-PLUS VITE BORDEL !

Qui est l'infâme malotru qui ose profaner mon café habituel!? Je rive mes yeux sur ce drôle de personnage...Cuir, armes et autres objets, cris de cochon après s'être baladé 5 minutes sur le comptoir d'un charcutier et aires de marin d'eau douces! "C'est qu'il à l'aire fort ce gugus!" pensais-je. Il mérite une bonne correction, regardé cette pauvre fille comme elle se sent petite, la pauvre. C'est vraiment indigne d'un gentilhomme! Je me diriges vers le jeune mousse.

-Excusez moi, si je ne m'abuses, vous venez de crier sur une jeune fille sans prêter attention à son débordement. Vous trouvez ça normal? Moi pas, et pour vous le montrer, je vous invites à prendre un cigare dehors! Une petite discussion ne ce renonce pas!

Et je sors, préparant un cigare et quelques munitions de fusils aux cas où.

-Voyons les choses autrement... Je pourrais essayer mon nouveau calibre.

Je lui braque mon fusil sur le front mais il se 'transforme" enfin change intérieurement, ce qui me surprend.

-Ahah ! Ahahahah ! Tu veux qu'j'te montre c'que j'vaut?

Sa voie est devenu celle d'un sanguinaire, tel un loup affamé. Une étrange force émane de son corps, une force aussi étrange, écrasante que démoniaque. Serait-il comme moi un...
Il me met un poing dans mes côtes, à ce moment je sens comme un mauvais pressentiment mais je garde la tête haute!

-Ben alors ? On manque de souffle !?

Un sourire bien marqué s'affiche sur mes lèvres.

-Tu plaisantes j’espère! Même la vielle peaux de mon village aurais donné mieux! Hahaha! Tu es un faible et un lent, je l'ai sentis! Si tu veux au moins essayer d'arriver à mes fins il faudra tripler d'effort.

Je me retire d'un saut sur le toit du café, revolver à la main, doigt sur la gâchette. Je met un chapeaux en toute distinctions comme pour saluer son dernier instant de vie.

*Le soleil tape dit donc, mais c'est pas ça qui va lui donner une chance de m'échapper, il sera éliminé comme tout les criminels qui se pointeront sur ma route!

-Mange ça!

Le coup part tel un éclair, mais je sais bien qu'il n'est pas normal et qu'il a des chances de s'en tirer! Néanmoins, grâce à ma vision, j'ai une vue d’ensemble sur toute la place il est donc impossible qu'il arrive à me frapper une seconde fois. De plus, je n'avais pas tout à fait tort quand je lui ai dit qu'il ne tapais pas si fort, il est lent et je devinerais tout ses coups semblable au premier! Merci qui? Merci vision!

Le fourbe se rue de nouveau sur moi, mais comme prédit je fus largement en mesure d'esquiver le coup. Je n'ai même pas besoins d'utiliser mon potentiel! Je me sens supérieur et j'ai toute mes chances avec moi. Espérons que j'aie le temps de m'amuser un peu...
Je devis sont poing et l'envoie au sol d'un coup de crosse.

-Ahahah ! Bien joué ! Ahahah ! Comment t'as fait pour voir mon coup ? J'pensait avoir été assez rapide ! Ahahah !

Il ne manque pas d'air! Aussitôt, il se relève et sort un briquet de sa poche et le lance en ma direction. La petite ombre que laissait le briquet se transforma en une liane ténébreuse. Cette dernière m'agrippa les jambes un court instant pour me faire trébucher!

-Allez viens, on a pas finit. Ahahahah !

-Je vois, tu demandes des réponses et tu n'es pas en mesure de les écoutés... Mais laisse moi tout de même te demander si tu aimes ton briquet, car si c'est le cas tu vas être triste!

Et d'un coup de revolver je fit virevolter le briquet du sol! Ok, maintenant je dois surveiller mon ombre en même temps... Aucuns problèmes!

-Tu dis qu'on en à pas finit, moi non mais toi dans quelques minutes tu seras au tapis à mordre la poussière comme tout criminel digne de ce nom.

Si il décide de chauffer la machine, je suis tout à lui! Je vais lui faire une petite démonstration de ma puissance! Il vient de me montrer son pouvoir, maintenant je sais à quoi m'attendre, il est fichu.
Je sors de mon sac un fusil mitrailleur gros calibre et en appelle à mon pouvoir.

-T'es un homme mort !!!

Des tirs ricochent de partout pour arriver toutes à la même cible, de là je me jettes avec mon arme, profitant de la faille de mon adversaire, je lui assignes des chocs d'une puissance extraordinaire à l'aide de mon artillerie!

-Adieu vermine !!!

Faudra que je lui offre et briquet digne de ce nom en guise de cadeau pour la morgue! Il a beau être amoché, il continue à un bon rythme ses tours de passes passes avec son ombre et la mienne. Maintenant je vais devoir faire preuve d'ingéniosité.
Mince je ne me souciais plus de lui mais que de ses ombres! Ce gredin ma mit un coup extraordinaire en pleine tête! Je garde mon calme et reprend mes esprits. Ok, il est fort mais j'ai surmonté plus dur.

