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Madness is not a state of mind. It's a place. Let's go there.

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Eris Trevillon
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MessageSujet: Madness is not a state of mind. It's a place. Let's go there. Madness is not a state of mind. It's a place. Let's go there. Icon_minitimeMer 9 Avr - 5:37

Eris avait sombré. Une fois de plus. La démence avait écrasé le calme étonnant dont elle pouvait parfois faire preuve. Pourquoi ? Pour une raison peu valable. Elle avait été bousculée, tout simplement, et ce simple détail suffisait à éveiller la bête sauvage tapie en elle. Et pour cause, elle ne pouvait supporter qu'on la touche, ne serait-ce qu'on la frôle.
Un spasme, léger. Un regard noir, et le malheureux ayant eu l'audace de la heurter n'avait pas eu le temps de réagir que ses dents se fracassaient sur le sol en une mélodie qui sonna terriblement délectable à l'oreille de la brune.

« Ce n'est pas de ma faute... J'ai un train dans la tête. Et il me rend folle. » s'était-elle justifiée avant de le brûler vif.

La douleur partagée lui avait arrachée un frisson accompagné d'un cri strident. Elle effectuait un nouveau passage dans son esprit, cette locomotive infernale, répandait son odeur putride dans les moindres parties du cerveau de la jeune fille, rongeait le peu de stabilité qu'il lui restait comme si elle n'avait été qu'un carburant pour sa course chaotique. Et les cris parvenant aux oreilles de la brune ne firent qu'accentuer un peu cette soudaine hystérie dans laquelle elle se perdait.

« Je ne suis pas folle, je vais bien. » murmura-t-elle comme pour se rassurer, vainement.

Machinalement, Eris souleva les pans de sa robe pour s'emparer du poignard sanglé à sa cuisse, parcourant la lame de ses maigres doigts blafards en lui marmonnant maintes folies, comme si l'arme comptait un jour lui répondre. Elle n'attendît cependant pas, resserra ses doigts sur le manche, et se rua sur les quelques personnes encore présentes autour d'elle pour les découper, les démembrer, les brûler. La souffrance qu'elle endurait elle-même ne fît qu'amplifier un peu sa folie, lui arrachant quelques légers cris de temps à autres tandis qu'elle se jetait frénétiquement sur les pauvres êtres croisant son chemin. Et autant dire qu'ils commençaient à se faire rare au vu du nombre étonnant de passant ayant réussi à s'enfuir.
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Makkuro Jimei
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MessageSujet: Re: Madness is not a state of mind. It's a place. Let's go there. Madness is not a state of mind. It's a place. Let's go there. Icon_minitimeJeu 10 Avr - 2:15

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»
Aujourd’hui, Makkuro avait décidé de sortir un peu en ville. L’avantage d’avoir la majorité depuis déjà quelques années, c’est de pouvoir faire un peu ce que l’on veut, par rapport à d’autres. Il voyait déjà les élèves ayant moins de 18 ans l’envier et le regarder sortir de l’enceinte du manoir de la Heroes’s sup, un sourire peint sur le visage. Aaaaah.. Il n’était pas méchant, mais cette pensée le fit rire un bon coup. Il avait d’ailleurs proposé à quelques autres de l’accompagner s’ils le voulaient, mais ils lui avaient jeté un regard désolé, avant de lui dire qu’ils ne pouvaient pas  puisqu’il fallait qu’ils bossent. Makku les avait donc obligé de lui promettre qu’une prochaine fois, ils feraient une sortie ensemble. Parce que bon, c’est cool d’être libre, mais sortir tout seul ça n’a rien de réellement drôle sur le coup.

Du fait des derniers événements en ville et à l’académie, Makkuro s’était muni de son épée, qu’il avait caché sous un pan de sa tenue. Il n’avait pas pris le reste de son costume puisqu’on ne lui avait rien dit, mais il sentait qu’il aurait certainement dû le prendre avec lui. Il avait un mauvais pressentiment qui le rongeait depuis qu’il était à l’extérieur.

