Évent- Mission 3

Évent

Mission 3- Civils contre arachnides

L'araignée a fait du chemin depuis le toit de la Heroe's Sup. Après avoir digérée Elly, elle avait pris presque cinquante kilos. L'arachnide avait tissée une toile dans la forêt où elle avait dévorée quelques lapins. Mais ça ne l'avait pas satisfait. Alors elle s'était dirigée vers la ville. Le festin était trop beau pour ne pas être partagée. Elle avait donc appelée l'une de ses congénères qui n'avait pas encore éclos. Elle lui offrit ses premières victimes dans un centre de la petite enfance. La grande araignée mesurait maintenant un peu plus de trois mètres sur ses huit pattes. La plus petite en faisait un mètre soixante. Elles poursuivent maintenant leur orgie de chaire humaine sur la grande place.

Les images qui défilent à la télévision sont horribles. Surtout que les légendaires et les meilleurs combattants de la Heroe's sont absents. Qui pourra empêcher ces deux araignées venues d'un autre monde de détruire la ville ? Eh bien, on dirait que c'est vous.

L'armée est en route. Les forces spéciales de la police font ce qu'elles peuvent contre les monstres.

( Ordre de passage: Liam, Billy, Vladislav, Mortimer, Monaco, Dark Hours (( araignées)) )

Photo des araignées

Spoiler:

Une énième journée à tuer le temps, dans un café de la Grand Place. C'aurait pu être une journée comme j'en ai tant connu :s'amuser à parcourir la ville un grand sourire aux lèvres, l'air de rien, puis le soir venu enfiler mon costume et répandre le crime dans des rues quasi-désertiques pour enfin rentrer à la maison et m'endormir paisiblement dans mon lit. Une journée tout à fait banale quoi. Mais non. Non putain !

Au lieu d'une petite ambiance sympa, tout le monde est terrorisé. Tous les yeux sont rivés sur l'écran, juste au-dessus du comptoir. Le flash info gueule que des araignées géantes arrivent, qu'il faut rester à l'abri. C'est quoi ce tissu de conneries ? Ils demandent à ce qu'on reste à l'intérieur et pourtant ils montrent très clairement des images où les arachnides délogent leurs proies de leurs refuges dans un joyeux bain de sang pour ensuite les dévorer. Une maman araignée et son petit hein ? C'aurait pu être touchant si ces créatures n'étaient pas horriblement laides et en train de se faire un festin de chair humaine.

Le café où je me trouve s'est transformé en bastion. Tout les monde s'est planqué sous les tables et s'est bouché les oreilles dans un vain espoir de ne pas entendre l'araignée qui se rapproche. Moi ça me fait penser à une comptine, je chantonne l'air de rien :

«C'est la bêbête qui monte, qui monte...»

La peur qui règne tout autours de moi me désarme. Ce n'est pas en restant ici que je vais survivre, il y a trop de monde. Les bestioles doivent sentir où sont les endroit regorgeant de beaucoup de "nourriture". Excédé par les prières des autres, je quitte l'établissement. Certains me traitent de fou... Mais j'en ai rien à battre. Il était juste hors de question que je reste planqué ici comme un faible.

Dehors ça court dans tous les sens en hurlant. Les yeux mécaniques des caméras sont braqués sur les araignées qui émergent d'une rue adjacente. La plus petite -qui fait quand même presque ma taille- se jette avec hargne sur un caméraman. Ce sont les risques du métier, sans doute... Bon, je l'avoue, je commence à paniquer. Je dégaine le revolver que j'ai toujours sur moi, planqué dans un holster. Ces connasses ne m'auront pas. Enfin peut-être. J'ai risqué plus d'une fois ma vie et jusque là j'ai eu de la chance... Mais je dois rentrer à la maison. Sinon Lulu va s'inquiéter et je ne veux pas qu'elle se fasse du souci pour moi.

Je rase les murs, surveillant les arachnides. Ces dames ne savent pas où donner de la tête tant le gibier est foisonnant. Elle s'emmêlent un peu les pinceaux en dansant sur leurs huit pattes. La police essaie de repousser ces ennemis arrivés si soudainement. Ce sont eux les fous. Planqué derrière une colonnade de l'Hôtel de Ville, je surveille la bataille. Et j'espère ne pas me faire repérer par ces monstres.

