
■ Maîtrise ?/10 :5/10 , j'ai du mal à ne pas déclencher mon pouvoir, surtout lorsqu'on me provoque.
■ Combat rapproché? à distance? En soutient? Je préfère combattre à distance.

Si tu devais avoir....
■ une arme? Hum... pour moi ce sera un tank avec GPS et radar de recul SVP :) Comment ça c'est pas possible ?! Bon, eh bien je me contenterais d'un katana....
■ un costume? Une bure sombre à capuche.
■ un gadget? Des graines, ça peut toujours servir avec un don comme le mien.
■ un moyen de transport? Une moto.

❝ Caractère

Caractère et physique
« Détenu instable, atteint parfois de violentes crises de colères. Toute thérapie est aussi inutile que déconseillée. Garder sa cellule loin du sol, et prenez d'extrêmes précautions en interagissant avec lui, il est doté de pouvoirs surnaturels ». Voilà l'idée que la police se fait de moi. Mais c'est faux, complètement faux ! J'arrive tout le temps à garder mon calme, je n'ai jamais perdu les pédales, jamais ! Et l'incident qui a détruit ma maison et enseveli ma famille n'a rien à voir avec moi ! A l'époque, mes connaissances fuyaient mon regard, comme si j'étais taré ! Tant pis pour eux, s'ils me méprisent, alors moi aussi. C'est pas parce que j'ai passé la moitié de mon temps en thérapie spécialisée que je suis « dangereux » ! Mais c'était il y a longtemps, avant que je choisisse ce mode de vie. Les médecins disent que je suis schizophrène, mais que savent-ils de moi ? Hedera est difficile à contrôler, il veut toujours se libérer, pousser partout, envahir les rues de sa végétation destructrice. C'est ma façon de lui faire garder son calme : je lui parle, comme à un chien joueur, j'occupe son attention de diverses façons. Mais des fois, il n'en fait qu'à sa tête, et repousse mes limites. Je ne dois jamais le perdre de vue, sinon il me le fait amèrement regretter. C'est peut-être pour ça que je suis particulièrement irritable : dès que quelque chose me contrarie, il se rue dans la brèche. Je réagis souvent assez mal, et ça dégénère.
Autrement, je n'ai jamais fumé, je déteste la cigarette. De toute façon, tout ce qui est lié au feu me stresse terriblement. Je me sens obligé d'éteindre les petits mégots de cigares qui traînent dans la rue, et je me tiens toujours à bonne distance des incendies que je provoque. Par contre, je n'ai rien contre un peu d'alcool, surtout en hiver. Je déteste être impuissant dans un combat, et je n'aime pas non plus être enfermé dans une pièce sans rien faire pour m'occuper. Ce sont mes deux grandes phobies.

Physique :
J'ai un visage anguleux, des cheveux noirs assez courts et en bataille. A ce qu'il paraît, ma bouche est presque tout le temps retroussé en un sourire moqueur, ce qui me vaut la haine de tous mes professeurs. Mes yeux, verts chlorophylle, ont la particularité de briller très faiblement dans le noir, un peu comme les chats. Aussi loin que je me rappelle, j'ai toujours eu cette faculté étrange, je pense que c'est lié à mon pouvoir. D'ailleurs, dès que j'utilise celui-ci, mes pupilles deviennent vertes incandescentes, au point d'illuminer le décor à au moins un mètre de moi. Je ne suis pas spécialement grand, ni spécialement corpulent, quoique un peu plus musclé que la moyenne en raison de l'exercice quotidien que je pratique. Habituellement, je porte un pantalon de treillis, des ranger ainsi qu'une veste en cuir sur un T-shirt blanc affublé d'une tête de mort. Lors de mes opérations, je suis souvent en bure sombre, avec une capuche pour ne pas dévoiler mon identité : de mon visage, seul la lueur étrange de mes yeux est visible, ce qui doit me donner un petit air impressionnant.

