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Prologue II : Entre monstres et machine. [PV Alcée]

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Prologue II : Entre monstres et machine. [PV Alcée] Vide
MessageSujet: Prologue II : Entre monstres et machine. [PV Alcée] Prologue II : Entre monstres et machine. [PV Alcée] Icon_minitimeJeu 2 Mai - 5:34

Chapitre II
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L’eau s’écoule sur mon mentaux et sur moi, je m’étais déjà fâché avec Danny et le Doc. Je voulais des réponses sur cette Brooke Vaughan. Elle était celons les dossiers secrets de Danny, une précédente équipière sur le projet Bêta-55874136957 dont je suis né. J’étais dehors, sans vraiment de foyer mais qu’importe, j’avais rechargé mes batteries et dans les deux sens du terme. Je me rendais compte que ce monde était vraiment pourri, qui j’étais pour décider de ça ? Un cyborg n’est programmé que pour obéir à son utilisateur et son programme mais moi… Je me sentais tellement différent. Peut-être des cellules qui avaient retrouvé leur forment minimale me donnant une petite pointe de raison humaine ? De sentiment ? Qui pouvait le savoir… Elle : Brooke Vaughan. Je devais la retrouver et dans la soirée. C’était urgent et ça pour tout le monde. Danny et le Doc : Ils avaient travaillés trop dur pour avoir le super-héros que certaine personne méritent ; Moi : Je devais absolument guérir pour pouvoir exercer dans le domaine de super-héros. Je regardais la belle ville semi-éclairée artificiellement. Je regardais mes mains, semi-robotique, j’étais simplement un homme artificiel, dicté par un programme. Je me découvrais un peu comme un homme du moyen âge… Dicté par les actions d’un dieu, faisant parfois le mal sous son nom. Je soupirais, laissant les gouttelettes se mêler à mes cheveux pour recouvrir mon visage puis enfin mes mains de titane devenant une sorte de récipient, récoltant l’eau pure venant des nuages noirs menaçant.

C’était assez rare de voir un temps pareil dans cette ville. La vision du lycée américain ensoleillé me venait à l’esprit en regardant la Heroe’s SUP. Cette école était géniale vraiment, j’avais rencontré une de mes collègue déjà, Mademoiselle Swrank, j’observais son dossier en à travers mon interface. J’avais pris quelque cliché d’elle pendant notre rencontre. Elle me paraissait comme une femme gentille et surtout ayant l’air aimante avec les gens qu’elles aiment, comme les élèves par exemple ? Je passais au dossier suivant grâce à mon interface, l’individu que j’allais arrêter il y a quelques jours, je n’avais toujours pas de nouvelle de lui et aucune signalisation de la police envers lui. Je soupirais et passais et enfin… je revenais sur mademoiselle Vaughan. Je devais la retrouver et ce soir ! Et je ne devais certainement pas trainer sur des petits détails. Je me redressais de mon mètre quatre-vingt-cinq, la tête levée, les yeux fermés pour ressentir pleinement la pluie glaciale sur mon visage. Je me sentais bien, je me sentais vivre. J’ouvrais les yeux brusquement pour baisser mon regarde sur la gargouille sur laquelle je me trouvais. Je plissais les sourcils et plus bas, je voyais une jeune femme, sous la pluie à cette heure ? J’essayais d’examiner si c’était une élève mais j’étais bien trop loin… Je décidais donc de m’approcher encore… Je sautais de la gargouille ! J’espérais que la double épaisseur prototype de Danny allait me faire planer mais… Elle ne me fit planer quelques secondes me laissant tomber brusquement sur le toit d’un petit magasin. Je me mis à couvert péniblement suivant la jeune fille plutôt en filature mais c’est alors, au moment où je l’analysais, dans le quartier, un cri de femme se fit entendre. J’annulais l’analyse de l’individu féminin et je me dirigeais vers le cri assez inquiet en me hâtant, trottinant sur le toit inondé puis au loin, je voyais une sorte de petit gang de criminel… Je m’élançais la poursuite de ceux –ci !
J’attrapais le premier qui était sur une femme par le col et le foutais par terre pour lui mettre un coup de poing froidement et avant de donner le coup, la jeune fille m’interrompus l’air gênée. Je regardais l’homme apeuré. Je me redressais l’air froid en fronçant mes sourcils puis d’une petite voix…

« Monsieur je…. Ecoutez on était en train de… »

Je compris à l’instant que j’étais au milieu d’une sorte de… scène… ? Je m’essuyais les yeux pleins d’eau pure et je regardais là, ces jeune gens pas vraiment pures… Je commençais à repartir dans la direction par où j’étais arrivé, l’air blasé de cette ville en jetant avant de partir un…

« La prochaine fois, faite plus réaliste. »


