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Quand, à la base, tu ne demandais que ton chemin...

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Quand, à la base, tu ne demandais que ton chemin... Vide
MessageSujet: Quand, à la base, tu ne demandais que ton chemin... Quand, à la base, tu ne demandais que ton chemin... Icon_minitimeDim 25 Aoû - 7:43

QUE QUELQU'UN M'AIDE.
ET JE LUI OFFRE DES BONBONS.
Ft. Diana Kitaëv aka FORCE BLEUE dans un avenir très proche.
Catapultée là, dans ce nouveau monde, cet univers trop grand pour elle. Perdue. Regardant à droite à gauche. Ah ! Ce qu'elle devait avoir l'air stupide à gigoter dans tous les sens, à aller dans une direction pour, cinq pas plus tard, revenir en arrière; à s'élancer dans une autre et d'y couper court avant de rentrer les genoux, timidement, et de regarder autour d'elle, perdue, avec une sorte de panique au fond du blanc de l'oeil. Elle se sentait bien ridicule, en tout cas. Et elle était persuadée que les passants qui la contournait comme si elle n'était qu'un énième obstacle tel qu'un poteau ou un panneau, eux aussi, la trouvaient ridicule.

Elle baissa la nuque, vaincue. Déjà. Elle devait avoir quitter le taxi depuis seulement un quart d'heure, mais elle était déjà abattue. Ce quart d'heure était déjà de trop pour elle, elle qui ne voulait pas venir. Elle qui avait accepté malgré cette interminable, invincible amie, cette peur qui la clouait au sol depuis sa naissance. Elle, la seule gamine sur terre qui a toujours eu peur de tout. Elle, la seule gamine qui avait conscience de la mort, sans en avoir conscience. Oui, dit comme cela, c'est assez incompréhensible. Disons qu'elle en avait peur, mais ne donnait pas d'image à cette peur; ce n'est plus tard qu'elle associa cette prudence extrême de la plupart des être vivants à la peur du néant que représentait pour certain, dont elle, la mort.

Elle avait accepté de venir, pour mieux revenir. Pour mieux voir le sourire heureux de ses cadets devant l'officialisation de l'héroïsme qu'ils avaient rêvé chez leur aînée. Elle avait accepté de venir pour vaincre ses fardeaux, ses poids, ses chimères de Baudelaire. Ses chimères si lourdes qui vous écrase la poitrine et vous empêche de respirer. Qui s'affale sur votre dos, vous courbe. Comme sa nuque baissée, à l'instant. Ses chimères, ses mirages, qui vous empêchent d'avancer. Ses peurs, à elle. Toujours le visage baissé, les genoux rentrés, les jambes arquées, les bras tirant timidement et nerveusement sur sa jupe et, de temps en temps, sur ses manches. Elle n'arrivait plus à avancer. Que cela soit au sens propre ou au sens figuré.

Respire. Tu n'es pas timide. Tu flippes juste. Finalement, cela se ressemble. Mais ce n'est pas du regard des autres, dont tu as peur. C'est d'eux. Et s'ils te faisaient du mal ? Et cela aussi, cela t'empêche d'avancer. Mais il va bien falloir bouger. Tu ne vas pas rester ici toute ta vie, non ? Aller, prends un bonbon, et trouves cette fichue école.

Clignant avec difficulté des yeux autant qu'elle n'avalait finalement sa salive, elle finit par relever un peu le regard. Ses mèches tombant sur son doux visage rosé l'empêchaient de voir. Tiens, ses yeux veulent pas se montrer utiles, pour une fois ? Non ? Tant pis. Elle lâchait alors avec la plus grande des difficultés sa manche, toujours un peu tremblante. Il faut se ressaisir, miss. Allez Misesquieu, tu es une lady. Alors maintenant, bouge. Respirant avec difficulté aussi, car la peur vous empêche même de nourrir votre corps en précieux oxygène, elle finit par redresser le bras afin de pousser ses misérables mèches du milieu. Elle y voyait enfin. Lâchant de son autre main sa jupe, elle se mit à farfouiller frénétiquement dans son sac à la recherche d'une barrette, lui occupant un peu l'esprit.

Trouvée. Mets-la. Ah ! Tu y vois ! Cela n'est-il pas mieux ? Maintenant, tu peux inspirer un bon coup. Et prends toujours les grandes artères. Demande aux policiers ton chemin. Ne pense à rien d'autre. Au pire, il n'y a pas que des monstres partout; demande aux commerçants, au passants qui paraissent plus sympathiques.

