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Madness is subjective.

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AuteurMessage
Prodige
Murphy Wreck
Murphy Wreck


▌LOCALISATION : Avec Franz ~

FC
▌SUPER: Phantom
▌POWER: Contrôle des cinq sens
▌LEVEL:
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Madness is subjective.  Vide
MessageSujet: Madness is subjective. Madness is subjective.  Icon_minitimeDim 24 Fév - 4:25



Murphy Wreck




Identité

• 23 ans
• Miss Wreck
• Danemark
• Officiellement cascadeuse
• Officieusement espionne
et tueuse à gages
https://2img.net/r/hpimg11/pics/744910Sanstitre2bvb.png
Identité secrète


Phantom •
Criminelle •
Contrôle des sens•




• Explication du don


Les cinq sens, tu connais ? Odorat, vue, toucher, ouïe, goût. Moi, je suis capable de les contrôler. Je peux les rendre ultra-sensibles ou t'en priver pendant une durée que je choisis. Ça s'applique à moi-même aussi bien qu'aux autres : priver une foule entière de la vue, j'en suis capable, bien que ça soit assez éprouvant. Te rendre aveugle, sourd, ou t'empêcher de ressentir quoi que ce soit. Je peux même te priver de plusieurs sens en même temps, si l'envie m'en prend, pendant une durée très limitée. Ou, à l'inverse, je peux rendre ton ouïe tellement fine qu'un simple bruit de pas te paraîtra être un insoutenable capharnaüm. Je peux te rendre myope tout en me dotant d'une vision d'aigle. Je peux faire de ton existence un véritable enfer, où tu ne pourras même pas compter sur tes sens qui sont pourtant si fidèles.
Rassure toi cependant, il y a des failles. Mon don m'épuise, mon don me bouffe. Le garder actif pendant trop longtemps est une véritable torture, et pour que ça soit supportable je dois me limiter. Ne manipuler qu'un seul sens à la fois, sinon je me vide de mon énergie. Parfois, en cas d'extrême urgence, je fais une entorse à la règle, et il me faut plusieurs heures pour récupérer.



• C'est un cauchemar qui commence

« Voilà, j'ai tout ce qu'il te faut, gamine. Carte d'identité, passeport, permis. Mais franchement, "Murphy Wreck" ? Ça pue le faux nom... T'aurais pu choisir quelque chose de plus discret. »

« On s'en fout, de ton avis. Tu marques ce que je te dis de marquer et c'est tout. Tu l'as fait ? C'est bien. Maintenant tire toi. »

« Eeeh, minute papillon. Il me manque la thune. Et je veux du cash, tout de suite. »

La gamine m'a souri. Vingt-trois ans ? Elle ne les faisait pas du tout, si vous voulez mon avis. À la limite, j'aurais dit dix-neuf... Pas beaucoup plus. Mais bon dieu, ce sourire. Jamais j'en avais vu un qui soit aussi flippant. Cette gamine avait vraiment une tête de détraquée, sur l'instant. Et puis trois secondes après, le noir total. J'étais toujours conscient, mais je ne voyais plus rien, je n'entendais plus rien. J'aurais pu croire à une espèce de malaise, mais mon intuition me disait que... Eh bien, ça va vous paraître dingue. Mais je suis persuadé que c'est elle qui a provoqué ça. Une tarée, je vous dit, une vraie tarée... Je sentais plus rien non plus. J'étais conscient, je vous le jure, mais quand j'ai a nouveau repris pleinement possession de mes moyens, j'étais ligoté dans la vieille prison... Là où vous m'avez trouvé, quoi. La gamine, disparue, évaporée. Là j'ai compris que je pouvais m'asseoir sur le fric, j'en verrais jamais la couleur...



