Mignon, mignon, les petits poissons ! ~Aquarium {Libre

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“ The world is so heavy for Us. ”...

La gare était fort grande. Les gens se côtoyaient à tout moment, se bousculant aux entrées et sorties. Il y en avait de toute les origines, de tout les âges, et surtout : de toute les formes. Jamais Henry n'avait vu autant de monde.

Il venait de sortir du train. La première fois, il avait été assez impressionné par cette foule. Mais après avoir voyagé sur deux continents, ça ne lui faisait plus grand effet. De même, voir autant de choses étranges non plus. C'était quand même fou de voir comme les gens s'acclimataient aussi vite : il y avait des personnages aux allures singulières, qui possédaient des dons plus qu'étrange, mais pourtant, tout ce beau monde en était aujourd'hui habitué. Henry. Henry en était l'un d'entre eux. Bien qu'avec son air jeune et ses cheveux plus blanc que neige, il ne passait pas inaperçu. Pourtant. Il y avait des gens encore plus étranges encore, comme ce... cette. Chose ? Verte à tentacule, ou encore cette femme avec des feux follets sur les épaules. Il faut dire que les gens sont tous bizarres. Il y a vraiment pas à dire.

Henry était vêtu d'un jeans, d'un t-shirt bleu, ainsi que d'un sweet-shirt plus large et plus foncé. Le jeune garçon souriait. Il était bon de pouvoir mêlé travail et agréable. Ses cheveux blancs se secouaient avec sa longue marche. Henry se baladait dans les rues, à la recherche de son protégé. Drakon. Mais il aurait été étonné de le croiser aujourd'hui. Et puis zut. Ce n'est pas à cause d'un jour de petit repos que Drakon en va pas réussir à se débrouiller.

Henry se retrouva face à un aquarium. Il était grand. Il était beau. Il y avait des milliard d'espèce de poissons dedans. C'était sûr. Henry voulait y aller. Tant pis pour Drak'. Et puis, ça n'allait pas être ça qui allait le tuer. Si ? Non ! Alors, voilà. Il était grand temps de s'amuser.

Le jeune garçon aux cheveux d'argent avançait avec son étrange bâton, duquel il ne se séparait jamais. Donc, comme un randonneur, il avançait, presque appuyé sur son bout de bois, qu'il chéri tant.

« Vous ne pouvez pas passer. » Henry leva un sourcil. Pour plusieurs raisons : la première fût cet agent de sécurité. Qui va placer un agent de sécurité dans un aquarium ? Sérieux ? Ces américains n'ont pas peur des mutants, mais des terroristes bien. Mais bien sûr ! Deuxièmement, le garde lui demandait d'abandonner son chère bâton. « Vous abandonnez votre bout d'bois pourrie et vous pouvez passer. » Son sourcil se leva encore plus, ainsi que son hilarité. Lui ? Abandonner un objet auquel il tient ? Ce garde pouvait toujours courir. Et Henry passa comme si il était inexistant. De toute façon, il avait payé sa place. Il ne pouvait rien dire. Ou alors s'était se risquer à être entièrement congelé.

L'intérieur était spacieux. Il y avait des bancs bleus un peu partout. Rien qu'en entrant dans le hall, on pouvait voir des poissons aux plafonds et aux murs. Rien que le hall était un observatoire. Je ne vous dis pas le nombre de personnes qui ont fini avec un torticolis. Cet endroit était fort beau, à son avis. Il voyait plusieurs espèces de poissons qu'il n'avait vu que dans les livre. Et plusieurs fois, des poissons qu'il n'avait simplement jamais vu. Ce jeune garçon s'amusait comme un enfant. C'était dingue de voir ce genre de truc. Ils font parti de notre quotidien, et pourtant on en profite si peu.

Traînant dans des recoins, il voyaient des couleurs incroyable. Ça lui donnait envie de voyager. Mais même si il voulait, cette envie était restreinte par le devoir. Le devoir et l'honneur. Henry était à présent assis. Il lâcha un soupir. Il valait mieux retrouvé son protégé. Après tout, il savait bien que l'on pouvait être en danger à tout moment. Certaines choses en lui en étaient la preuve.