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MessageSujet: Re: Prologue II : Entre monstres et machine. [PV Alcée] Prologue II : Entre monstres et machine. [PV Alcée] Icon_minitimeSam 4 Mai - 6:02

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Si j'avais prêté attention au règlement de la Heroe's SUP, j'aurais sans doute eu quelques scrupules à l'idée de partir en mission, seule, alors que je n'étais qu'une étudiante justicière. C'était sans prendre en compte le fait que cette subtilité du règlement de l'école m'apparaissait comme un délicat tissu de conneries. Je n'avais que faire des recommandations et des interdits, puisque je me trouverais largement assez forte pour faire face à la plupart des criminels. Je ne comprenais pas pourquoi les gens s'obstinaient à vouloir me restreindre, moi qui n'avait qu'une hâte : devenir une héroïne. Alors je n'écoutais pas les conseils, les recommandations et les brimades. Je voulais partir à l'aventure par mes propres moyens. On félicitait mes aptitudes en cours, alors je ne voyais pas pourquoi j'aurais été moins bonne en pratique. Ainsi donc, j'avais décidé d'exécuter une mission en solo, dans le secret le plus total.

Un peu de bouche à oreille m'avait permis d'apprendre l'existence d'un réseau de trafiquants de drogue, ce qui me paraissait être un bon début pour me lancer pleinement dans le métier. Les recherches n'avaient pas été bien difficiles : ce groupe n'en était encore qu'à l'état d'infime poussière dans la vaste stratosphère du crime. On comptait sept individus, âgés de vingt-trois à trente-six ans, un trafique mis en place depuis quelques mois à peine, qui n'avait pas encore eu le temps de se structurer convenablement. Un quartier général situé dans les bas quartiers de la ville, sous la couverture d'une imprimerie miteuse. J'attendais juste le moment opportun pour frapper, et c'est dans l'un des troquets mal-famés que j'avais fréquenté pour rassembler mes données que j'appris l'arrivée imminente d'une grosse cargaison de cocaïne, prévue pour le lendemain soir. Plus question d'hésiter, j'étais décidée à foncer.

C'est ainsi que je me retrouvais, à une heure du matin, en train de marcher sous la pluie battante, bien décidée à devancer la livraison de poudre blanche. Selon mes sources, six des individus que je recherchais attendaient bien sagement dans leur QG, tandis que le septième était chargé d'apporter les deux kilos de farine à bon port. J'étais légèrement anxieuse, mais aussi particulièrement excitée. À mon avis, cette affaire allait être terminée en un battement de cils. C'est toujours ce que je pensais en défonçant la porte de la dite imprimerie, pour cueillir un groupe d'hommes éberlués. L'effet de surprise me laissa amplement le temps de me transformer, pour réapparaître derrière la première victime et lui asséner un violent coup derrière la nuque, ce qui l'assomma d'un coup. Son collègue, juste à sa droite, eut à peine le temps de se retourner avant de récolter un coup de pied dans le ventre. J'usais encore de l'aéromorphie pour esquiver le coup de poing qu'il m'adressa en retour, et réapparu pour écraser mon pied sur son visage. Un troisième s'attaquait déjà à moi, me faisant chuter sur le sol poussiéreux, puis s'accroupissant au dessus de moi, me privant de ma liberté de mouvement. La seule arme qui vint à portée de ma main fut un morceau de planche cloutée, et l'homme n'apprécia pas de s'en prendre un coup dans l'épaule. À nouveau, je dus me transformer pour me libérer de son emprise. Le combat se poursuivit, alors que j'enchaînais les utilisations de mon pouvoir et les attaques. Bientôt, cinq criminels s'étaient retrouvés hors d'état de nuire. J'avais utilisé mon pouvoir de trop, et je n'avais pas pu éviter tous les coups. J'étais purement et simplement épuisée, mais aussi très fière de moi... Jusqu'à ce que je remarque un détail gênant. Cinq criminels. Mais où était le sixième ? J'avais beau fouiller dans ma mémoire, je ne me rappelais pas l'avoir vu en entrant. Voilà qui changeait tout à fait la donne. Tentant de me ressaisir, je me redressais et examinait la pièce. Il n'y avait aucune issue mis à part l'entrée que j'avais utilisé. Je parvins à trouver une cachette potentielle : une trappe camouflée dans le sol, mais le réduit ne contenait que divers cellophanes remplis de substances variées. Il ne me restait apparemment plus qu'à sortir.

D'ordinaire, je prend le maximum de précautions. Cependant, dû à mon état de fatigue sans doute, je ne sentais rien venir, et ne pût que discerner une ombre à ma droite avant de me retrouver immobilisée. Comme par réflexe, je faisais usage de mon pouvoir, mais je l'avais beaucoup trop utilisé pour la soirée, et je ne restais transformée qu'une demie seconde. Devant moi s'avança le septième.

