Heroe's SUP
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
NOUS TENTONS DE REPRENDRE LE FORUM EN MAIN. SI VOUS ÊTES INTÉRESSÉS, MANIFESTEZ VOUS. ♥️
recensement ici ; https://h-s-sup.forums-actifs.com/t1228-recensement-de-relance#13877
Le Deal du moment :
Réassort du coffret Pokémon 151 ...
Voir le deal

Partagez|

Virole prométhéenne des Lumières ▬

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage
avatar
Invité




Virole prométhéenne des Lumières ▬ Vide
MessageSujet: Virole prométhéenne des Lumières ▬ Virole prométhéenne des Lumières ▬ Icon_minitimeDim 5 Mai - 8:27



LE DÉMIURGE


Identité
Nom: Panélion
Prénoms : Ambroise Orphée Louis.
Âge: Vingt-deux ans.
Nationalité: Française.
Profession: Artiste plasticien.
Orientation sexuelle : Ca dépend.
Phobie : Le noir.


Identité Secrète

Année : N'y a pas étudié.
Niveau : A compléter après le passage d'un admin
Super pseudo : Prométhée.
Groupe : Les Criminels.
Classe : Mystique.
Combat : A distance.
Pouvoir : Lucifer ▬
Maîtrise : 9/10.
Explication : Lucifer • Contrôle de la lumière Entité de lumière. Son corps tout entier est lumière, et il lui engage une énergie incroyable à se concentrer pour se matérialiser dans un corps tangible. Quand son pouvoir surgit, un soir qu’égaré dans un bois il se sentait menacé, il s’évanouit en lumière diffuse et eut beaucoup de peine à se rétablir sous forme d’une lumière d’apparence humanoïde. Les conséquences néfastes de son pouvoir furent une perte presque totale de sensations, qu’il recouvra cependant à mesure qu’il progressait dans la maîtrise de son pouvoir, et dont il peut de nouveau jouir au prix d’une grande concentration. Sous sa forme désormais véritable, il est à peu près identique à la différence qu’il est entièrement fait d’une éblouissante lumière ; comme toute lumière, le fixer trop longtemps affecte la vue, mais lui-même ne voit le monde, sous cette forme, plus qu’en fonction de sa lumière et de son obscurité. En tant qu’être de lumière, les coups physiques ne l’affectent pas, ce qui n’est pas vrai quand il est en chair ou sous forme lumineuse très concentrée, et il peut se déplacer ainsi que le fait la lumière. Il peut également priver un espace de lumière, ce qui ne soufflera pas pour autant les bougies ni ne grillera les ampoules, elles ne seront simplement plus sources de lumière ; cela ne peut se faire que dans un espace très restreint et n’est que très rarement visible en extérieur puisqu’on y trouve de très nombreuses sources lumineuses. Il est enfin capable d’attaquer à distance grâce à des rayons de lumière.

✤ Si tu devais avoir...✤

Une arme : Un pistolet à barillet.
Un costume : Quelque chose de très contemporain.
Un gadget : Un Rubik's Cube pyramidal qui est une encyclopédie numérique, douée d'une intelligence artificielle pour faciliter les recherches, dire à haute voix les résultats ou faire apparaître tel objet sous forme holographique.
Un moyen de transport : Un ticket de métro.


Virole prométhéenne des Lumières ▬ Figure10

Caractère


[Altruiste] ✤ [Courtois] ✤ [Philanthrope] ✤ [Sincère et loyal] ✤ [Artiste] ✤ [D'une démence plaisante] ✤ [Volontiers rieur] ✤ [Libertophile] ✤ [Rhéteur comme un bretteur] ✤ [Fasciné par l'altérité] ✤

[Calculateur] ✤ [Sanguin] ✤ [Violent] ✤ [Lunatique] ✤ [Opiniâtre] ✤ [Misologue] ✤ [Persuadé de détenir la vérité] ✤ [Volage] ✤ [Identité duelle, selon qu'il est civil ou engagé contre les héros] ✤ [Téméraire] ✤