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C'était la merde. La situation ne pouvait- être plus merdique, les légendes et les apprentis héros absents et la ville envahit par deux araignées mutantes. Je ne pensais pas que l'occasion de me venger se présenterais aussi vite et dans une situation pareil... Et que cette saloperie ferait un "bébé" 'manquait plus que ça pour pourrir le tableau. Point positif, j'allais pouvoir me venger, cette salope allait payer, elle allait voir ce que c'était de crever ! je regardais autour de moi, grosse panique évidement soit les gens courait se mettre a l'abris ou ils l'étaient déjà... mais c'était inutile les araignées les chopaient quand même, les dévorant avec apétit. Le chaos quoi... Pourtant j'étais calme moi, je n'avais plus peur de la mort après l'avoir subit : j'étais une survivante.

les journalistes filmaient l'horrible spectacle, selon moi ils devraient penser a s'enfuir plutôt que de regarder en commentant. Les araignées ne connaissaient pas la notion "d'information" et avaient rien a foutre que le monde soit en courant de leur apparition. Leur seul but c'était de se goinfrer. mais je comptais bien mettre fin au carnage de ses abominations. Elles avaient déjà assez fait le bordel comme ça, j'allais les buter ensuite viendrait le tour de Dark Hours. Il allait payer pour tout ça, pour tout les morts.

La plus "petite" des araignées se jette brusquement sur un journaliste. D'un bond j'interviens et je la déloge d'un coups de pied violent, elle vole un peu plus loins.

«Écoute tu m'en voudras pas mais je vais te tuer ma cocotte !»

je me précipite vers un des policiers présent -cette bande d'incapables- et lui arrache son flingue des mains je vide le chargeur sur ma cible, la moitié des balles ne la touche pas mais ça a le mérite de la ralentir. Je dégaine mon katana -achat récent qui sert plus vite que prévu- et je me dirige vers l'enfant araignée, et lui donne un bon coups de sabre dans une de ses pattes. La elle est clairement blesser mais ça ne suffit pas pour la faire tomber. Je me jette a nouveau sur elle, la rage dans mon regard

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La panique régnait en ville, je ne savais pas d'où sortais ses foutues araingnées. Une chose est sûre, il fallait agir au plus vite, elles se rapprochaient dangeureusement du centre ville. J'avais pris soin d'oter les ailes de mon costume pour aller m'occuper de ces laiderons, elles me gêneraient trop pour certains mouvements.

Je partis à la trace des bestioles - qui étaient plus imposantes que je ne le pensais -. J'accélérais pour les rattraper, elles allaient vite les saletés. J'allais pouvoir ressortir mon arme interchangeable, la faux me poserait trop de soucis pour me déplacer, pour le moment j'allais garder le fusil.
Des cris venait d'un peu partout, cela était peu pratique pour me concentrer sur l'endroit précis des grosses bébêtes. Mes yeux se déposaient un peu partout jusqu'à ce que je vois un bout de patte. Erk, c'était un peu trop poilu à mon goût. Blague à part.
Je m'accroupis, prenant soin de ne pas être trop visible pour commencer à attaquer de loin. Le plus simple était d'affaiblir les salopries avant. Je plaçais correctement le viseur de mon arme et glissait doucement mon doigt vers la gâchette.

"Prête ma cocotte ?"

Je prenais soin de bien viser une patte et... Mon doigt appuya sur la gâchette.

"From Vladislav with love, poulette !"

Je visais une autre patte et tira. De mon viseur, je vis un éclair blanc attaquer la petite araignée. L'éclair et la bestiole étaient aussi grande. Je tâtais mes poches. Merde, j'avais oublé mes clopes... Pas de quoi me détendre un peu dans cette situation, je devrais faire sans...
J'allais rejoindre la mamie (?) qui s'occupait des saletés. Autant pour moi, c'était une jeune femme. Vu que je n'étais plus sur les toits, j'interchangeais entre ma faux et mon fusil. Prêt à trancher de la grosse bébête.