❝ Histoire

Histoire
Je rentrais de ma journée de cours, épuisé et passablement énervé contre mes profs et le lycée en général. J'avais passé la journée entière à me faire gueuler dessus par le corps enseignant, soit disant parce que je ne fournissais pas assez de travail. J'aimerais bien les voir, à ma place, en train de travailler sérieusement avec mon ''handicap'' ! Ils deviendraient fous avant d'avoir pu attaquer les fonctions affines ! J'entrais directement dans ma chambre en lâchant un bref « salut » à l'attention de mes parents assis dans le salon. Mon sac de classe émit un « bomp » brutal lorsque il heurta le sol. Je ne pensais pas que mon plancher appréciait le choc, mais c'était vraiment le dernier de mes soucis en ce moment. Je me précipitais vers mon ordinateur portable pour l'allumer. J'attendis qu'il charge en triturant nerveusement mon portable. Lorsque enfin, le fond d'écran et les icônes du bureau apparurent, je me rendis sur le site du lycée en ignorant les messages d'erreurs dû à l'absence de la batterie - que j'avais cassée il y a un mois de cela. Je regardais mes notes en Anglais : 6/20 ! La prof n'avait pas tenu compte de ce que je lui avait dit ! Pourtant, elle m'avait écouté sans m'interrompre ! Elle n'en avait rien à faire de ce que je lui disait, finalement ! Ou alors, elle pensait peut-être que je n'avais pas de réelles difficultés et que je lui avais menti !
Je débranchais mon ordinateur d'un geste rageur. Il s'arrêta subitement de vibrer et émit un bip sonore, ce qui me réconforta en me donnant l'impression puérile que je le faisait souffrir. Les profs s'en foutent de ce que je ressent ! C'est à peine s'ils cillent si je leur dis que j'ai du mal avec leur matière. Je laissa ma tête retomber sur le dossier de mon siège.
C'est à ce moment que mes parents entrèrent dans ma chambre. Je n'étais pas surpris, je savais ce qu'il voulaient me dire.
-Markus... commença ma mère. Nous voulons te parler.
Mon père enchaîna :
-Nous trouvons que tu ne travailles pas assez. Tu es en train de couler, et viendra un moment où nous ne pourront plus rien faire pour toi !
Il marqua une petite pause pour que ses paroles aient plus d'impact. Je baissa la tête en attendant que ça passe. Qu'es-ce que j'avais dit ? Je vais avoir droit à un discours dramatique de mes parents sur le travail de classe ! Simple précision : mes parents ne sont pas au courant de mes « difficultés », et surtout de mon don particulier. Je leur ai toujours caché depuis mon enfance. Je sais ce qui se serait passé s'ils savaient ce que je savais faire. J'aurais été au mieux craint et détesté d'eux, ou au pire chassé de la maison. Cette fois ci, ça a l'air sérieux, ça se voit à leurs grands airs de politiques.
Je sais que je suis de nature ''irascible'': A chaque fois qu'on se dispute, je ne peux m'empêcher d'insulter, de crier et de laisser ma colère parler à ma place. J'attendis donc le verdict en me retenant de dire quoi que ce soit et en priant pour que ça ce finisse vite et sans dégénérer.
Ma mère reprit la parole :
-Nous avons décidés de t'envoyer en internat pour augmenter tes notes.
C'était la dernière chose à laquelle je m'attendais ! Je réagis instantanément, malgré mes bonnes résolutions :
-Quoi ?!
-C'est mieux pour toi.
-Mais pourquoi !! Qu'est-ce qui vous passe par la tête pour avoir des idées aussi stupides ?!
-Markus..
Je ne la laissa pas continuer :
-Je veux rester ici ! Je ne vais pas vous obéir sous prétexte que vous êtes mes parents ! J'irais jamais dans votre internat de merde !
-Tu n'as pas le choix ! Reprit mon père. Markus, nous faisons ça pour t'aider !
-Vous croyez que ça va m'aider ?! Crachais-je, la voix suintante d'une colère dévorante. J'aurais encore plus de difficultés là-bas, avec tout ces couillons qui me crient dessus H24 !
-Surveille ton langage ! Tu n'as pas le droit de...
Une fois de plus, je l'interrompit :
-Ta gueule, sale chienne !
Les mots avaient dépassés ma pensée, et de très loin. Je savais que je le regretterais amèrement plus tard, mais j'étais tellement en colère que pour l'instant, je n'en avait rien à faire. Ma rage me dictait des paroles venimeuses, celles qui avaient le plus de chance de les blesser, de faire mal. Mon père réagit au quart de tour, il me colla une baffe magistrale qui m'envoya valdinguer à l'autre bout de la pièce.
-Georges ! S'exclama ma mère, presque terrifiée de ce qui pouvait se passer.
J'étais surpris de ce coup, je ne m'y attendais pas du tout. Cela alimenta davantage ma colère. Le sang me monta à la tête, des tâches noires troublèrent ma vision. Mon cœur battait la chamade. J'avais envie que tout explose, que mes parents souffrent ! Soudain, je compris ce qui était en train de se passer. Je revis une scène dans ma tête, une scène qui a eu lieu il y a plus d'un mois : ce jour là j'étais tellement en colère que je ne savais plus ce que je faisais. C'est alors que ma plante en pot avait explosée, et réduit la batterie de mon ordinateur en miettes. Je réalisa que ce qui m'était arrivé ce jour là était en train de recommencer : je perdais les pédales ! Ma rage dominait ma conscience ! Face contre terre, j'essayais de revenir à un mode de réflexion normale, puis la vision de mon père me frappant revint à la charge. La fureur balaya tout, telle une vague de feu destructrice. Je n'arrivais plus à penser normalement, j'étais en ébullition. Je me redressa et vit ma mère en larmes. Mon père était encore dans la même position, sous le choc de ce qu'il avait fait. Ces deux signaux de détresse rebondirent sur la coque de haine qui recouvrait mon cœur.
-Vous allez crevez !!! m'écriais-je d'une voix terrifiante.
Le sol se mit à trembler, ma vision se teinta d'une lueur verte.
-Markus.. Tes yeux ! Dit mon père d'une voix blanche. Ils sont... entièrement verts !
Le séisme redoubla d'intensité. Je me mis à ricaner, comme pris d'un coup de folie. Je sentais l'énergie couler de mes mains, sans savoir ce qu'elle provoquait. Elle jaillissait hors de moi, traduisant du même coup ma colère et ma frustration. C'était comme si je lançais ma rage vers mes parents pour qu'ils comprennent ce que je ressentais ! Ce ne fut que lorsque la première latte de plancher explosa que je réalisa l'ampleur de ce que j'avais invoqué. Et il était trop tard pour faire machine arrière, c'était comme un camion qui fonçait inexorablement vers moi : je ne pouvais l'éviter, et surtout, je ne voulais pas! Je n'avais pas le temps ni l'envie de réfléchir où cela me mènerait, j'avais juste envie de combler ma soif de destruction.
Le sol et les fenêtres explosèrent en échardes de bois et de verre, laissant apparaître d'énormes vignes qui s'accrochèrent à tout ce qu'elles pouvaient pour les enserrer dans une étreinte mortelle. Mes parents disparurent en hurlant sous un amas de plantes grimpantes. Les murs se lézardèrent, des morceaux de pierre de la taille d'ananas tombèrent du plafond. Les plantes toujours plus nombreuses et grosses, resserrèrent leurs poigne de fer sur le mobilier au point de faire imploser mon bureau et mes étagères. Soudain, j'entendis un énorme CRAAC. Je n'eut pas le temps de penser à fuir que le plafond me tombait sur la tête.
Et ce fut le noir.