A priori dépourvu d’animosité, il n’est habité que de passions qu’il ratiocine à outrance. Dissimulant ses activités criminelles, qui ne le sont que parce qu’opposées à celles des héros et causant aussi peu de tort aux civils que faire se peut, il est la plupart du temps un artiste plasticien qui s’est exilé de la France dont il garde un insondable accent lorsqu’il exprime en anglais, pour conquérir les Etats-Unis avant d’engager sa chevauchée alexandrine en Europe. Au contraire de sa mère qui l’a toujours éduqué dans la certitude de l’éminence parisienne sur le trône des arts, il en estime la couronne fille du cosmopolitisme et n’éprouve donc aucun remords à avoir quitté la cité des lumières pour briller ailleurs. Amoral à jamais, il est un grand mondain la nuit, menant une vie dissolue aux mœurs déliées qui le conduit jusque dans les excès les plus étonnants. Engagé dans ce qu’il entreprend, il est un travailleur acharné, puisqu’il est exactement conscient que le génie n’est que du talent que cultive la force des efforts ; le talent n’est qu’une condition préalable au triomphe.

Il n’est pas un criminel dans l’acception courante de la notion. Il l’est parce qu’il est contre les lois de la nation et parce qu’il est surtout opposé à l’émergence de cette caste divine composée de surhommes imbus d’eux-mêmes. Ils ont trop de fierté, trop d’estime envers leur propre reflet et s’érigent comme défenseurs de valeurs qui ne sont que des inventions. Ils ne réfléchissent, ils exécutent et sont formés pour servir un état du monde, affichés via les légendes, ces abominations militaires, comme une nouvelle arme pour démontrer au monde une surpuissance fantasmée. C’est parce qu’il défend l’équité et qu’il croit, par l’argument de sa philosophie passionnelle, que leur prééminence issue de leur force n’est qu’un retour à un état antérieur à la civilisation où les puissants ne sont pas les meilleurs mais les plus forts, qu’il est opposé aux autoproclamés héros. Arguant que les héros antiques dont ils tirent leur titre sont étrangers à la morale qu’ils prétendent hypocritement incarner. Supercherie ! Mais Orphée n’est pas l’ami de la pugnace ignorance et de la bêtise, aussi est-il très violent avec les héros quand il leur est directement opposé, et n’hésitera pas à tuer. Même des civils, si cela s’avère nécessaire. Toutefois, il se départit complètement de son ego dans sa poursuite d’une justice immanente et veut seulement que la lumière soit faite sur ce nouvel ordre qui s’instaure inconsciemment.

Physique
Couleur de peau ::
D'ivoire.
Couleur d'yeux ::
De jade.
Couleur de cheveux ::
Teints de la même couleur que son regard.
Taille ::
Un mètre quatre-vingt.
Corpulence ::
Silhouette athlétique.
Traits particuliers ::
Les traits de son visage sont fins mais très marqués, comme s'il avait été taillé, mais avec des scrupules séraphiques. Il a un écarteur à l'oreille droite. Son annulaire et son majeur droits sont toujours ceints d'anneau, ainsi que son index gauche.

Histoire
L’amour dans les veines
comme de l’ambroisie,
et les ivres ires
de n’en pas pouvoir jouir.

Qu’il en fût pourvu à sa naissance, ou qu’il en pâtît a posteriori n’importait que peu, puisqu’il était dorénavant tel, conscient de l’élection dont il jouissait et aspirant à la manipuler en virtuose. Emule de lumière. Miracle. Astre chu dans la fange.

Ci-gît Junie. Illuminée. Apothéose. Au firmament où grouillent les étoiles, quand jetée dans la terre que dévorent les vers. Eternelle comme le sont les souvenirs.

Dans la nuit, il ne s’égare pas, le phare de nostalgie.
Dans le jour, il est une éclipse, l’Apophis iridescent.

*
**

Sur les ailes de lumière d’une ville que fendent des eaux toujours placides, féroces jusqu’aux berges comme un fauve hurle dressé dans sa cage, les réverbères tracèrent de salons sobres en univers éthyliques le baldaquin d’un berceau de la même matière que le soleil pour les yeux. Cette couronne de cécité perchée aux cieux pour auréoler l’ordure de sainteté s’était précipitée comme un aérolithe dans le velours et la soie pour déposer sur le ventre d’une femme le suaire de la vie. Quand les démons virent à sa poitrine qu’elle était gorgée de toute la malice que le fruit qu’elle portait pût enfanter, ils l’aidèrent en la tenant par les reins à mettre au monde un monstre d’absolu.