HRP:

Une alerte raisonna dans toute la ville. Des gendarmes accourais de partout en criant "Aux abris, ceci n'est pas un entrainement! Je répète ceci... HAAAAA!!!" Tu m'étonne que ce ne soit pas un avertissement quand on a la moitié du corps sous un mur défoncé. Le pauvre. J'étais venu seulement pour des croissants et un café moi. Je penses que j'ai du boulot. Je pouvais voire à un kilomètre les pâtes velues des arachnides aux reflets verts. Il n'y a pas trente six milles solutions, ces araignées viennent d'une centrale nucléaire ou c'est là l'oeuvre du démon. Quel chantier, les monstres n'avaient pas finit leurs proies; des bras ensanglantés et des corps déchiquetés jonchaient les rue, et dire que cela faisait à peine quelques heures que la terreur sévissait et un quart du cartier avait été dévoré. Sans compter les quelques vaillante troupe des interventions de la police, je pouvais distinguer deux fiers combattants l'un munit d'une faux et l'autre d'un sabre, un katana à mon avis. Je penses qu'ils sont forgé du même métal que moi dommage qu'ils ne soient que deux... Ou trois, oui car un coup partit d'une vielle baraque en ruine. Je montais sur un toit et tirais sur la monstruosité qui traumatisait les passants.

-Vite réfugiez-vous! Dégagez!

Une petite fille cachée derrière une poubelle, un ballon dans les mains, se trouvait pétrifiée de peur. Elle pleurait à flots et criais ce qui attira l'attention de l'araignée. Je piquais un sprinte pour la rejoindre. L'araignée s'approchait doucement, la petite fille se boucha les oreilles pour ne pas entendre les cliquetis des mandibules du monstre. Je sautais dessus, sortit mon walter et perfora trois de ses huit yeux globuleux. Je me dressais devant la gamine faisant ainsi barrière. Je sortis de mon dos mon fidèle magnum et fourra mon arme dans la gueule de l'arachnide et tira une grosse charge la repoussant. Elle était comme qui dirais dans les choux. Mission accomplit, enfin... Apparemment, c'était la fille, car une immense patte se pointa écrasant une pauvre femme. Elle passa la tête dans la ruelle toujours avec ces mandibules claquetant d'autant plus infernal avec cette bave qui dégoulinait de la bouche de la bête.

-Voilà la maman!

Je me propulsais d'un bond sur un muret m'éloignant en compagnie de la fillette. Je restait caché à la vue du monstre, lui tirant des charges de sniper au loin. Pourquoi il faut qu'à chaque fois je ne prenne qu'un minimum d'armes! Je la sentais si proche de nous, d'ailleurs, la petite était évanouie quel pied!

La situation ne pouvait être pire, on pouvait dire que la ville était en crise. les batiments étaient en flamme ou en ruine, les gens couraient, se cachaient ou mouraient. Les légendes étaient absentes, l'heroe's sup occupé, les policiers débordés et les araignées, elles se régalaient de la chair des habitants de cette ville. Dans ce chaos l'espoir ne semblait pas avoir sa place, la mort et la peur était plus présente que jamais pourtant malgré toutes attentes des civils courageux se présentèrent devant les caméras des journalistes. Finalement il avait peut-être de l'espoir dans ces lieux dévastés. Les combats commencèrent, les journalsites commencèrent à s'exclamer, la ville pouvait être sauvé, les araignées allaient être vaincus ! Oui mais non, le mal était coriace tant que la racine existe l'arbre pousse, le mal c'était pareil.

«Dark Hours...»

Ce nom qui terrifiait la ville depuis quelques temps c'était uen jeune femme aux couleur sombres qui les prononça. Oui elle savait quié tait le coupable de toute cette agitation, du moins elle s'en doutait... Oui c'était cet ignoble crimminel masqué qui était le coupable. Il n'vait pas de doute possible, mais Monaco -sous son identité de madame Mystère- savait quel était l'une des autres identités de ce monstre puant la mort. Oui elle savait, la jeune feme en était convaincue. La vérité elle l'avait arraché au prix d'une bataille avec Dark Hours, elle avait gagné de justesse avec presque rien heureusement que le prof avait été là... Mais cette fois-ci elle était armé, un pistolet dans une amin un autre accroché dans le dos, c'était utile d'avoir des contacts dans les milieux peut recommendables. Elle s'avança vers les journalistes, ceux-ci l'interrogèrent était-elle uen nouvelle civile courageuse venue les sauver ?

«Je suis Madame Mystère mais mon identité n'est pas très importante... Une identité est plus capitale que la mienne. Oui, celle de Dark Hours ! »

Malgré le chaos aux alentours c'était comme si le temps c'était stop. Cett ejuen femme savait-elle l'identité de Dark Hours !?