« Dommage, je n'ai pas été prévenu de ta venue assez tôt... Je n'ai rien pu faire pour ces cinq là, mais au moins, on a pu t'avoir, toi. Vous, les bouffons de Greem, vous vous croyez vraiment au dessus de tout... »

Il s'approchait toujours plus de moi, m'embaumant de son haleine fleurant le tabac, et répandant autour de lui le parfum capiteux d'un after-shave bon marché. J'essayais vainement de me débattre, mais l'emprise que l'autre avait sur moi était bien trop forte par rapport à mon état d'épuisement.

« Moi, je pense que tu mérites une petite punition... Et je suis sûr que Xander sera d'accord avec moi, pas vrai Xander ? »

Ledit Xander approuva d'un grognement, avant de resserrer son étreinte autour de ma taille. Inutile d'être très perspicace pour savoir ce qu'ils avaient prévu, et mes craintes se virent avérées quand l'homme défit d'un coup sec la fermeture de mon blouson. Le seul moyen de me défendre qui me vint à l'esprit fut de lui cracher dessus, alors que les larmes me montaient nerveusement aux yeux. J'y gagnais une baffe. Alors, en dernier recours, je hurlais, à m'en percer les poumons. Je hurlais car, pour une fois, je devais bien admettre que j'avais besoin d'aide.
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Prologue II : Entre monstres et machine. [PV Alcée] Vide
MessageSujet: Re: Prologue II : Entre monstres et machine. [PV Alcée] Prologue II : Entre monstres et machine. [PV Alcée] Icon_minitimeSam 4 Mai - 10:24

Acte deux

La pluie tombait sur moi, mes cheveux mouillé en arrière, mes yeux fermés, rien que moi et mon peu d’humanité restante… Je me retrouvais seul avec moi-même. Mon esprit se posait tellement de questions, tellement de questions sans réponse. J’étais resté six ans dans le coma le plus profond et pourtant, Danny et le Doc sacrifiaient leur vie pour moi, je me sentais important mais… Toutes ces responsabilités… Ca me tuais, enfin… ça me tracassais, étant donné que j’étais à plus de soixante-quinze pour cent fait de métal et que la plupart de mes cellules humaines étaient grillés… Mais Dannye m’avait dit que peut être, dans un avenir proche, je redécouvrirais la vie, sous un nouvel angle, tout en étant le même sauf, que je ne m’en souviendrais plus… Les pensées que j’aime seront les mêmes mais… je ne m’en souviendrais plus, le goût d’une glace à la vanille… Le plaisir de la compétition de jeux vidéo. La conviction d’avoir un rêve, un but. Le goût… des lèvres d’une fille, le cœur battant si fort jusqu’à s’arracher le temps de poser ses lèvres, laisser les miennes sur les siennes, laisser couler l’eau sur mon corps, réfléchissant encore à mon but dans la vie, moi et deux demi-jambes.

Plongé dans mes pensées, j’observais un couple d’adolescent qui passait à côté de moi, aurais-je moi aussi un jour droit à ça ? L’amour d’une femme qui comprendrait ma mécanique, la formation de mon cœur semi-organique ? L’amour d’une femme qui serait quoi faire si jamais j’ai une fuite de plutonium ? D’acide ? D’huile de moteur ? Je rabaissais la tête, me résignant à observer la route défoncé dans ce quartier semblant plus pauvre que les autres. Je suis une machine, un cyborg, je suis un super-héros et comme dans les vieux comics que je lisais étant gosse, je comprends pourquoi Spider-Man cache son identité à sa promise, il ne veut pas la blesser ou qu’elle en danger, je comprends pourquoi certains comme nous perdent la raison, comme dans l’incendie à l’école… Je comptais prendre cette affaire pour enquêter mais… est-ce réellement à moi de tout faire ? Je veux dire… je ne suis pas le seul super-héros, je pourrais peut être, retarder le commencement de mon travail ? Eviter les patrouilles le soir… Essayer de sortir ? Profiter maintenant de ma vie avec mes jambes, essayer tout au pire de prendre du plaisir avec une fille…. ? Et puis merde, je n’étais pas fait pour ça… Et je devais m’en convaincre.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] entendant des bruits de rire, je me mis à couvert, me cachant, écoutant les dires… Puis j’entendis crier, un cri féminin, elle ne semblait vraiment pas s’amuser elle... Alors dans un élan de spontanéité… Je me découvris pour marcher assez rapidement devant deux types qui rigolaient entre eux.

« Mode combat : Activé. »

Les deux hommes surpris de me voir sortirent deux armes, des revolvers neuf millimètres. Les pointant sur moi, j’attrapais la barre de métal du panneau de la route pour le balancer sur eux deux en même temps et en marchant sur la barre pour que la barre s’écrase sur leur ventre.