On peut dire que c'est à ce moment qu'a commencé la vie de Murphy Wreck, car avant elle s'est appelée Agatha Smith, Lois Holmes, Magdalena Amsel, Bianka Tünde Korona... Elle est née Rebekka Jensen, un jour d'été. Plus personne ne le sait. Le soleil rayonnait sur le fjord, il y avait eu des cris de joie, de la part de Kristen et Jared. Les parents. Le bonheur simple, entier et indiscutable de voir son premier enfant voir le jour. Ils habitaient un petit village tranquille, loin du vacarme des villes, de la cohorte d'inconnus se marchant dessus tout en réussissant l'exploit de s'ignorer allègrement. Un petit village où tout le monde se connaissait, où l'on grandissait, vivait et mourrait ensemble, un petit village à l'abri du monde et de ses dangers. Un papa menuisier et une mère au foyer. Un foyer tranquille. Rebekka aux cheveux châtains et aux yeux immenses, deux grandes perles de nuit sur un visage pâle et angélique. Ce sera la seule enfant de la famille, puisque Kristen devait s'éteindre dix ans plus tard, laissant une famille bancale et au coeur brisé. Un petit village si paisible, mais qui n'était pas à l'abri de la maladie.

Jared a clairement affiché son deuil. Un homme détruit, fini, l'ombre de lui même. Chez la petite, ce fut moins flagrant. On aurait dit qu'elle ne s'était pas vraiment rendue compte de la disparition, qu'elle ne réalisait pas vraiment ce qu'il lui arrivait. Et pourtant... Si on avait pris la peine de regarder plus attentivement, on aurait pu remarquer que c'est chez Rebekka que la perte s'était avérée la plus dramatique. Il en faut peu pour entraîner la folie. Si peu...

Un peu plus de vide dans ses yeux. Des sourires étranges. Et pire, des faits étranges autour d'elle. On ne savait pas trop ce qu'il se passait soudainement. Des fois, à son contact, des gens se retrouvaient quasiment aveugles plusieurs heures durant. Ou sourd. Les aliments perdaient leur goût. Ou a l'inverse, les choses prenaient soudainement une dimension très différente, comme s'ils avaient été capable de voir, d'entendre, de sentir les choses à la manière d'un prédateur, tellement mieux qu'avant... Oui, cela devenait presque insupportable. Bek' faisait peur. Aux enfants d'abord, puis les adultes eux-même en vinrent à la craindre. Elle avait des allures d'enfant maudite, rappelait les étranges poupées de film d'horreur avec son flegme affolant et ses regards qui en disaient long sur l'étendue de la folie meurtrière qui la rongeait.

C'est durant l'hiver de ses quatorze ans que le drame a éclaté. Jared poignardé dans la cuisine. La petite disparue, disparue à tout jamais. On ne la regretterait pas trop, au moins. Une drôle d'affaire, ce meurtre. Pas de preuve. L'assassinat, sauvage, devait révéler que la victime avait souffert, longuement souffert, avant de mourir. Mais on n'avait pas entendu le moindre cri. Pire, Jared avait une expression béate sur le visage. Normal, il n'avait rien senti. Au moment où les autorités entraient, alertées par une absence de trois jour du père comme de la fille, pour découvrir le cadavre qui patiemment commençait à se décomposer, un conducteur déposait une bien étrange auto-stoppeuse à Amsterdam, Hollande. Deux jour plus tard, dans un orphelinat local, on recueillait une jeune adolescente se prétendant amnésique, et disant ne se rappeler que de son nom :

« Moi, c'est Bianka... Bianka Tünde Korona. »

Très vite acceptée dans une famille d'accueil. Des études brillantes, prévoyant de s'engager dans l'armée, elle passe sa vie dans les stands de tir et semble cultiver une réelle passion pour la gymnastique, discipline dans laquelle elle devient championne nationale dans sa catégorie. On ne lui connaît pas vraiment d'amis, mais on peut parfois la voir traîner, tard le soir, dans des bars et coffeshops en compagnie d'un groupe de punks bruyants et très portés sur la défonce... Ses nouveaux parents n'auraient pas été ravis de l'apprendre. Il y a aussi cette fille, Magdalena. Une prostituée d'origine allemande, qui ressemble à Bianka traits pour traits, si ce n'est qu'elle a les cheveux blonds et ondulés, et les yeux légèrement plus clairs. Elles discutent beaucoup, sont très complices.

Et puis un soir, alors qu'elles étaient sorties toutes les deux, Bianka commet une erreur. Peut-être un peu trop d'alcool, ou beaucoup trop d'herbe ? Elle raconta à Magdalena son passé. Elle lui apprit qu'elle n'était pas amnésique, et tout doucement lui conta l'histoire de Rebekka Jensen dans un paisible village Danois. La mort de Kristen, puis la solitude, la sensation que la vie était bien trop absurde, que personne ne pourrait leur rendre justice, à elle et à son père.