«Oui Dark Hours plus connu sous le pseudonyme de Scott Nym !»

la révèlation fut l'effet d'une bombe aux journalistes et a tout ceux qui regardaient la télévison. Comment pouvait-elle savoir cela !? Mais pas le temps pour donné une réponse, la plus petite des araignées réussit a s'échapper malgré les attaques de ses eux assaillants. Les journalistes crièrent avant que trois coups de feux furent tirés.

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La lutte commençait pour Monaco. Avant de partir rejoindre ses compagnons d'arme au combat elle lança aux caméras.

«Dark Hours arrête de te planquer derrières tes araignées.... Ramène donc ta sale face pour qu'on règle nos comptes ! »

Cette phrase dite elle rejoignit les deux autres "héros", un roux et une femme aux cheveux blancs, il semblait a Monaco qu'il avait un troisème dans les parages mais elle ne le vit pas.

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«Prêts ? je sens que c'est loin d'être finie cette histoire...»

Dit-elle a ses comparses d'infortune, elle recharga son arme. Moanaco, elle était prête.

Évent

Mission 3- Civils contre arachnides

La petite araignée a mal. Elle pousse un cri strident, alertant sa congénère plus corpulente. Cette dernière se retrouve devant un groupe de héros du dimanche. Elle les toise de ses gros yeux humides. Son faciès est presque doux, on dirait qu'elle sourit. Mais ce n'est que le fruit de l'imagination humaine car sa seule volonté et de dévorer ces appétissants adultes. Elle s'approche sous les coups de feu des policiers. Elle tousse sur les héros rassemblés au milieu de la chaussée. C'est une toile gluante et très adhésive.

La plus petite araignée rampe derrière les pattes de sa mère et bande ses blessures avec le même procédé. Elle reçoit encore des balles mais elle n'est plus la cible prioritaire. L'attention étant concentrée sur la mère. Elle en profite pour escalader un immeuble et casse les vitres des bureaux. Des hurlements et des explosions se font entendre. Des femmes et hommes d'affaire tombent de plusieurs étages pour s'écraser sur l'asphalte.

Un hélicoptère de l'armée passe par là. C'est bon signe.

Toujours planqué, j'observe, rien ne m'échappe. Les araignées font régner le chaos, des héros essaient de venir en aide à la police, mais manque de pot ni la maman ni son bébé ne crèvent.

C'est le chaos en ville, c'est le chaos dans ma tête, je ne sais pas quoi faire. Je ne suis pas formé à ce genre de choses. Oh non moi je reste loin de tout ça, quand je m'approche c'est pour que les autres fassent le sale boulot à ma place. Moi je ne suis bon que pour jouer le rôle du mec détesté. Mais toujours avec le sourire. Cependant la différence ne compte plus. Je dois agir, prendre le rôle du gentil, du héros. Mais je doute.

La plus grosse araignée dégueule sa toile sur plusieurs héros. La plus petite entreprend l'ascension d'un immeuble, faisant tomber de nombreuses personnes au passage. Les cris, les bruits des corps qui s'écrasent parterre... Je tressaillis, un mauvais souvenir qui remonte. Je me bouche les oreilles. Pourquoi bordel ?! Pourquoi ?! Non, non, il ne faut pas que je me laisse submerger. Oublie le gamin terrorisé que tu es Liam. T'es sensé être un adulte putain !

Je fait donc abstraction de l'agitation ambiante et je sors de ma cachette en courant. Je tire sur l'araignée qui se rapprochait dangereusement des héros englués.

«Crois pas que tu vas t'en tirer comme ça saloperie !»

Elle n'a pas l'air très contente. Je ne le suis pas non plus. Cependant un sourire me fend la face, je ne sais pas pourquoi. Je ne sais pas non plus pourquoi je leur viens en aide. Je ne sais pas d'où viennent ces araignées. Je ne sais pas, je ne sais plus, je ne veux pas savoir.

La bestiole tente un assaut que j'évite de justesse en me jetant parterre. Mon pistolet étant déchargé, je saisis le premier truc qui me tombe sous la main -une grosse chaîne- et lui envoie un coup dans la tronche. Je la latte avec mon arme de fortune comme je le ferais avec mon fouet. J'essaie de me relever mais elle ne m'en laisse pas le temps. J'essaie, j'essaie... Mais ça ne va pas. Rien ne va putain ! Non rien ! Même si je fais toujours croire à tout le monde que tout va bien !

Je suis cuit.

Au moins on pourra pas dire que j'ai été lâche... Quoique...