Je me réveillais sous de gigantesque racines. Je ne savais pas combien de temps j'étais resté inconscient – une heure, une journée peut-être ? Je remarqua que les racines maintenaient plusieurs tonnes de débris au dessus de ma tête. C'était ce qui m'avait sauvé de la mort. Je pensa à mes parents, peut-être près de moi sous les décombres. Je fut tout à coup pris d'un haut le cœur et je recracha mon dernier repas sur le sol. Je m'essuya la bouche.
-Qu'est-ce que j'ai fait ?..
Je savais ce qui s'était passé : Hedera s'était montré plus fort que moi, il m'avait surpassé ! Je ne suis pas arrivé à le contrôler, et de toute façon, au moment fatidique je n'en avais pas l'envie.
Puis j'entendis les sirènes de police. Cela me fit réaliser que finalement, je n'étais pas resté dans les pommes aussi longtemps que je pensais. Qu'est-ce qui allait m'arriver ? Allais-je accepter de partir en pension, voir un psy tout les jours, rester enfermé dans une salle de classe ou une chambre d'internat pour le restant de mon enfance ?! Non ! Il était encore temps de fuir ! Je pleurerais plus tard mes parents, morts par ma faute. Pour l'instant, je devais fuir la police et trouver une cachette. Sous mes ordres, les racines s'écartèrent pour me laisser passer dehors. Je gonflais à fond mes poumons.
« C'est le moment de courir ! »