L’aède connut des aubes nouvelles le deuil des amours, et la fugacité de la jouvence, connu des crépuscules comme un contempteur de ce qui, éclos la veille, fane le soir. Pareil à ces roses qu’assèche le jour le soleil de toute la fraîcheur qui au matin leur donna vie, l’existence flâne entre l’abîme de l’ennui et les fossés, tendus de crocs de roche, de dangers qui font les délices ; acculé dans l’abîme par la désespérance plaquée sur sa tempe comme un flingue, dans le fossé par l’appétit des mets que fabule la défense. Ce veuf prématuré marcha toujours sur la laie exiguë que ses pensées protéiformes, tant noires qu’égayées, étendaient ainsi qu’une voie royale.

Sa mère une louve l’éleva seule, plutôt comme une chimère monstrueuse qui préserve sa progéniture pour s’en repaître que comme l’aimable couveuse animée de caresses que ne justifie que la tendresse. Elle le concevait en son crâne après l’avoir conçu en sa matrice, et l’imprimait de son caractère avec un empire tel qu’on eût cru qu’elle l’avait sculpté dans la matière sans l’adjuvance d’aucun mâle ; alpha, à n’en pas douter d’après le patrimoine dont il jouissait. Elle ne voulait rien de singulier pour lui que ses ambitions personnelles. Elle lui intimait dans chaque parole de faire comme elle faisait, de dire comme elle disait, de penser comme elle pensait. Il n’était pas libre, il était une réplique de ce qu’elle était, améliorée comme il put l’être, le réceptacle vide de sa psyché pleine de la noirceur de ceux qui ont déjà le sépulcre collé à la rétine. Il était son flacon d’immortalité.

Elle l’avait élevé jusques au sommet des flèches icariennes, où il côtoyait l’astre émérite le jour et les soleils de nuit quand la lune resplendit. Son père, en vérité, était un galeriste qui s’était ostracisé à Berlin où, disait-il, l’art contemporain était partout en germes qu’il aspirait à cueillir pour en faire d’éprouvantes arborescences. Sa mère, qui gardait pour Paris l’affection la plus vive, qu’elle avait transmise à son fils, n’avait pas voulu le suivre dans ses billevesées et se fit tributaire d’un art qu’elle voulait dans cet écrin intemporel résolument tourné vers l’avenir ; peut-être avec trop de décennies d’avance. Julie instruisit son fils aux arts pour qu’il tuât son père son mari. Il fut un académicien d’exception, mais subséquemment rien qu’un artisan du quotidien. Elle l’avait arraché à lui-même ainsi qu’il ne se considérait plus comme soi, mais comme une altérité ; que son corps, sa vie lui étaient des dons et non plus des propriétés.

Pandore scindée en deux figures, sa prime face l’éleva jusque dans une prison d’or dont le libéra le verso au visage opalin.

Prima Eva Junie fuit. Elle le déchaîna de sa tentaculaire phédrésie. Rencontrée sur les quais de la Seine un soir qu’il déclamait ivre des vers qu’il avait composés, et qu’elle rentrait chez elle dans la compagnie du frimas décembral, elle lui avait épargné de se noyer saoul dans le bras infesté de nixes de la Seine en trébuchant sur les pavés verglacés. Ils s’éprirent l’un de l’autre. Il avait retrouvé sa quête des trésors et démons de la vie, dont il jouissait également. Dans le bitume fleurirent les remembrances d’or et de joie avec Junie, qui le libéra de la société et l’abreuva à son sein de mépris contre celle-ci qui enfermait dans des carcans avec la malice d’y faire scintiller la liberté.

*
**

Quand un prétendu héros sauve une vie, ce n’est pas moins pervers qu’un grand criminel qui, magnanime, épargne une vie : tous deux cherchent la reconnaissance de celui pour qui, à partir de cet instant, ils incarnent une grâce divine. Si l’on condamne un homme pour le gracier ensuite, quel intérêt de l’avoir châtié, sinon celui de troquer sa haine contre la justice contre une soumission éternelle à la miséricorde factice et arbitraire ? Il n’est de plus servile bête qu’Abraham, il n’est de plus ignominieux maître qu’un dieu.