Reprenant son sourire magique tant il est merveilleusement beau et désarment de naïveté -même si c'est pas la naïve du siècle, elle a encore ce doux visage d'enfant qui peut briser n'importe quelle glace-, elle se décida à avancer. A aller de l'avant, toujours, sans jamais s'arrêter. Car c'est quand tu t'arrêtes, que tu te prends le mur. Et elle, elle ne se le prendrait pas; elle n'en avait pas le droit. Pas avec tous ces faux visages, ces murmures insupportables de langues de vipères; pas avec ces bourges détestables qui n'attendaient que cela. Alors, elle se lança. Elle prit la gauche, cette grande avenue qui lui paraissait sympathique. Elle l'était.

Oublie un peu tes peurs, idiote. Avance, avance, cours même ! Et prouve leur ! Prouve au monde entier que tu n'est pas une idiote trouillarde incapable d'avancer. Incapable d'aider.

Elle voulait revoir le sourire de Jim et Will, qui persistaient à s'afficher dans ses pensées. Ils lui manquaient déjà. Combien d'heures de vol ? Elle ne savait plus. Tant est qu'elle puisse s'en souvenir, puisqu'elle s'était assoupie durant le trajet. Deux heures en taxi, cela, elle s'en souvenait. Ses parents avaient refusé qu'elle prenne le train toute seule. L'avion, une tante l'y avait accompagné. Elle avait fait le trajet avec elle, mais elles n'avaient pas conversé, mis à part lorsque les hôtesses leur avaient proposé le souper, ou encore au moment où elle avait réveillé la jeune enfant endormie à l'atterrissage. Cette tante, dont elle connaissait tout juste le nom, une certaine Claudia, devait se rendre non loin de l'aéroport. Elle avait donc hélé un taxi, l'avait casée dedans, avait payé d'avance et s'était barré. Juliet, elle aimait trop sa famille. Surtout celle qu'elle ne connaissait pas, en fait. Et si cela pouvait durer, c'était tant mieux.

Avançant donc joyeusement, oubliant que quelques secondes plus tôt elle était tétanisée par cette peur qui la ronge en permanence, elle regardait le ciel en chantonnant candidement. Car elle avait réellement l'air candide; qui chantonne comme un enfant en sautillant de temps à autre, en pleine ville, mis-à-part les enfants ? Juliet. Mais Juliet, elle est encore une enfant. Comme tout le monde. Car tout le monde est, au plus profond de soi, un enfant. Tout le monde garde une part d'innocence, même si chez certain, elle est très très bien cachée.

Rêveuse. Rêveuse candide. Et ses éclats cristallins glissaient aux tympans de gens qui, souvent, se tournaient pour découvrir le visage de l'enfant qui chantonnait d'une si douce voix. Oui, je sais, ça fait mary-sue. Mais bon. Ne dites RIEN. Oui, elle avait l'air parfaite, à la blanche-neige attirant tous les animaux sur trois kilomètres à la ronde.Mais elle avait pas la classe de blanche neige, et elle attirait pas les animaux. Et puis en fait, ce n'était qu'une douce enfant exprimant cette joie de vivre sans fin. Et les personnes qui l'entendaient et la regardaient souriaient, avant de retourner vaquer à leur petites occupations. Et la jeune fille avait, tel un rayon de soleil, illuminait leur journée. Finalement, peut être avait-elle une chance dans le métier d'héroïne, qui sait ? Mais elle, elle sauverait à sa façon. En souriant. En chantant. En rendant heureux.

Au fond, elle en était peut être une, un de ces être au cœur bon qui veut sauver le monde. Sauf qu'elle, elle ne voulait pas le faire en battant des méchants, elle voulait le faire en répandant la joie. Et puis non en fait. Elle le savait même pas, c'était juste inconscient. Parce que sinon, elle pouvait se montrer très égoïste, et elle se savait incapable de se sacrifier pour qui que ce soit. Lâche, égoïste, voyez cela comme vous voulez. Mais elle, la violence, la mort, c'était juste très peu pour elle.

Oh. Regarde. Qui c'est ? Que veut-il ? Oh ! Mais... Tu étais tellement ailleurs que tu n'as pas fait attention... Quel est cet endroit ?