Il resta assis quelques petite minutes, puis le jeune garçon se releva avant de se percuter à un passant.

« Arf! » furent ses premiers mots. « J'suis désolé » furent les seconds.

#3333FF

Thanks for Xia Shelter

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Mignon, mignon les petits poissons.

« Un après midi bleuté. »
Henry & Belinda
Belinda était en train de regarder des poissons dans un aquarium. Logique me diriez-vous. Mais remontons un peu plus loin pour savoir ce qu'elle faisait dans ce lieu où elle ne serait certainement jamais allée si elle n'était pas prise d'un ennui total...

Elle s'était levée comme à son habitude, c'est-à-dire sans réveil, puisque pour le moment, elle n'en avait nullement besoin, car elle ne travaillait toujours pas. Sa bijouterie serait bientôt prête à accueillir des clients, il ne lui manquait juste que quelques petites choses futiles dont elle se serait bien passée, si cela n'était pas obligatoire; installation d'un système de sécurité muni d'une alarme et désactivable via un code qu'elle seule saurait, permettant de prévenir la police en cas de vol, vu que c'était un cas fréquent en cette ville que des voleurs décident de venir faire leur petit marché. Comme si elle avait besoin de cette chose qui restreindrait ses mouvements en tant que "Sybil"... Bref, elle s'était habillée de façon atypique, comme elle le faisait toujours, a cause de sa passion pour le style victorien, avec un corset victorien blanc cassé, un pantalon beige et des bottes noires de style victorienne elles aussi. Elle tenta de faire une coiffure avec sa chevelure rose bonbon, ou du moins, un peu plus foncée à cause de sa couleur naturelle, mais abandonna bien vite cette idée, n'ayant toujours pas déballé son carton contenant tous ses outils pour arriver à se coiffer correctement. Elle se contenta donc de se brosser les cheveux, sachant qu'avec son pouvoir, elle pouvait paraître des plus attirantes. Elle entreprit de défaire quelques cartons pour s'occuper, n'ayant rien à faire de plus de sa journée.

Elle découvrait les joies du déménagement quand elle entendit son portable sonner, un magnifique iPhone 5 qu'elle avait payé en arrivant, histoire de pouvoir donner des nouvelles à l'autre mafieux et à son frère, et alla répondre sans attendre.

« Ouiiii ? » fit-elle, presque en train de remercier mentalement la personne qui l'avait appelé pour la sortir de cet enfer fait de cartons.

« Alors, comment ce passe ton déménagement, ma chère Belinda ? » demanda une voix d'homme.

« Ne m'en parle même pas ! C'est abominable ! Ces cartons qui n'en finissent pas de m'embêter... Comment vas-tu ? » soupira-t-elle.

« Bien mieux que toi, on dirait. T'es tu renseignées sur les attractions de la ville ou y es-tu vraiment allée sans rien savoir ? » demanda son ami le mafieux.

« ... Parce que toi, tu sais ce qu'il y a sans être venu ici ? T'es un Dieu, ou ? ... » ironisa-t-elle.

« Alors comme ça, tu ne sais pas ? Tu es vraiment incorrigible pour une personne qui dit tout savoir. Va donc faire un tour dehors et tu me diras si c'est mieux que tes fameux cartons ! » et sur ces mots, il raccrocha.

Elle détestait qu'il ai raison. Une petite balade serait dix fois mieux que ces satanés cartons ! C'te mafieux la connaissait vraiment trop bien... Fallait vraiment qu'elle se change un peu les idées. Et c'est sur cette pensée qu'elle enfila une veste noire qui lui arrivait aux mollets avec des broderies dorées. Ce n'était pas vraiment la saison pour se balader comme en été.