« Alors je l'ai tué, fit-elle d'une petite voix d'enfant, je l'ai tué pour qu'il n'ait plus à souffrir. »

Magdalena prit peur et s'enfuit, loin de cette jumelle de coeur et d'aspect, qui s'était avérée être une tueuse. Une malade. Elle prit la direction de son appartement. Se réveilla dans un lieu inconnu, face à un miroir. La première chose qu'elle remarqua fût ses cheveux. Ils avaient été teints, de la même couleur que ceux de Bianka. La seconde chose qu'elle remarqua, fut Bianka... non. Rebekka. À côté d'elle, en train de caresser, doucement, ses cheveux anciennement blonds. Si quelqu'un avait vu la scène, il aurait cru que sa vision se dédoublait tant les jeunes filles se ressemblaient. Bianka avait la voix nouée par l'émotion.

« Pardon Magda, pardon... Je t'en ai trop dit, tu sais. Je m'en veux, je suis désolée... Plus rien ne sera pareil à présent. Mais tu n'auras pas à souffrir, je te le promets. »

Non, Magdalena ne sentit rien. Elle s'en alla sans la moindre douleur, perdant soudainement tous ses sens et tous ses repères. On retrouva le cadavre quelques heures plus tard. Elle avait été assassinée aux premières heures de l'aube, dans le sous-sol d'une boutique de vêtements, avec une arme blanche dont il ne subsistait plus aucune trace. Et tout d'abord, on fut persuadé que ce cadavre était celui de Bianka Tünde Korona. Probablement assassinée par Magdalena Amsel, qui, à peine quelques heures après le vol, avait présenté son passeport pour le premier vol jusqu'à Londres. Plus tard dans l'après-midi, l'autopsie devait révéler que le cadavre dont ils disposaient était celui de l'allemande. Voilà que les rôles étaient inversés. On lança des avis de recherches, des photos de la jeune fille. Mais déjà il était trop tard. Elle avait teint ses cheveux en noir et portait des lentilles bleues, elle s'était déjà fait de nombreux amis dans un squat de Soho. À partir du moment où elle avait posé les pieds là bas, elle avait mis fin à sa courte vie en temps que Magdalena Amsel. Dès à présent, tous la connaîtraient sous le nom de Loïs Holmes.

Loïs disait avoir vingt-et-un ans. Selon la manière dont elle appliquait son maquillage, on pouvait la croire plus ou moins facilement. On admirait son physique, on déplorait un peu la facilité qu'il y avait pour quiconque voulait la mettre dans son lit : les hommes n'aiment pas les filles trop faciles. Les filles en revanches s'en satisfaisaient, et globalement tout le monde était heureux. Dans un bar de la ville, on lui avait promis des papiers si elle s'embauchait comme strip-teaseuse, ce qu'elle n'avait pas hésité à faire. Tous les soirs elle faisait claquer ses talons aiguilles sur la scène miteuse, agitant ses formes tandis que des épaves alcoolisées la sifflaient allègrement. Quand on la regardait avec un peu trop d'insistance, on pouvait se rendre compte avec étonnement que notre vision devenait trouble. Sans doute avait-on bu quelques verres de trop.

Au bout de huit mois, le patron du bar, qui avait d'étroites relations avec une organisation criminelle de Soho, lui annonça qu'on allait lui faire des papier au nom qu'elle désirerait dans la semaine. Et le soir même, elle se disputa avec ce qui était son premier et unique petit ami. Une dispute violente, qui abouti sur une série de coups de couteaux dans l'absomen du garçon. Et jamais Loïs ne s'était sentie aussi bien qu'en voyant le sang gicler autour d'elle. Elle ne prit même pas la peine de cacher le cadavre. Au diable les autres personnes vivant dans le squat, qui rentreraient dans peu de temps. Elle partit, n'emportant que sa paye. Et le lendemain, elle reçut des papiers au nom qu'elle avait demandé : Agatha Smith, âgée de vingt-deux ans. Elle coupa ses cheveux exagérément longs, optant pour une garçonne. Elle voulait gagner les États-Unis. Quelques jours plus tard, elle s'envola pour Boston.