Se dirigeant machinalement vers la ville, il secoua l’une de ses poches ou se trouvait son argent, afin de savoir s’il n’avait pas oublié celui-ci. Fort heureusement, non. Il prit donc des rues, alla sur la place, fit un peu le tour des bâtiments et des magasins avant d’aller vers le centre commercial, ou il aurait peut-être plus de chance de trouver quelque chose lui correspondant plus. Et s’il il tentait de s’habiller correctement, pour une fois ? Il se demandait d’ailleurs si ça allait bien aller avec ses longs cheveux. Peut-être.. Souriant, il entra dans le grand bâtiment et alla vers les boutiques de vêtements. L’une d’entre elle attira son attention et il entra, saluant le vendeur ainsi que les clients présents, son grand sourire de charmeur invétéré sur le visage. Il commença donc à déambuler dans les rayons et regarda les vêtements. Il choisit un pantalon, un haut et des chaussures et alla dans une cabine d’essayage. Quand soudain, il entendit des exclamations apeurées de l’extérieur.

Il ressortit brutalement, sans avoir pu essayer ne serait-ce qu’un vêtement, et regarda vers l’endroit ou les autres regardaient. Il ne voyait pas véritablement ce qui se passait de là ou il était et s’avança donc, avant d’écarquiller les yeux d’horreur et de stupeur. Jonchaient sur le sol du centre commercial, plusieurs corps.. Calcinés, ensanglantés.. Il ny avait un peu de tout. Et la responsable de tout cela continuait son grabuge tandis que ceux qui pouvaient s’enfuyaient, faisant que le hall se retrouva bien vite vidé. Fronçant les sourcils, il regarda plus attentivement.

La femme en cause de tout ça semblait être complètement devenue folle. Il décida donc d’agir, avant que d’autres morts ne soient à déplorer Alors qu’il se dirigeait silencieusement vers la porte de la boutique, le vendeur l’interpella.

« Mais..Mais.. Monsieur ! Il serait déraisonnable de sortir d’ici pour l’instant.. Vous risquez de vous faire tuer ! »
« Ne vous inquiétez pas. »

Il sourit, et tendit la main en formant une boule de vent dans celle-ci.

« Je saurais me défendre et vous protéger. »

A ces mots, il sortit, sa tenue et ses cheveux virevoltants derrière lui. Il s’approcha lentement tout d’abord de la jeune femme qui continuait à tuer ceux qu’elle trouvait sur son passage, puis fléchit les jambes, des tourbillons de vent se formant à ses cheville, et accéléra soudainement. Aussi rapide que le vent lui permettait de l’être, il arriva derrière la folle et évita des coups de couteaux, avant d’empoigner ses bras et de les lui bloquer derrière le dos. Il la poussa contre son torse et tenta de la maintenir tant bien que mal.

«… Doucement ! Calme toi ! »

Puis il la plaqua au sol en se mettant à califourchon sur elle.

« Je ne vais pas te faire de mal si tu arrêtes de gigoter et si tu te calmes. »

Blesser une si jolie jeune femme serait fortement dommage ! Bien qu’avec le visage déformé par la folie, elle l’est moins… En espérant qu’elle n’ait pas totalement perdu la raison et l’écouterait…Mais il ne rêvait pas trop. Réussir à calmer quelque un qui a perdu la raison ne serait que pour quelques instants et ce, pendant ce temps là, est juste ultra dur à faire, et le jeune homme n’est pas forcément habitué à ça. Mais peut-être que sa présence allait adoucir la fleur.

Puis il vit certains sortir de la boutique et il leur vit le geste de reculer.

« Ce n’est pas fini. Ne sortez pas pour l’instant. »

Il voulait absolument éviter d’avoir à utiliser son pouvoir. Il venait de l’utiliser un petit peu, mais pas suffisamment pour qu’il soit reconnu. Mais s’il avait eu son costume, ça aurait été bien plus pratique. Il grommela intérieurement. Il utiliserais donc plus sa force physique qu’autre chose, parce qu’il ne voulait vraiment pas que les gens découvrent qu’il était Kurokaze.




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Dernière édition par Makkuro Jimei le Dim 13 Avr - 1:14, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Madness is not a state of mind. It's a place. Let's go there. Madness is not a state of mind. It's a place. Let's go there. Icon_minitimeJeu 10 Avr - 4:21





Il roulait. Il avançait, lui pourrissait les organes et l'esprit, lui retirait le peu de stabilité qu'elle était apte à garder. Eris avait explosé, avait cédé, ce qu'elle avait toujours été venait de se perdre dans les méandres de l'hystérie et s'y noyait un peu plus à chaque membre qu'elle voyait voler. Elle tranchait, sans aucune propreté, fendait l'air de sa lame vorpaline comme une sauvageonne arrivée au sein de la civilisation. Sauf qu'elle était terrorisée. Cette folie l'effrayait. Son coeur s'était accéléré autant par la crainte que par l'excitation de voir le sang couler. Son ventre s'était noué autant par l'angoisse que par la délectation d'entendre les victimes de sa démence hurler. Elle ne voulait pas se noyer. Pas dans cette folie-ci. Ce n'était pas celle-ci qu'elle aimait. Eris adorait tuer, c'était certain. Mais elle savait se calmer. Or, la déchéance qui la menaçait, elle, était permanente. Et Dieu seul savait que la jeune femme se serait vendue corps et âme pour ne pas se retrouver une fois de plus dans cette chambre qui lui était réservée, à la maison de redressement où elle travaillait.