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Le plus petite des araignées poussa un cri strident et hideux. Un frisson d'horreur parcoura Billy, surtout quand elle vit l'autre araignée arriver et les toiser, elle et les autres de ses six yeux globuleux et humides. La jeune femme restait immobile comme hypnotisée par le doux mais terrifant faciès de sa tueuse. Ce monstre semblait sourire, mais ce n'était qu'une illusion. Billy le savait. Un monstre ne sourit pas il se contente d'être monstrueux. Les bruits de balles percutant le corps de l'immense araignées sortit Billy de sa torpeur mais cétait trop tard, l'araignée toussa et une matière gluante l'emprisonna. Une toile ? Merde ! Elle regarda autour d'elle, les autres sont aussi dans la même galère. Non elle ne pouvait pas perdre, pas maintenant, pas encore ! Dans un effort elle réussit a prendre son katana et elle donna des coups dans la toile. Billy essayait aussi de délivrer ses "partenaires" surtout le roux il avait une arme plutôt utile pour les sortirent de cette galère.

Elle entendit des cris, la petite araignée c'était remis de ses blessures, comment Billy ne le savait pas mais elle constatait les dégâts. Des hurlements, des explosions et des morts. Vite, vite, vite il fallait se sortir d'ici la vie de milliers de personnes étaient en jeu. Enfin il n'avait pas que la vie des autres en jeu, la sienne et celles des autres héros englués était en danger. L'araignée géante s'approchait trop au goût de Billy, beaucoup trop cette fois-ci elle pouvait voir la voracité du mosntre dans son regard. Non elle ne voulait pas encore mourir de cette manière. Non cette fois-ci elle combattrait jusqu'au bout. Dans son élan de courage sa lame se faisait de plus en forte si bien qu'elle réussit a se délivrer. Elle aurait put partir mais elle resta pour délivrer les autres, elle en pouvait pas les abandonner.

«Crois pas que tu vas t'en tirer comme ça saloperie !»

Que... Hein ? Un homme blond se tenait devant eux arme a la main. Il semblait être en colère et déterminé. L'araignée elle semblait juste exaspérée et affamée. Sans que billy ne puisse rien faire le monstre se jetta sur le blond, une première fois il l'évita de justesse, ensuite il se défendit avec une chaîne il semblea se débattre avec hargne mais... L'araignée s'approcha sans aucun soucis de lui.

«Nooon arrête enfuis toi !»

Elle voulut le rejoindre pour le sauver mais elle trébucha sur la toile de cette sale bestiole, maintenant il était trop tard elle ne pouvait qu'être une spectatrice impuissante. Au loin l'armée arrivait mais billy ne l'entendit pas.

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Avant que je frappe la bébête de ma faux, la mère déboula et nous cracha une espèce de toile visqueuse. Bon sang, saleté. Elle nous avait bien collés au mur. Je n'arrivais pas à bouger un seul de mes membres à cause de cette foutue toile. Je tenais fermement ma faux pour ne pas la laisser tomber, je devais essayer de nous en délivrer mais la toile m'empêchait de bouger... Hin, si seulement je pouvais me mouvoir... Je ne pouvais même pas changer mon arme. Je n'allais pas m'avouer vaincu pour ça, il fallait juste le temps que je trouve quoi faire.
La jeune femme aux cheveux blancs arrivait à se libérer de la toile. Elle porta secours à tout ceux qui étaient coincés.

Un homme blond sorti de je ne sais ou, il attrapa une chaîne qui traînait par terre. Une fois l'avoir bien prise en main, il fouetta l'araignée avec. C'est inutile mon coco, ce n'est pas assez puissant pour l'avoir. Il persiste, il ne s'arrête pas. C'est stupide, elle va te tuer en un rien de temps ! La femme au sabre fonça vers l'araignée mais se prit dans la toile gluante. On est pas sortis de l'auberge à ce rythme. Je pris soin de faire durcir ma peau pour ne pas trop morfler. Je repris mon arme en main et fonçait vers cette saloperie, lui assénant un coup dans la patte., cette dernière poussa un cri tellement infâme.

"Tu aime ça vilaine~ ? Alors que continue !"

J'allais lui trancher la patte à cette saloperie, j'allais la planter, lui crever les yeux, la dépecer, lui faire la peau. Je la voulais morte. Un sourire psycopathe se ficha sur mon visage, une sensation étrange me revenait... Celle des pulsions meurtrières...