C'est là bas que l'agence l'a contactée. Un type affublé de Ray Ban aviator aux verres fumées, afro-américain. Il réussissait l'exploit d'avoir à la fois l'air d'un des gangstas tout droit sortis du Bronx, d'un maffieux et de Will Smith dans Men in Black. Immédiatement il lui avait paru sympathique. Brièvement, autour d'une tasse de café dans le studio miteux d'Agatha, ce type en costume à trois mille dollar, qui lui avait dit s'appeler Edgar Smogs, avant de lui avouer avec un sourire en coin qu'il était lui aussi adepte de faux-noms, lui avait brièvement parlé de ce qu'il appelait l'agence.

« Il faut que tu canalises cette envie de tuer. Sinon, ça va déborder et tu vas te bouffer toute seule, chérie. Si tu nous rejoins, tu pourras t'en sortir. Car ici dans l'Agence nous sommes tous comme toi. Nous aimons voir la lame traverser la chair, la balle faire gicler le sang. Le mieux, c'est qu'on nous donne des blindes de fric pour le faire, poupée. Je te donne une semaine pour réfléchir. Dans une semaine, à la même heure, je suis sur ton pallier, et t'as intérêt à me servir un café moins dégueu. »

Et une semaine après, il était là. Cette fois-ci il s'appelait Lil Wallace. Elle accepta son offre, après lui avoir servi une tasse d'arabica qu'elle avait acheté la veille.

« T'as fait le bon choix, bébé. » Elle se demanda s'il parlait de sa décision ou de sa marque de café. « On va te trouver une couverture. Cascadeuse, ça te va ? Ça fait un moment qu'on t'observe, et on sait que t'as la tête et les capacités de l'emploi. Je vais te mettre en relation avec un type, pour te refaire une identité. À toi de choisir laquelle. T'es pas obligée de payer le bonhomme, mais évite de le déglinguer, il nous est souvent utile. Dans un mois, tu vas recevoir un courrier. Dessus, il y aura écrit le nom de l'endroit où tu vas te baser. Quand tu y seras, je passerais pour te donner tes missions. Des meurtres bien sanglant, comme tu les aimes. La seule condition, c'est de ne pas te faire choper. Mais on sais que t'es douée pour ça. T'as du potentiel, gamine. »

Et elle devint Murphy. On l'envoya dans la ville des héros. En se renseignant, elle apprit qu'elle n'était pas la seule à posséder d'étranges pouvoirs. Mais ces gens, du moins la plupart d'entre eux, destinaient ces pouvoirs au bien de tous. Or Murphy ne croyait pas au "bien". L'homme revint. Cette fois, il s'appelait Troy Adams. Premier contrat, un businessman. Mort par asphyxie. Les contrats s'enchaînèrent pendant un an, puis d'autres gens vinrent la trouver. Pour tuer, ou pour soutirer des renseignements et espionner des gens. Car dans le milieu du crime, la réputation de Murphy Wreck n'était plus à faire. Tueuse quasiment infaillible, d'une discrétion inégalable. Experte en camouflage, en tir à longue distance. Et ses pouvoirs forts utiles.






Caractère

Murphy Wreck est folle.

Voilà, vous savez l'essentiel. Vous avez à faire à une tarée, une déglinguée, une fanatique du meurtre qui ne vit que par amour du sang. Rassurez vous, elle est moins dangereuse qu'auparavant. Elle ne tue plus que les cibles qu'on lui donne. Et, éventuellement, les gens qui lui font du tort, bien qu'elle préfère les faire souffrir. S'amuser avec eux. Murphy est une tueuse de sang froid, qui ne s'arrête qu'une fois la cible abattue et complètement refroidie. Mais si vous la croisiez dans la rue, parviendriez-vous à reconnaître une tueuse en puissance ? Permettez moi d'en douter. Murphy est une excellente comédienne. Elle peut très bien avoir l'air innocent d'une petite poupée, ou le sérieux d'une femme d'affaires overbookée. Elle peut prendre un nombre infini de visages, et seul un éclat étrange mais infime au fond de ses yeux dévoile cette folie meurtrière qui est la sienne. Mais Murphy, paradoxalement, n'est pas une sadique. Elle ne prend pas de plaisir à voir souffrir ses victimes, sa psychose s'arrêtant au moment où elle peut lire sur leur visage cet instant fatidique où la mort a pris la place de la vie.