Sauf que la crainte n'aida pas, au contraire. Elle ne pût que l'inciter un peu plus à faire couler ce délicieux liquide pourpre lui arrachant de délicieux frissons, l'entraînant impitoyablement plus profondément dans le délire où elle se perdait. Ses doigts fins se resserrèrent sur le manche de son couteau, et elle se rua une fois de plus vers les derniers passants encore présents dans le bâtiment. Sauf qu'elle ne les atteignît jamais. Une prise ferme avait freiné sa course, comme ces menottes qu'on lui avait passées autour du bras après la mort de ses parents. Son dos avait heurté quelque chose de bien trop mou et chaud pour ne pas être organique. Et elle avait eu envie de le déchirer, de le mutiler, d'arracher le coeur qui battait dans ce qu'elle avait deviné être un torse masculin.

«… Doucement ! Calme toi ! »


Je ne peux pas. Un hoquet de surprise traversa les lèvres lorsque sa peau se retrouva en contact avec le sol glacé, à travers sa robe maculée de sang et légèrement abîmée. Qu'elle se calme ? Elle en était incapable. Elle n'y arrivait pas. Le sifflement de ce train était comme un hurlement menaçant lui ordonnant de continuer, l'empêchait de revenir à la raison et d'ainsi donc cesser de se débattre telle la folle qu'elle était. Ses pieds heurtaient le sol avec frénésie, son maigre corps tentait au mieux de se dégager, et son regard s'était teinté d'une hystérie bien plus prononcée tandis qu'elle fendait l'air à l'aide de son arme, en direction de son geôlier.

« Je ne vais pas te faire de mal si tu arrêtes de gigoter et si tu te calmes. »

Eris arqua un sourcil, puis deux, et un sourire malsain vînt étirer son joli visage, contrastant étrangement avec la détresse lisible dans ses iris opalins. Ses mouvements s'arrêtèrent net et elle s'allongea sur le sol, sa chevelure brune entourant ses traits tirés par la démence. Lui faire du mal ? Ces propos ne firent qu'accentuer un peu plus cette envie qu'elle avait déjà de le tuer. Il l'avait touchée, plus que de raison. Si bien qu'elle avait violemment frissonné. Et voilà qu'il voulait en plus la brutaliser ? C'était stupide. Elle aurait pu le faire voltiger, le brûler vif, faire tomber ses yeux de ses orbites, ou encore ses dents. Mais c'était son sang qu'elle voulait voir couler. De sa main qui plus est. Elle voulait le tailler, jouer avec son corps comme s'il n'avait été qu'une vulgaire poupée de chiffon. Elle voulait le mutiler, lui arracher le coeur. Peut-être même le manger, elle n'avait jamais essayé. Il y a un début à tout, ma douce.

Cependant, elle fût vite arrachée à ses pensées morbides par une nouvelle prise de parole de cet homme installé sur son bassin. Parlait-il d'elle ? Elle n'en savait rien, elle s'en fichait, mais la curiosité la rongeait. Alors, Eris inclina la tête, ses iris retrouvant leur inexpressivité habituelle tandis qu'elle lâchait d'un ton monocorde mais brisé :

« Je ne peux pas me calmer... Il m'en empêche... Il veut me rendre folle, détruire tout ce que j'ai... »

Machinalement, les mains maigrelettes de la jeune femme vinrent entourer son visage, ses doigts s'agrippèrent à ses cheveux, et ses paupières se fermèrent tandis qu'elle continuait :

« Tu ne peux pas me faire de mal... Il te tuerait. »


Et comme pour confirmer ses pensées, elle rouvrît les yeux, les rivant alors sur le bras du jeune homme en face d'elle, sans plus bouger. Concentrée, elle se joua de ses molécules, les divisa pour réduire leur solidité et lui brisa les os, gémissant elle-même à la douleur qui lui transperçait les veines.