Elle marchait, regardant autour d'elle ce qu'il pouvait y avoir d'intéressant à aller voir. Oh, et puis... Pourquoi ne pas prendre un petit déjeuner ? Elle n'en avait pas pris, n'y ayant simplement pas pensé. Une pomme... Ou bien une banane ? Ah, quel dilemme. Oh, et puis, un sandwich à la Parisienne. Un bon vieux jambon beurre appétissant. Parfait ! Elle en prit un et le paya en vitesse avant de ne changer d'avis, sous les regards curieux des gens face à ses vêtements. À force de voir ces regards, elle en avait pris l'habitude. Ce n'était donc pas ça qui allait la perturber. Elle s'assit sur un banc, le temps de manger son délicieux sandwich. Heureusement qu'elle faisait un footing deux fois toutes les semaines, parce qu'avec tout le beurre dans le pain... Ils n'y étaient pas allés de main morte. Même si certains disaient souvent que les Parisiens mettaient du beurre le premier coup de couteau, et l'enlevaient quand ils repassaient. Elle ne pouvait pas le confirmer, n'étant allée à Paris que pour voir la Joconde, surtout allait plus aux restaurants pour manger que dans d'autres petite supérettes.

Une fois qu'elle eut fini son petit-déjeuner, elle continua sa balade en ville, regardant bien pour repérer des endroits où elle serait susceptible d'aller plus tard, soit en tant que civile, soit en tant que voleuse. Et c'est ainsi qu'elle tomba sur l'aquarium. Grand, bleu, intéressent. Elle connaissait la plupart des poissons, mais fut prise d'une curieuse envie d'aller voir s'il n'y avait pas des espèces propres à l'Amérique. Elle se paya donc un ticket d'entrée, n'usant pas de son pouvoir pour avoir un rabais, puisque cela n'allait pas la ruiner, carte bleue oblige. Elle se servit dans un présentoir pour avoir un plan de la structure, parce qu'on ne sait jamais, si jamais elle venait à se perdre, même si elle en doutait fortement. Elle n'était pas aussi bête que ça.

C'est donc dans ces circonstances qu'elle se trouvait maintenant ici, en train d'observer les poissons d'un oeil intéressé. Tellement intéressée qu'elle ne vu pas la personne sur le banc se lever et donc, de se faire percuter, pas fortement, mais elle fut assez surprise pour lâcher son plan. Ah, et après on dit que ses gestes sont parfaitement calculés... Mon oeil.

« Arf! J'suis désolé » fit le jeune homme.

« Il n'y a pas de mal. » fit-elle en offrant un sourire pour prouver ses dires, même si ce n'était pas vraiment utile. « Je pense que j'y suis aussi pour quelque chose, je ne regardais pas vraiment où j'allais. Il faut dire que ces poissons sont quelque peu captivants... » rajouta-t-elle.

Elle se baissa gracieusement pour ramasser le plan qu'elle avait fait tomber. Elle en profita pour détailler la tenue du jeune homme, parce qu'il ne faisait pas très vieux, enfin bon, tout le monde pourrait se tromper sur l'âge de quelqu'un. Il était en jean et en sweat shirt et tenait aussi un bâton, qui lui fit quelque peut penser à une canne pour grand-père. Enfin, il n'était pas un vieux pépé tout ratatiné, et loin de là. Il la dépassait d'au moins vingt bons centimètres minimums. Les jeunes sont vraiment grands de nos jours... C'en était presque déprimant et complexant. Par contre ses cheveux voulaient presque faire croire qu'il était vieux, à être blancs comme la neige...

« Excusez ma curiosité, mais pourquoi avez-vous donc un bâton ? Comptez-vous pêcher quelques poissons ? Je ne pense pas que cela soit autorisé... » demanda-t-elle, en souriant, ayant une curieuse envie de faire un peu d'humour pour briser la glace, comme elle ne connaissait personne ici. Enfin, elle ne pouvait pas vraiment savoir si elle avait bien fait de faire de l'humour de cette façon.