Un étalage de verdure, de beauté, de douceur. Une fleur en éclosion, une autre encore un peu endormie. Il fait chaud. C'est normal, c'est été. Pourtant, les fleurs continuent de s'éveiller, d'ermeveiller par leur beautés, leurs couleurs. Une magnifique peinture de vert, de jaune, de bleu, de rouge, de mauve s'étend face à la jeune rousse. Elle cligna des yeux, érmveillée par tant de grâce et de beauté. Cela, certain en auraient pensait qu'il était fâde un tel endroit face à la grandeur de Versailles, qu'elle avait visité à de multiples reprises par le passé. Et pourtant ! Cet endroit la laissait sans voix, la laissant en ebullition, bien plus que Sa splendide, Versailles. C'était beau, tout simplement. Magique, aussi, mais beau l'illustrait très simplement, et très justement. Cet endroit de verdure, de fraîcheur et sans fausseté lui plaisait. Bien sûr, il était taillé par l'Homme, mais on voyait çà et là pousser des fleurs en toute liberté, montrant que l'être humain n'avait pas toute maîtrise et que mère nature reprenait ici bas quelques peu ses lois.

Pourtant, cet imbécile veint en troublé la beauté. Un INIEL, Individu Non-Identifié Et Louche, comme elle les avait préalablement baptisé, car ils se ressemblaient tous, peut être pas physiquement, mais dans leur manières, leur sourires, présents ou non, leur façon d'être. Il était arrivé, du haut de son un mètre quatre-vingt face à notre pauvre coquelicot d'un mètre soixante-six, muni de cet insupportable sourire d'être se sentant en tout point supérieur aux autres médiocres humains l'entourant. Tout sentait en lui la domination qu'il croyait exercer sur autrui, tout sentait en lui cet imbécilité humaine dans toute sa splendeur. Les main dans les poches, un air un peu la "wesh", à la "caïra", comme diraient les jeunes d'aujourd'hui. Levant la tête, elle s'était sentie minuscule. Et puyis, comme si cela n'avait pas été suffisant, elle avait fini par voir à travers sa boîtes craniène, et je peux vous assurer que la vue d'un cerveau encore alimenter -ou non, c'est pareil en fait- par du sang est une vision pour le moins immonde.

Sans le désirer, elle avait alors baisser la tête immédiatement.C'était quelque chose d'insuportable que de voir son don incontrôlé et à son goût incontrôlable. C'était quelque chose d'insuportable que de l'utiliser dans ce genre de cas, et de la façon la moins appréciable possible. Elle avait tout juste pu voir son visage, avant que la matière ne devienne invisible à ses yeux et qu'elle ne puisse voir le moteur bien existant -bien qu'à première vue, oui, on aurait pu en douter- de cet être qu'elle considérait déjà comme odieux. Elle cligna des yeux, essayant de revenir à la normale. Elle arrivait maintenant à voir la moindre fourmis au sol. Pour quelqu'un qui compte parmi ses nombreuses phobies celle des insectes, c'était pas gagné.

Un visage anguleux, dure, taillé dans la roche. Une peau tanée, avec une vieille trace de coup de soleil pas encore tout à fait passé. Des yeux sombres, pour ce qu'elle en avait vu. Des dents parfaitement bien alignées et blanches, à la colgate, qui ressortait plus encore parmi cette tâche sombre qu'était son visage. Une coupe courte, sombre elle aussi, en vrac. Un air négliglé, mais très bien sappé. Un fils de bourge qui essayer de se donner un genre, quoi.

"Hé, meuf ! T'es plutôt mignone...~ Ca te dirait, d'aller boir un verre ? Je connais une super adresse, si t'es tentée..."

Il disait cela comme si c'était évident. Ce que ces gens là pouvait l'exaspérer. Elle se mettait à gonfler ses joues rougies, à froncer les sourcils dans une moue boudeuse tout à fait équivoque. Mais lui ne la voyait pas. Elle avait peur. Peur de sa réaction, mais aussi de revoir cet organe qu'elle aurait préféré ne jamais avoir à observer de sa vie. La science, bof bof. C'était pas trop son délire. Elle n'avait pas vraiment l'intention de s'orienter là dedans; d'avantage dans l'art...