Quoi d'autre ? Murphy est coquette et originale, c'est d'ailleurs pour cela qu'elle prend autant de temps pour se maquiller, s'habiller, parfaire ses déguisements. Elle a une grande gueule, mais sait aussi quand il faut se taire. Murphy suit les ordres. Elle ne sait pas exactement ce qu'est l'Agence qui l'embauche depuis un an maintenant, car on l'a avertie que moins elle en saurait, moins elle serait en danger. Elle peut très bien se contenter de remplir sa part du marché, et pas plus, tant qu'on lui verse bien son dû. Mais encore ? Murphy n'est pas impulsive. Elle aime quand tous ses actes sont réfléchis, calculés, planifiés. Elle n'a rien contre l'imprévu mais préférera tout de même amplement que les choses se passent telles qu'elle les avait prévues.

Ce qui est assez paradoxal chez Murphy, c'est que ses pulsions meurtrières sont compensées par une sociabilité assez impressionnante. Elle construit facilement des amitiés solides, sera toujours là pour ceux qu'elle affectionne. Elle a le sens de la fête, l'amour des moments passés entre amis. Elle met un point d'honneur à placer une barrière infranchissable entre ce qu'elle appelle le "monde professionnel" et le "monde social". Boire un verre avec le héros qui la poursuivait la veille ne la dérange pas. Ça n'est pas le genre de fille qui prend les gens en traître, sauf bien sûr dans son travail, où elle est obligée d'agir dans la plus grande discrétion, ce qui induit la plupart du temps des coups dans le dos. Mais en dehors de ça, on doit bien lui reconnaître ces valeurs que sont la franchise et la droiture.

Murphy aime se faire respecter. Ne la taquinez pas de trop, car si elle peut faire preuve de beaucoup d'humour quand il s'agit des autres, elle prend un peu moins bien les piques qui lui sont adressées. Elle a une manière de parler volontairement assez grossière, même si elle peut paraître très distinguée quand le besoin s'en fait ressentir.
Organisée
Comédienne
Sociable
Franche
Droite
Amicale
Fêtarde
Discrète
Originale
Confiante
Obéissante
Réfléchie
Coquette
Folle
Meurtrière
Opportuniste
Grande gueule
Mauvaise joueuse
Cynique
Dragueuse
Exigeante
Susceptible
Calculatrice
Grossière
Insaisissable

Physique

Je vous arrête tout de suite. On ne va pas s'amuser à poser de basiques adjectifs devant d'anodins renseignements sur la couleur de ses cheveux, de ses yeux... Si vous pensez pouvoir reconnaître Murphy dans la rue grâce à ça, vous vous mettez le doigt dans l'oeil... Jusqu'au coude, au moins.
Il faut savoir que Murphy, c'est l'une des meilleures expertes en déguisement au monde. Alors certes, ses cheveux sont courts et teints en violet. Mais vous ne les verrez jamais, car elle possède une impressionnante collection de perruques de toutes les longueurs, textures, couleurs possibles et imaginables. Certes, ses yeux sont d'un noir profond, mais quand ils ne se cachent pas derrière des lentilles on ne peut que les deviner au travers de lunettes de soleil. La pâleur de sa peau varie en fonction de son fond de teint, elle peut paraître son âge tout comme avoir l'air d'être plus jeune de cinq ans ou plus vieille de vingt ans, sans soucis.
Experte en déguisement, maquillage, tromperies en tout genre, capable de berner le plus attentif des observateurs. Un style vestimentaire plus que varié et une armoire remplie à ras-bord. Elle aime avant tout l'originalité, varie les genres et les couleurs, les textures et les marques.
Les seules valeurs sures chez elle sont sa taille, qui est de 1m65, et son poids, 53 kg. Voilà une jeune femme assez fine, à la musculature importante mais qu'on remarque peu car elle est tout en longueur. Un port altier, des formes présentes sans être impressionnantes. Un air mi-hautain mi-égaré, des sourcils qui se haussent en accent circonflexe, de longs cils noirs et épais, des lèvres fines et trop pâles. Des os étrangement saillants : clavicules apparentes, omoplates qui se déploient telles les ailes d'un oisillon quand elle se baisse. On sent néanmoins la souplesse de ce corps longiligne, ainsi que son agilité. Un tatouage à l'intérieur de sa cuisse droite : un pentacle stylisé. Divers piercings, à l'arcade sourcilière, au tragus et à l'hélix.