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“ I have always think the fishes are fabulous. ”

La jeune fille fit un sourire, en guise de preuve. Ce ne fit pas vraiment d'effet pour Henry. Après tout, le jeune homme n'avait jamais été intéresse par ce que les autres faisaient. Excepté par Drakon. Mais lui, c'était une autre histoire. Loin d'être de la romance. C'était plus un problème.
Le garçon aux cheveux blancs observa la jeune fille pendant de longues secondes, à présent à appuyé sur son bâton. Elle décréta qu'elle-même était en tort. Et ben, voilà. Ça existait bien des gens qui admettaient tout deux leurs torts. C'était tellement plus pratique.

« Captivant. Pour sûr. » De la conversation ? Non. Il n'en avait aucune. Il faut dire qu'il était venu ici seulement pour voir les poissons. Pas pour discuter. Soudain, une idée vint lui frapper. Et si elle était étudiante ? Elle pourrait le conduire à cet abruti heureux. Enfin. Heureux... façon de parler. Mais aborder le sujet... non. Pas tout de suite.
La jeune fille se mit à lui parler de son bâton, comme quoi il n'était pas probablement pas autorisé d'en avoir un ici. Henry eu un large sourire. « Il est vrai que j'ai eu quelques complications avec ce bâton, mais j'ai payé ma place. Et puis, qu'est-ce qu'ils risquent ? Avoir des échardes dans les bottes? » Il lâcha un petit rire. « Et concernant la pêche, je ne suis pas assez patient pour ce genre d'activité. ». Il se retint de dire qu'il aurait plutôt tendance à prendre des revolvers et d'aller buter les poissons de l'étang. Cette remarque lui fit d'ailleurs penser qu'il devrait aller s'en acheter, n'ayant pas penser à les prendre après la fuite de son protégé. Une chose était sûr, c'est que l’aîné de Drakon allait faire un sacré froid dans leur relation. Malheureusement, ce n'était pas qu'une métaphore. Ça allait faire mal. Henry en eut presque un tic nerveux. Mais même si son masque de la civilité était encore sur sa face, ses yeux montraient une vive colère. Il fallait dire qu'il lui en voulait beaucoup, et qu'il allait sûrement le priver de sortie et de glaces au chocolat pour au moins un certain temps.

La jeune fille était étrangement vêtue. Enfin. Lui, ce n'était pas forcément mieux, lors de ses meilleurs jours. En tout cas, il était temps d'avancer. « En tout cas, puis-je avoir l'exquis plaisir de me faire accompagner par vous, pour une petite durée ? ». Un sourire doux, charmeur. En règle générale, ça marchait. Mais après tout. Ce n'était qu'une marche. Rien de bien méchant. N'est-ce pas ?

Et il se mit à marcher, tout en faisant semblant de ne pas l'attendre, ou attendre de réponse. Malpoli ? Oui. Mais au moins, ça avait le mérite d'attirer la personne qui était intriguée. Sérieusement. Vous ne l'auriez pas suivi, vous ?

Au-dessus de leur têtes s'étendaient des bancs de poissons, tous aussi coloré les uns que les autres. Ils devaient venir de quelque part près de l'équateur, là où la température est quasiment estivale presque toute l'année. Là où s'allongeait dans les eaux, le corail rouge, jaune, orange. La beauté des océans. Henry se dit qu'il faudrait qu'avec Drakon, ils aillent faire un balade en mers, pour quelques vacances, loin des pouvoirs, des gens et des tentatives de fuites de ce dernier. Peut-être vaudrait-il mieux penser à des vacances en solitaire ? Ou alors l'enchaîner à un boulet de 300 tonnes ? Qui sait...

Spoiler:

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Mignon, mignon les petits poissons.