■ Tu as un surnom ou un pseudo? Hem... Mark ?
■ Tu as quel âge? 15ans.
■ Comment as-tu découvert le forum? Grâce à ma soeur Russy qui est arrivée avant moi.
■ T'es une fille ou un gars? Un gars, m'sieur.
■ Tu te définirais par quel mot? Paresseux ? *baille*
■ Qui est sur ton avatar? D'où vient-il? vava privisoire, j'attends celui qui sera fait par Russy ! Enfin, faut qu'elle commence à le faire quoi °_°
■ Tu as vu le code? Un oeuf d'autruche, ça se mange en omelette ! Fuuu, je l'ai cherché celui là xD

Coucou! J'aime beaucoup ta fiche :) elle est très bien mais je te ferai une remarque avant de te valider: au passé simple et à la première personne su singulier, la terminaison du verbe est en "AI" et pas en "A"... (désolé cette faute m'insupporte V.V) tu ne l'as pas faites partout en plus, parfois tu mets le "ai", parfois tu mets "a". C'est dommage parce que ça gâche un peu la lecture. A part ce détail, pour moi au prochain message, tu es validé :)

Salut !
Je sais que je faisais beaucoup de fautes de grammaire avec l'imparfait il y a longtemps, mais j'ai appris à me corriger. Là, je viens de reprendre les RPG, du coup mes vieilles lacunes sont revenus ! Le pire, c'est que c'est mes parents qui m'ont relu, et c'est eux qui ont corrigés les verbes à l'imparfait (pas tous, je suis pas aussi assisté que ça quand même. Du coup, j'en déduis que les fautes de grammaires se transmettent de génération en génération.
J'ai corrigé :)

Pour moi, ton pouvoir n'est pas "prodige" mais "mystique", vu qu'il contrôle un élément (les plantes font partie de la terre pour moi). Change ce détail et tu seras validé ^^

Voilà voilà ^^

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Ton personnage appartient dès à présent au groupe des criminels, et est au niveau 15. Pour commencer, je lui donne ses graines (gadget).

Félicitation

■ VALIDATION ■

♥ La première chose à faire sera de t'identifier !
♥ N'oublie pas de créer ton équipement, ainsi que ta fiche de relations. Tu peux aussi faire une demande de logement.
♥ Si tu ne sais pas avec qui rp, poste une demande ici !
♥ Et n'hésite pas à m'envoyer un MP si tu te sens perdu.

Et surtout, amuse toi bien sur Heroe's SUP !

Yes ! Merci :D

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