-Allez papy, sa fait longtemps que j'm'était pas autant amusé !
AHAHAHAHAHAHAH !

Je jettes un oeil sur mon ombre. Bon ça va, elle ne bouge pas. Ce gars peut rire, mais pour combien de temps, si je lui remet une tarte il sera KO. Je vois un boitier d'alimentation prêt d'un lampadaire. Je reprend mon Walter et shoot. Ma stratégie à marché! Les lampadaires de tout les côtés éclairent ne laissant pas une ombre sur la place! J'ai eu chaud, il se fait tard et un peu plus et c'était le noir total.

-Et comment tu compte faire sortir une ombre sur moi maintenant! Viens, approches si tu as du cran!

Ce crétin m'a abimé mon arme... J'aurais dû prendre plus d'artillerie.
Là, je jettes mon fusil mitrailleur pour sortir ma dernière arme accrochée dans mon dos qui pesait son poids.
Voyons voyons... il me reste une fusée de détresse, mon walter et ma p'tite surprise!

-Tiens, regarde ce beau magnum, c'est le cadeau du chef. Et cerise sur le gâteau, attrape!

J'allume la fusée qui partit droit sur le sanguinaire et explosa juste devant ses yeux. Je me propulsais d'un saut sur lui et juste au dessus de sa tête et lui tira une charge du magnum. Comment va-t-il s'en sortir cette fois?

-Tu tiens encore la route le guignol?!

Je vis dans la fumée, une étrange lueur et m'éloignais doucement. Entre autre, faudra pas qu'on me d'mandes de payer les réparations...

Quel fourbe...

-Haha...Hahahaha...HAHAHAHAHAHA! Tu crois vraiment que ça va se passer comme ça! Tu es bien gentil comme meurtrier, mais ça ne prend pas avec moi.

Le combat ne s’achèvera pas de cette manière crois moi le bleu... Je pris mon walter et je fis peut être la dernière action de ce combat. Ce crétin ne me laissais pas choisir. Je tire sur la fusée qui ne produisait plus de lumière suffisante pour éclairer. C'est parfait, en quelques secondes mes yeux étaient totalement habitués à l'obscurité. Je couru dans l'ombre. Le seul bruit qui peuplait la pénombre était le sien, mais il s’estompât et là il n'eu plus aucun repaire. La partie ne fait que commencer. J'ai apprit à être discret et comment mettre la pression sur la proie, je suis un chasseur quand même.
Il regardait partout autour de lui mais il ne vit rien. Il s'énerva. Et là je lançais un cailloux qui retenu son attention et là mon tir vint ricocher sur les parois. Je renouvelais les tirs dans la pénombre alors qu'il subsistait contre la poudre et les balles, mais pour combien de temps...

Moins d'une heure avant le noir total... Il faut que je l'achève le plus vite possible. Dire que le petit duel c'est transformé en véritable bataille. Je n'ai plus le choix. J'assemble les pièce de mon magnum, celle de mon walter et de ma carabine pour engendrer une véritable bombe d'armes surpuissante. Et j'ajoute la p'tite nouveauté. On sait tous que le contraire de l'ombre c'est la lumière. Je sors de ma ceinture une charge que je bidule un peu avec une charge et les restes d'une fusée. Il faut agir vite maintenant.
Je fais du bruit volontairement et là pour lui c'était l'évidence même que je me cachais derrière quelques caisses empilées. Il s'avança prudemment et silencieusement. Il était arrivé près des caisses et je vis des ombres qui m'entourais se transformer en pics. Il pencha la tête.

-SURPRIIIISE!

Ma mini-sulfateuse marchait du tonnerre! De plus ses charges dégageait un intense flash à chacun des chocs. Il marchait en arrière les bras devant sa tête pour se protéger. Les ombres ondulaient comme si elle était paniqué. Et ce n'est pas tout. Je pris mon walter et tira sur ses jambes. Il tomba. Je pose mon pied sur sa poitrine et lui adresse:

-Fais tes prières!

Et pour lui effacer ce sourire narquois je lui donnes un coup magistral de crosse.
Maintenant, il a l'air dans les choux.

Il avait du cran... J'en suis conscient. Me voilà le ventre écorché. Je m'étais promis de ne plus me faire passer pour un gruyère. J'ai gagné mais il n'a pas perdu. Je le respecte et je ne vais le jeter vulgairement dans une prison. Je le laisse à son sort à l'entré de la ville, et pense ses blessures.

-On remettra ça! A plus!

Je lui adresses un dernier regard avant de partir vers l'Ouest. Le soleil ce lève, c'est une belle sortie pour un cowboy!
L'entaille est profonde, je vais devoir me dépêcher, en plus j'ai salis ma nouvelle chemise mince!