« Menace : neutralisées »

Je continuais de marcher tout aussi rapidement pour monter les escaliers, un type se jeta sur moi avec une batte de base-ball en bois. Je l’esquivais simplement en me collant au mur vieux et poussiéreux et l’imbécile tomba de tout son poids, trop « stone » me disais-je, mon air tout aussi sérieux ne me quittant pas. J’avais repéré sous son nez, une substance illicite, j’avais décroché le jackpot. Je montais les escaliers pour arriver à l’endroit d’où provenaient les cris.

« Menace mineur comptés au nombre de cinq. »

Trois en premier s’avancèrent vers moi. Leur arme ? De simple barre de fer. Nous étions dans une sorte de vieux bâtiment en rénovation et aussi dans le quartier général de ces criminels de bas étages. Ils s’approchèrent, barre de métal à la main et au moment de taper, l’un d’eux pu constater que je n’étais pas… Une baguette mais plutôt un tank. Sa barre en métal était maintenant pliée en deux. Puis, les lumières de la ville s’éteignirent, tout était noir mais je distinguais des silhouettes dans la nuit alors pour en profiter de ce moment de ténèbres, j’attaquais le deuxième à la tête avec la tête de son compagnons désarmer pour les faire valser plus loin, près à tomber de l’étage. Le dernier étant plus baraqué et plus résistant face à mon coup de poing me mit un uppercut, je pris donc un peu d’altitude pour redescendre et m’écraser un étage plus bas en traversant le sol. Il sauta et me rejoignais lui à moi, ses mains à ma gorge. Etant organique, celle-ci pouvais être l’outil à ma mort en m’étouffant. J’entendais encore la pauvre fille crier en haut, qu’est-ce qu’ils lui faisaient ? Je commençais à paniquer et je me sentis comme très faible, comme quand j’étais moi-même enfermé par ces gens malsains… Je regardais ce monstre et ses tonnes de muscles avec son regard perçant mon âme. Mon interface s’agitait et clignotait en rouge. Mon tôt d’oxygène baissais, je le voyais, j’attrapais un morceau du sol qui venait de s’effondré sous mon dos de titane. La grosse pierre percuta le mastodonte et celui-ci s’était effondré, je l’avais sans doute tué… ? Je reprenais mon souffle encore déboussolé puis je n’entendis plus la jeune fille… Je me mis à courir dans l’escalier... essoufflé…

« [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] : Quitter la zone de danger. Urgence. Trente-cinq pour cent de réussite calculé à la dose d’oxygène et de sang perdu par voie orale. »

La machine perdait le contrôle… Mes cellules reprenaient le contrôle ? Je me tenais droit devant le dernier assaillant qui était sur mon chemin. Un homme masqué qui sortit un katana sous mon nez. J’enlevais ma veste, laissant mes bras en titane en vue et pour seul vêtement en haut, mon débardeur blanc tâché de quelques gouttes de sang. Je me mis en position de combat et il engagea le combat avec quelques coups classique comme pour présenter les choses. J’esquivais sans trop de difficulté et en me baissant et en tournant sur moi, je lui donnai un coup de pied dans un genou pour le faire tomber en arrière. Il se releva directement me découpant mon cache œil gauche me faisant souffrir une nouvelle fois de ma cicatrice… Je tombais en arrière, me tenant le côté droit, tellement amoché… Mais je voyais des deux yeux, ou encore… De ce qu’il en restait. Je sautais vers lui en lui donnant à mon tour un coup à la tête, il se releva avec difficulté puis d’un coup de pied circulaire, je le fis s’empaler contre un bout de bois. Je reculais et il cria de douleur. Je le regardais donc, d’un air froid et méprisant, comme si j’avais pitié de son être tout entier. Je me retournais pour attraper mon mentaux mais je l’entendais, les gouttes de sang tombaient derrière moi. Je me retournais et il était là, de forte dose d’électricité sortait de lui comme des petits éclairs blanc. Je le regardais dans les yeux. C’était moi. Mon reflet sauf que celui d’en face paraissais plus malsain, son sourire en disait long sur lui… Il tenta de m’attaquer mais en le bloquant je le fis tomber reculer jusqu’à le faire tomber, lui et son arme… J’étais complètement choqué… Je me reprenais, entendant à nouveau la jeune fille sur le toit… Je devais faire quelque chose ! Je montais les escaliers pour rejoindre le toit. J’arrivais et elle était là, seule.

Je ne voyais rien, sauf elle, j’analysais la zone et elle était une élève de l’école : Xia Shelter. Six ans de moins que moi et c’était sa deuxième année à l’école. Je la voyais elle mais… Je n’avais pas vu le type derrière qui m’assomma quelques peu avec une batte de base-ball… Je tombais à terre et en essayant de me relever, il continua à combattre face à moi, son adversaire en position de faiblesse. Je trouvais ça pitoyable, mais ce n’était pas le moment de blâmer les abrutis.
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