Allez, on se calme. On relève les yeux. Il verra bien ta tête. Au pire, tu lui tournes le dos... NON ! Ne JAMAIS tourner le dos à qui que ce soit ! C'est dangereux ! Aaaah, on se calme jeune fille, on se calme !!

Fermant très fort les yeux, elle ne pouvait qu'espérer. Elle suppliait en silence que l'on vienne la sauver. Et elle se surprit à murmurer une idiotie. Une méga idiotie.

"...Si... Si quelqu'un m'aide, j'lui file des bonbons..."





HS : ... Ouais, j'ai jamais autant écrit de ma vie. Pardon. Parce que. Mes réponses seront plus courtes. Désolééééée ;;" J’essaierais de garder ce rythme et d'écrire de cette manière, mais c'est la première fois que cela m'arrive, alors je garantis rien :/ (HSS est trop fort. C'est tout.)
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Diana Kitaëv
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MessageSujet: Re: Quand, à la base, tu ne demandais que ton chemin... Quand, à la base, tu ne demandais que ton chemin... Icon_minitimeDim 25 Aoû - 9:19

Diana était de mauvaise humeur, c'était comme ça elle c'était levé du pied gauche ce matin !
Mais ça mauvaise humeur se dirigeait particulièrement contre les garçons, oui les garçons ses êtres qui était nés sans doutes pour l'énervez... Elle était même énervez contre André, oui André qui ne voulait pas retourner avec elle en Russie.
A ce moment la énervée comme elle était, elle frappa avec son pied son lit : résultat elle avait trop mal ! C'était vraiment une matinée merdique pour notre mafieuse. Après avoir déjeuner et s'être douché la demoiselle s'était un peu calmé, de toute façon cela ne lui ressemblait pas d'être aussi furax... Elle décida d'enfiler des vêtements simple mais confortable un tee-shirt blanc, un jean slim bleu et une paire de chaussures a talons noir -pour se grandir un peu. Une fois prête elle se dit que sortir faire un tour dans le jardin qu'elle trouvait très agréable pourrait être une bonne idée pour déstresser. Avant de sortir elle prit dans sa chambre un livre comme ça elle lirait confortablement assis sur un banc !

Elle sortit de sa chambre et après avoir fermé a clés celle-ci, elle s'avança dans les couloirs de la vaste école. Defois elle se demandait ce qu'elle faisait ici mais surtout ce qu'est-ce-que André avait bien put trouver comme intérêt a aller dans cette école ? Lui un héros la bonne blague, même si Diana idéalisait son fiancé elle savait bien qu'il n'était pas le genre d'homme a vouloir devenir un héros. Alors pourquoi ? la réponse ne tarda pas a lui sauter aux yeux quand elle vit au détour d'un couloir André embrassé amoureusement Xia...

Elle aurait put s'énerver, et venir tabassé cette sale p*** de Xia, mais elle ne fit pas a la place une grande tristesse envahit son cœur... Ah quoi bon ? De toute façon André ne l'aimerait jamais  , alors... Cette pensée traversa l'esprit de la mafieuse avant qu'elle se rende compte que le couple n'était pas Xia et André. Rassuré elle poussa un soupir de soulagement et repartit le cœur léger. Tellement qu'elle chantonna l’hymne national de son pays : la Russie. Si tout se passait bien elle pourrait bientôt rentrée dans son chers pays !

Elle réussit enfin a atteindre le jardin, elle trouva un banc après plusieurs minute de recherche..Pourquoi ? Car les bancs semblait être tous occupés par des couples, oui des couples, des putains de couple ! Diana sentait que la colère refaisait surface et se défoula sur un couple justement en clair elle les délogea fissa du banc qu'elle convoitait. En disant qu'ils allaient devoir se bécoter ailleurs, les deux jeunes gens n'osèrent rien dire quand ils virent le regard de Diana qui se faisait disons menaçant !

Elle allait enfin ouvrir son livre et en profiter, quand une voix désagréable retint son attention. Elle regarda en direction de la voix et ce qu'elle vit et entendit l'énerva encore plus : un sale mec aussi désagréable qu'a entendre et qu'a voir débitait une série de mots qui l'énerva .

Elle se leva, s'avança doucement vers la source de son énervement pris ferment son livre et écrasa son livre sur la sale tronche du mec et sublima  son geste en gueulant sur la source de son énervement :

"ON PARLE PAS COMME ÇA A UNE DEMOISELLE !"