J'entendis une multitude de cris plus effrayant les uns que les autres. La petite fille évanouie se réveilla. Elle était en état de choc. Cela ne servait à rien de la réconforter de plus je ressemblais à tout sauf une mère-poule... Je me penchais pour voir la scène. Les gens étaient englué dans la toile du monstre. Et comme si ça ne suffisait pas, un petit blond se tenait devant l'araignée géante et enfin, cerise sur le gâteau, sa chaîne lui faisait une arme d'un ridicule sans égal! "Vas t'acheter un walter bon marché et tu ressemblera moins à un clown." Pensais-je. Je devais les aider et les sortir des immondices dans lesquelles ils étaient fourrés. J'avais pensé que ces personnes étaient débutants mais une charmante jeune fille munit d'un katana et un type avec une faux modernisée réussirent à venir à bout de la toile de l'arachnide. J'adressais un signe à la gamine lui indiquant de garder sa position sans aucuns bruit et sautais d'immeubles en immeubles et d'immeubles en immeubles de ruines en ruines! Je fis mon ultime saut, un saut immense où un homme normal se serais cassé les jambes. A la réception, un gémissement s'échappa de ma bouche... J'étais sur le dos de l'araignée et ses poiles étaient terriblement urticant! Je sortis mon insecticide "made in M.Black" autrement appelé magnum gros calibre et lui perfora le dos!

-Ne restez pas là je vous l'ordonne! Je ne sais pas combien de temps je pourrais la distraire!

On aurait presque cru entendre un cri d'humain mais c'était bel et bien celui de l'araignée... Elle était hystérique,folle de rage! Et moi aussi. Elle dévia sa direction contre un mur et le percuta. Je me fit éjecter violemment de son thorax. Le poison que l'arachnide dégageait avait pénétré ma peaux après les giclées de sang venimeux qui émanaient des plaies dues aux coups de mon armes reçues à plusieurs reprisent me rongeait de l’intérieur.. Je suis au sol agonisant. Mes mains vire au vert je sens des boutons sur mon visage et des marques apparaissent partout sur mon corps. J'entends des cris étouffé, mon ouïe se fait faible. Le poison a troublé ma vue. Je pers connaissance sur la place.

L'araignée géante s'affaisse un moment en tremblant sur ses sept pattes restantes. Elle envoie un peu de toile sur vous puis se retourne dans le but d'aller se réfugier et prendre soin de sa blessure. La petite araignée est descendu de l'immeuble et entreprend de manger les cadavres qui jonchent le sol.

( C'est à Monaco )

Tout ce passa si vite pour Monaco, si vite, elle n'avait rien put faire. Oui en quelques instants elle l'araignée géante lança une toile gluante emprisoner les héros. Monaco se débattit mais c'était inutile, elle était totalement coincée dans le piège collant. Imuissante, voila le mot qui lui venait à l'esprit; elle était impuissante. Pourtant elle voulait se battre, elle ce l'était juré de ne jamais perdre, pas contre Dark Hours. Non, elle ne voulait pas, de rage une larme coula sur sa joue, elle se débatie avec encore plus de force. Elle n'était pas la seule a se battre, l'autre femme du groupe réussit à se délivrer de la toile et commença a délivrer Monaco et l'autre, le roux.

Au même moment, un autre homme, un blond s'attaqua à l'araignée géante a l'aide d'un pistolet, il fut vite désarmé mais il ne perdit pas pied et il s'attaqua au monstre avec une chaîne. Acte de bravoure inutile mais excellente diversion. La femme aux cheveux blancs voulut aller vers l'homme mais tomba par terre a cause du reste de la toile, comique mais vu la situation personne ne rit. Le roux se précipita donc vers l'araignée géante et commença a l'attaquer pour être rejoins par un autre homme.

Monaco ne regarda pa splus longtemps la scène, une autre araignée, certes plus petite mais tout aussi dangereuse faisait un massacre. Elle se précipta dans la direction de celle-ci et reghargea son pistolet, elle allait en avoir besoin. Au même moment la mère araignée s'affaissa, elle avait perdue une patte mais elle utilisa la même tactique que tout à l'heure, les héros se trouvèrent à nouveau englués. Il ne restait plus que Monaco et l'héroïne aux cheveux blancs. Le petit monstre, lui, était descendu de son perchoir. Le jeu avait assez duré, l'heure de rendre des comptes avait sonné. elle tira, encore et encore sur l'araignée la moitié des balles touchèrent la cible qui était maintenant furieuse. Elle se jeta sur moanco qui l'esquiva de justesse, appuya sur sur la gachette de son arme et... Plus de balle.