« Tu vois... Tu ne peux rien me faire... Il me protège... Je suis l'hôte de son délire infernal, et il te désintègrera si tu oses m'abîmer. »
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MessageSujet: Re: Madness is not a state of mind. It's a place. Let's go there. Madness is not a state of mind. It's a place. Let's go there. Icon_minitimeSam 19 Avr - 3:05

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»
Makkuro tentait tant bien que mal de maintenir la jeune femme au sol, ses mains appuyés sur elle de façon à ne pas lui faire mal mais à restreindre ses mouvements pour ne pas être blessé. Bien entendu, elle se débattait avec frénésie, fendant l'air de sa lame, dans l'espoir de toucher le jeune homme, qui esquivait sans grand mal. Il appuya de tout son poids son corps contre elle pour la maintenir au sol, puis elle s'arrêta soudainement de bouger, surprenant l'étudiant. D'autant qu'un rictus fou se forma sur son visage délicat, alors que son regard, quand à lui, était plein de détresse. Le violet fronça les sourcils et se redressa légèrement, l'observant de manière inquiète. Il ne savait pas  vraiment quoi faire, parce qu'il n'avait jamais eu à faire avec quelqu'un comme elle jusque là. Il avait bien croisé des fous de temps à autres, mais cette jeune femme était un cas à part. Elle savait qu'elle était folle, et ça se voyait dans ses yeux.

De même que dans sa prise de parole, qui étonna grandement le Japonais. Elle avait incliné sa tête et ses yeux étaient devenus inexpressifs, vides, tandis que ses mains vinrent entourer son visage. De qui parlait-elle ? Qui veut la rendre folle et détruire ce qu'elle avait ? Que ressentait-elle au fond d'elle, et quelle était cette chose en elle qui ne voulait pas lui laisser mener une vie normale ? Voyant qu'elle s'était quelque peu calmée malgré ses propos, il se remit correctement sur son bassin sans pour autant mettre trop de force, juste pour la maintenir collée au sol, de sorte qu'il pourrait agir rapidement s'il lui prenait à nouveau un coup de frénésie.

Il fronça davantage les sourcils quand elle lui dit qu'il le tuerait. Oh, ça, il en était certain, vu comment elle avait agi avec les passants. Mais étrangement, il n'avait pas peur. Elle lui semblait, à ses yeux, comme un animal blessé. Et les animaux, quand ils sont blessés, peuvent devenir particulièrement méchants . Il l'observa longuement, alors que son regard se posait sur lui. Ou plutôt.. Son bras. Puis il écarquilla les yeux, ouvrant la bouche, sa respiration s'accélérant brutalement. Ses yeux se rivèrent sur son propre bras, alors qu'il sentait ses os se briser. Il hurla en fermant brutalement ses paupière, la douleur le transperçant de toute part. Il posa sa main valide sur celui qu'elle venait de briser, et souffla douloureusement, le souffle court, en se pliant en deux. Ses cheveux retombèrent sur son visage, cachant la pâleur de celui-ci. Il entendit alors des gens sortir et lui dire de se dégager de là alors qu'ils s'approcher. Il se retourna vivement, haletant et son visage exprimant une grande souffrance, et leur ordonna de rentrer dans les magasins s'ils ne voulaient pas se faire tuer.

Il se leva soudainement et s'écarta d'elle en titubant, surpris, alors qu'elle reprenait à nouveau la parole.IL la regarda avec une expression qui se rapprochait de celle de quelqu'un qui était inquiet. Et c'est ce qu'il était présentement. Il baissa les yeux vers son corps maculé de sang puis tenta de bouger son bras, sans grand succès. Il poussa juste un gémissement alors qu'un frisson le parcourait. Ses os.. Elle les avait brisés. Et pas qu'un peu, il le sentait.

« Je ne te ferais rien Tu peux me croire. Il peut me croire. Du moment que vous ne me poussez pas à utiliser la force comme je viens de le faire pour vous arrêter. Fais moi mal si ça peut calmer cette folie, mais ne touche pas aux innocents ici. Par contre, je ne me laisserais pas tuer. »

Il leva son bras droit à hauteur de tête pour lui montrer qu'il ne plaisantait pas, tandis que son autre pendait lamentablement contre son corps. Sa tête pencha sur le côté.

« Je ne laisserais plus personne se faire tuer, quitte à en souffrir de plus belle. Quitte à devoir perdre mon deuxième bras et à me faire taillader. Je t'arrêterai. Je vous arrêterai. Mais ne te.. je ne vous frapperais pas. »



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