Ensuite elles e retourna vers la jeune fille, qui avait au moment présent était l'incarnation même de l'innocence. Diana se surprit a ressentir une grande compassion pour la jeune fille qui lui faisait face : elle lui paraissait si familière comme ci elles étaient déjà amie...

"Ça va ? Ce lourdingue t'as pas trop embêter ?!"
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MessageSujet: Re: Quand, à la base, tu ne demandais que ton chemin... Quand, à la base, tu ne demandais que ton chemin... Icon_minitimeLun 26 Aoû - 0:28

Cours Forest,
COUUUUUUURS !!

Ft. Diana Kitaëv aka FORCE BLEUE dans un avenir très proche.
Souffle un bon coup. Tu vas voir, ça fait un bien fou. Rire, aussi, surtout. Et c'est la raison pour laquelle tu ries tout le temps. Ça fait du bien. On te vois comme inoffensive -ce que tu es-, on en vient par oublier ta présence. Et comme ça, tu peux fuir de nouveau. Sans jamais t'arrêter. Et tu tombes dans un cercle vicieux. Si seulement tu avais des amis de ton âge, hein ? Si seulement tu réussissait à t'attacher à autrui, autre que tes parents et ta famille...

Et elle supplie le ciel que quelqu'un ne l'aide. Toujours sa moue boudeuse. Et sa vision commence à se brouiller, se troubler. Elle voit flou. Tss, ses muscles se sont remis sur le mode automatique ? Elle ne discerne plus la moindre petite fourmis, comme il y a quelques secondes à l'instant. C'était passager, finalement. Les larmes, elles ont un pouvoir magique, cela ne peut pas en être autrement.

"Hé hé, alors ?"

Alors ? La ferme. Tourne lui le dois et vas embêter quelqu'un d'autre. Quelle question. Si tu voyais sa moue, tu comprendrais. Tu comprendrais qu'elle n'est pas intéressée, qu'elle semble plus blasée qu'autre chose; que tu l'ennuies profondément, comme tous les autres, de ce qui sont de ton espèce; de cette espèce qui ne sait meubler son existence que par la pseudo-domination d'autrui, qui ne vivent que par procuration. Mais elle a peur; peur de vous, êtres pourtant si pitoyables mais aussi si prompts à la violence et à la déchaîner gratuitement si on vous en donne l'occasion, la moindre petite occasion. Car vous attendez toujours des occasions, et pour tout; opportunisme, aussi, en fait votre maître mot. Savez-vous vivre seul ? Bien entendu, cette question se veut bien inutile et ridicule. La solitude n'est votre amie qu'au moment où on se lasse de vous. En attendant, papa-maman vous est toujours à votre service, et votre petite bande vous soutient. Jusqu'à ce que vous vous cassiez la gueule.

A cette idée, Juliet étire un petit sourire, malgré son air boudeur encore présent sur son visage d'enfant. Oh ! Cela leur fait un point en commun. Cela aurait pu la navrer, mais à quoi bon ? Elle n'est pas soutenue par ces idiots qui attendent dans l'ombre. Elle, sait ce qui l'attend. Contrairement à cet INIEL qui se croit encore tout puissant et qui, et ce plus vite qu'il ne le croit, se verra lâchement abandonné par ceux qu'ils considérait comme ses sous-fifres et pour qui il croyait être un ami indispensable. Et la vérité, cette vérité, elle fera mal. Comme un atterrissage raté; car c'est exactement cela, un atterrissage raté. BIM. Prends toi la vérité dans la poire. Et assume. Tu te crois fort ? Le croiras-tu toujours, quand tu te retrouveras dans cet espace vide et clos qu'est la solitude ?

Tes pensées semblent durer une éternité, n'est-ce pas ? Combien de mots, de lignes ? Pourtant, combien de secondes se son écoulées, dis moi ? Tu ne sais pas ? Nous sommes deux. Une poignée surement. Il se serait impatienté sinon, et tu t'en serais rendue compte.