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Trop tard pour prendre l'arme derrière son dos, l'araignée se précipitait vers elle a toute vitesse, Monaco se mit courir le plus plus vite possible, c'était une question de vie ou de mort. Elle était assez loin, elle s'arrêta sortit l'arme qui était dans son dos, une très grosse arme, elle visa mais l'araignée sauta, un bond énorme.

«...Que, mais... C'est pas justeeeeeee !»

Boum, le choc projecta la jeune femme sur un mur -un de ceux qui était encore debout. Le eptit monstre s'approcha, il avait gagné, la femme était évanoui, le regard de l'araignée brilla, brilla d'apétit. Il était tout proche, leva une de ses pattes velues et la descendit vers el corps de l'humaine. Monaco sourit, une ruse, une simple ruse elle esquiva d'une roulade et tira. La balle arracha deux des pattes du monstre mais le recul de l'arme fit tombé par terre la jeune femme, l'araignée en profita pour se trainer bouche ouverte prête a manger, vers la jeune femme. C'était le moment, Monaco d'un bond se leva et sortit quelque chose de son costume et le jetta dans la gueule de l'araignée et elle se mit a courir. Oui courir carse qu'elle venait de jetter c'était une grenade, oui une grenade. BOUM.

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Le choc de l'explosion projecta Monaco vers l'araignée restante. Elle était trop affaiblis par son combat pour se relever et s'enfuir, elle ferma les yeux prête a mourir. L'araignée géante sembla sourire mais ce semblant de sourire disparut quand on lui tira dessus. L'armée était enfin sur les lieux, l'armée qui tirait sur l'araignée restante, l'armée qui délivrait les autres héros. Un soldat releva Monaco et lui sourit.

«Bravo petite, tout va bientôt se terminer.»

Si seulement mais Monaco ne le pensait pas, il restait encore un de ses monstres et c'est dans un des cris du monstre qu'elle prit l'arme du soldat etavança avec difficulté vers l'action.

«Dark Hours je suis prête pour une seconde manche !»

L'armée débarque et les blessés sont emmenés se faire soigner. La grosse araignée est bombardée et finie par crever dans un horrible cri. Elle laisse derrière elle un œuf noir et vert tout gluant. Attention, il est acide au toucher et indestructible.

[HRP: En premier lieu veuillez excuser mon retard j'ai comme qui dirait quelques problèmes qui me sapent une grande partie de ma motivation... Et puis je savais même plus que c'était à moi... Navrée...]

La petite araignée à explosé à cause d'une grenade, la grosse s'est faite bombarder par l'armée mais laisse derrière elle un oeuf, gluant. C'est laid. Et on a pas assez de problèmes comme ça hein ? Faut qu'elle nous laisse un autre gosse ! C'est quand que ça va s'arrêter bordel ? Qu'est-ce qu'on lui a fait à ce connard de Dark Hours ? L'existence n'était-t-elle pas déjà assez compliquée avant qu'il arrive ?

Je suis fatigué et je ne veux pas réfléchir. En plus, la petite araignée m'a quand même méchamment entaillé le côté pendant que j'étais au sol. Je suis debout dans le chaos, je sais plus quoi faire. Je me contente d'essuyer le sang qui coule de ma lèvre. Je regarde passivement une des héroïnes qui à l'air d'attaque pour se friter avec le grand méchant. Courageux. Je respire un grand coup. S'il faut continuer à se battre, je le ferais tout de même. J'espère juste que les héros ne penseront pas que je le fais pour eux. Je suis un criminel, je n'agis que pour ce qui me chante. Et là pour le coup je veux juste un peu de tranquillité. J'en demande trop ?

Je m'avance entre les décombres, avec une certaine détermination malgré la douleur et la peur.

«Bon on le fini ce combat ? Je suis sûr que t'as encore de quoi nous pourrir la vie, Dark Hours.»

Je regarde l'oeuf, cette immonde chose reposant dans les entrailles de sa maman. Elle est là la suite des problèmes ? L'un des soldats veut le casser en tirant dessus mais ses balles ne font que ricocher. C'est sûr on ne fera pas d'omelette avec ce truc. Je remarque aussi que l'oeuf dissout ce qui l'entoure. Oui ce truc est sûrement un paquet d'emmerdes.

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