Si vous deviez avoir...

Un costume : Il ne se résume qu'à un masque. Un masque à l'effigie d'un crâne rieur et inquiétant, flanqué de deux énormes vis sur les côtés, à la manière de Frankenstein.
Un moyen de transport : Elle n'en a pas. Si elle doit vraiment aller loin, elle demande à son client de lui trouver un chauffeur, elle-même ne disposant pas du permis de conduire.
Un gadget : Des fumigènes. Pratique, pour fuir en précipitation.
Une arme : Un shotgun de précision amélioré de manière à tirer silencieusement, Franchi SPAS-97, qu'elle surnomme amoureusement Franz, ainsi qu'un couteau à cran d'arrêt pour les combats rapprochés.

Une phobie/peur : Ne sachant pas nager, elle a atrocement peur de se noyer.
Un pire ennemi: Ceux qui représentent la loi.


Qui êtes-vous ?

Fumeur : Seulement ce qui est vert et illégal, à l'occasion.
Buveur : Avec plus de modération qu'auparavant, profession oblige.
Manie : Ses ongles sont rongés jusqu'au sang.

Sport pratiqué : Auparavant championne de gymnastique, elle continue le travail de sa souplesse, qui s'avère bien utile pour le métier qu'elle exerce. Elle pratique aussi quelques sports de combat, tels que le Kung Fu et la boxe thaï.
Musique pratiqué/instrument : Joue du clavier à ses rares heures perdues.
Bosseur ou glandeur dans l'âme : Elle vit pour son travail. Ce qui ne l'empêche pas de glander dès qu'elle en a l'occasion...

Célibataire/en couple/c'est compliqué : L'amour ne dure qu'une nuit.
Orientation sexuelle : De préférence humain, dans l'idéal consentant...

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AVATAR :: Costume : Ebisu de Dorohedoro. Pour le reste, des originaux et du random (on change pas une équipe qui gagne \o/ )
SURNOM :: Zoooorroooooo
ÂGE :: Incalculable.
DC :: Votre Xia internationale ♥️
PLUS :: ... À la base, je voulais faire une légende en TC. Et puis j'ai eu l'idée de cette petite crimo trop dingue, et j'ai vraiment, vraiment, vraiment eu très envie de la faire.
CODE :: Haha, j'ai pas envie tho


Dernière édition par Murphy Wreck le Dim 24 Fév - 7:12, édité 2 fois
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Gosup
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MessageSujet: Re: Madness is subjective. Madness is subjective.  Icon_minitimeDim 24 Fév - 5:03

Tu me donneras les images de ton personnage stp? ♥.♥ pour le projet que tu sais?

Sinon, comme d'ab, je bave!
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MessageSujet: Re: Madness is subjective. Madness is subjective.  Icon_minitimeLun 25 Fév - 6:33

Owi, je te passerai tout ça quand j'en aurais récolté un peu plus dummy oui j'ai ajouté des smileys, tu m'en veux pas ? xD

En attendant, ma fiche est terminée. Si tu n'as pas trop le temps d'y jeter un oeil en ce moment, pas de soucis, je comprends très bien \o/
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MessageSujet: Re: Madness is subjective. Madness is subjective.  Icon_minitimeJeu 28 Fév - 13:47




Fiche validée !

BINGO Chérie ♥ Tu as gagné le jackpott

J'ai juste bavée sur toute la fiche, perfecto de badass quoi, je ne peux qu'adhérer!

Ton personnage appartient dès à présent au groupe des Criminels, et il est au niveau 22. Tu as le droit d'utiliser Franz, fais-en bon usage ~

Bref, je remets le tout mais tu connais la musique!

N'oublie pas de créer ton équipement, ainsi que ta fiche de relations. Tu peux aussi faire une demande de logement.
Si tu ne sais pas avec qui rp, poste une demande ici !

Et surtout... Continue à bien bosser sur Heroe's Sup !! T'auras droit à des cookies maison! ;)

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MessageSujet: Re: Madness is subjective. Madness is subjective.  Icon_minitime

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Madness is subjective.

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