« Un après midi bleuté. »
Henry & Belinda
Notre chère Belinda avait évité la corvée de défaire ses cartons pour la journée, car bien sur, elle devrait bien le faire un jour, par l'appel de son ami Mafieux qui réussit à la convaincre de la faire sortir de chez elle pour visiter sa nouvelle ville. C'est ainsi qu'elle se retrouva à l'aquarium, s'étant payé une place. Ce qui n'était pas prévu c'est qu'elle se fasse bousculer. Enfin bon, elle était aussi en tord, ce qu'elle admit très facilement. Ce n'était pas le moment de se prendre la tête avec quelqu'un. Elle avait aussi tenté de faire un peu d'humour, histoire de partir de bons pieds, auquel de présumé jeune homme répondit avec un grand sourire.

« Il est vrai que j'ai eu quelques complications avec ce bâton, mais j'ai payé ma place. Et puis, qu'est-ce qu'ils risquent ? Avoir des échardes dans les bottes? » Il eut un petit rire avant de reprendre « Et concernant la pêche, je ne suis pas assez patient pour ce genre d'activité. » à ces mots, il passa dans ses yeux une vive colère dont Belinda ne put identifier la cause. En tout cas, cela n'était pas à cause d'elle.

Il est vrai que pour pêcher, il faut une patience à toute épreuve, et surtout avoir envie de toucher les écailles poisseuses des poissons, ce qui n'était pas très agréable, autant a l'odeur qu'au toucher. Elle n'aurait vraiment pas envie de pêcher, même pour le plaisir. En même temps, il ne fallait pas s'attendre à grand-chose d'une personne d'une lignée noble telle que la sienne. Elle avait eu de l'autonomie, mais comme on lui donnait tout cuit dans le bec, on peut dire qu'elle n'avait pas à donner beaucoup de sa personne pour avoir ce qu'elle voulait. Mais elle n'en était pas pour autant une incapable.

« En tout cas, puis-je avoir l'exquis plaisir de me faire accompagner par vous, pour une petite durée ? » Fit-il avait un sourire charmeur.

Enfin une personne un tant soit peu polie dans cette ville ! Elle commençait à douter du fait qu'il soit aussi jeune qu'il en avait l'air. Enfin bon, il partait avant même qu'elle ne puisse répondre, et elle n'eut d'autres choix que de le suivre. À la fois polis et malpolis dis donc... Bah, cela ne la dérangeait pas le moins du monde, car son but initial était de se changer les idées en regardant les poissons, ou même les méduses ou encore plein d'autres animaux marins visqueux, qui étaient particulièrement beaux à regarder (ou pas). Elle avait un peu de mal à suivre, sachant qu'elle avait de plus petites jambes que le présumé "jeune" homme. Mais il faut aussi dire qu'elle prenait bien le temps de lire les légendes de telles ou telle espèce présente dans les aquariums.

Elle ne prenait même plus la peine de dissimuler un minimum son pouvoir, ce qui faisait que le peu d'hommes qu'elle croisait se retournaient automatiquement sur son passage. Serte, c'était flattant, mais dans un aquarium, on est plus présent pour voir des poissons que de draguer les jeunes femmes. Elle était tellement concentrée sur les poissons du plafond qu'elle ne se rendit pas compte que le jeune homme s'était arrêté et son nez le senti passé, rencontrant son dos.

« Oups... Excusez-moi. » fit-elle en se frottant légèrement le nez.

Cela faisait la deuxième fois aujourd'hui qu'elle s'entrechoquait avec quelqu'un, et surtout que ce quelqu'un était la même personne. Il n'y avait plus qu'à espérer que le proverbe "jamais deux sans trois" soit faux... Sinon elle allait vite être un peu de mauvaise humeur... Elle regarda autour d'elle et vis qu'il y avait des soins de dauphins. Des dauphins dans un aquarium et plutôt rare.

« Vous vous intéressez aux dauphins, dites-moi ? » dit-elle en souriant. Après tout, n'importe qui voyant qu'il y avait des soins sur ces animaux magnifiques et très intelligents.

Elle était rarement allée dans des aquariums, donc elle ne savait pas trop en quoi cela consistait à par soigner et expliquer aux passants ce qu'ils faisaient. Elle aurait surement bien aimé en savoir plus à ce sujet.

Spoiler:

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