Je ne suis pas un criminel. Serait-il criminel d’anéantir des armements atomiques pour prévenir les morts indénombrables qu’ils vont engendrer ? Je ne suis qu’un visionnaire, quelqu’un qui anticipe ; mon esprit se meut dans la raison et dans les passions à la vitesse de la lumière. Au nom d’une justice immanente. Eclairée. Lumineuse. Si c’est être criminel que de servir une justice plus haute que celles dont les lois liberticides imposent des idoles qui ne sont que blêmes fantoches, je suis alors bandit de grands chemins, arpenteur du vice et héraut du péché.

La violence, ce n’est pas le mal. Le mal, c’est le silence immobile qui permet la violence.

Dominer, ce n’est pas le mal. Le mal, c’est gracier et rendre l’illusion de la liberté par orgueil.

*
**
Les hommes ont au ciel leur vœu d’hégémonie
Et vouent leur panthéon d’ordure aux gémonies
Mais tu veux les hisser jusqu’à ce firmament
Sans en déchoir aucun de ses princes d’antan
Car leurs maîtres rivaux te sont d’affables frères
Qu’aussi tu abhorres ainsi qu’ils les vénèrent

Naguère à la ténèbre offert à la merci
Comme un agneau tu vis dans ton divin lassi
De lumière et de feu l’ambrosiaque exutoire
De cette plèbe immonde à châtier sans surseoir
Le moment échéant leur vaine démesure
Pour qu’elle scintille par-delà les azurs

Percluse dans le noir dont tu vainquis la peur
Tu me cueillis naïve en hiver dans la fleur
De candeur d’où je fuis grâce à ton impulsion
Contre la liberté et quelque sensation
Neuve pour toi alors qu’en me livrant à toi
Tu jetas ton emprise éternelle sur moi

Captive de ton corps depuis que ta lumière
M’a pris la vue du monde où dorénavant j’erre
Comme une veuve vierge attendant la visite
D’un spectre qui partit sans achever le rite
Des amants moi j’attends avec l’ultime image
L’amoureux de Junie et son dernier visage

Et toi? Qui es-tu?



Surnom(s) : Granny. D'après Gany, hypocoristique de Ganymède.
Âge : Dix-huit ans.
♂ ou ♀: Spécimen phallique.
Un mot qui te définit : Aliénation.


Avatar : N de Pokémon.
DC et/ou TC : Jamais.
Que penses-tu du forum : J'en pense, donc j'y suis. (Mais je n'aime pas les fiches, bien que je sache que c'est nécessaire. On l'aura probablement senti à la lecture fastidieuse.)
Code : Le poney le fit disparaître coeur




Revenir en haut Aller en bas
Mystique
Alcée
Alcée


▌LOCALISATION : Underneath the bridge ~

FC
▌SUPER: Blast
▌POWER: Aéromorphie
▌LEVEL:
Virole prométhéenne des Lumières ▬ Left_bar_bleue15/100Virole prométhéenne des Lumières ▬ Empty_bar_bleue  (15/100)


Virole prométhéenne des Lumières ▬ Vide
MessageSujet: Re: Virole prométhéenne des Lumières ▬ Virole prométhéenne des Lumières ▬ Icon_minitimeMar 7 Mai - 19:22



Fiche validée !

Félicitations, et bienvenue parmi nous ! ♥


Honte à moi, je voulais te valider hier soir, mais ma connexion internet est une souveraine capricieuse.
Quoiqu'il en soit... Eh bien, j'ai tellement aimé ta fiche que j'en perds un peu mes mots (pour la confidence, je l'ai lue quatre fois). Je n'ai donc rien à dire de plus, si ce n'est que le personnage d'Orphée est fantastique.

Ton personnage appartient dès à présent au groupe des criminels et il est au niveau 27. Pour commencer, je te donne ton costume très contemporain ~

La première chose à faire sera de t'identifier !
N'oublie pas de créer ton équipement, ainsi que ta fiche de relations. Tu peux aussi faire une demande de logement.
Si tu ne sais pas avec qui rp, poste une demande ici !
Et n'hésite pas à m'envoyer un MP si tu te sens perdu.
Et surtout, amuse toi bien sur Heroe's SUP !
Revenir en haut Aller en bas

Virole prométhéenne des Lumières ▬

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Heroe's SUP :: Fichiers clos :: Fiches en perdition-