Relevant doucement le regard vers lui, ton doux regard chatoyant et chaud, tel un bon chocolat préparé avec amour par votre mère, elle cligne timidement des yeux. Ah ! Plus de cerveau. C'est bien mieux ainsi; bien qu'elle doit avouer que son visage n'est pas des plus agréables en soit, et ce cerveau ou pas. Mais comme il serait dangereux d'en faire la comparaison, nous laisserons là notre cerveau et notre visage pour nous contenter de l'action. Clignant donc des yeux, un air tout penaud et effrayé, elle s'apprêtait à lui adresser la parole, jugeant que finalement le ciel n'était décidément pas de son côté à ce jour et qu'elle devrait se débrouiller toute seule, comme une grande, quand un événement pour le moins inopiné survient. Cet événement ? Une jeune fille, brune, rappelant vaguement un compte pour enfant ayant un lien pus ou moins soutenu avec une pomme rouge et se terminant, à sa connaissance, relativement mal. Un brune au teint de porcelaine et aux mirettes d'un bleu surprenant; d'un bleu ni bleu, ni vert, d'un turquoise inédit dans le code génétique humain. Et cette princesse de compte de fées qui aurait pu avoir une allure des plus inoffensives leur fit honneur en leur montrant un visage bien éloigné de ce que l'on aurait pu supposer à première vue. En fait, elle semblait même se la jouer à la rottweiler croisé bulldog.

"ON PARLE PAS COMME ÇA A UNE DEMOISELLE !"

Comment dire... Finalement, le ciel était avec elle. Ouais. Et il lui avait envoyé une furie aux allures de princesses Disney qui hurlait et qui semblait être assez assise sur le respect dû à la gente féminine. Cela, c'était tout en son honneur. Le respect de la gente féminine. Le respect de la gente féminine, pas le fait d'être une furie beuglante. Tournant le regard vers elle, nos deux protagonistes de départs restèrent quelques secondes là, scotchés, à regarder la brune s'énerver toute seule. Elle aussi devait avoir eu une sale journée derrière elle. Enfin, matinée. D'ailleurs, l'heure de se remplir la panse semblait s'approcher, à ce que son estomac lui disait. Laissant échapper un petit "...Hein ?" filtré, la rousse releva le regard vivement vers le grand imbécile qui semblait aussi étêté qu'elle. Il devait hésiter entre s'énerver, s'en amuser ou se replier. Bien que la troisième option aurait peut été un chouïa trop blessante pour son ego surdimensionné -elle ne pouvait que le supposer, mais cela n'était pas bien difficile à hypothétiser-.

Alors, la solution la plus évidente, la plus ridicule et la plus humaine s'offrit à lui et aux yeux de tous : il explosa. Et ce fut une avalanche d'indélicatesse et de savoir douteux que l'adolescent déversa sur son agresseuse. L'agresseur agressé. La bonne blague. Et le pire ? C'est qu'elle l'ignora royalement et se tourna vers Juliet. Cette dernière n'aurait d'ailleurs su dire si elle était impressionnée ou stupéfaite -et ce dans le mauvais sens- par l'acte de bravoure de la jeune fille. On ne tourne pas le dos aux gens, et encore moins lorsqu'ils paraissent louches, comme ce jeune homme.

"Ça va ? Ce lourdingue t'as pas trop embêter ?!"

Elle avait bien envie de répondre, mais l'autre andouille continuait de l'insulter dans le vide. La brune semblait complètement imperméables à de tels mots; peut être laissait-elle tout couler, était-elle de ce genre là. Alors, comme les mots ne suffisaient pas, il lui attrapa l'épaule afin de la tourner face à lui. La rousse eu alors l'idée du siècle : elle sortit un petit sachet de sucre en poudre -oui, elle se balade avec cela sur elle, c'est Juliet, ne dites rien-, l'ouvrit à une vitesse monstre et le lança en plein visage du jeune homme. Et du sucre dans les yeux, cela ne devait pas être bien agréable. Il agit alors de la façon la plus naturelle qui soit et la lâcha afin de mettre ses mains à son visage. Elle en profita alors à attraper le poignet de Blanche Neige -cela lui était enfin revenue ! Elle lui ressemblait comme deux goûtes d'eau ! Celle de Disney, version plus jeune et cheveux longs- et s'enfuit à toutes jambes. Et Juliet, elle court très vite. Parce qu'elle a l'habitude de fuir, que voulez-vous.

Elle aurait pu aller bien plus vite, seule. Mais il lui fallait garder le poignet de sa nouvelle alliée fermement, regarder devant elle, ne pas courir trop vite afin qu'elle ne se ramasse pas, ne pas se gameler elle et j'en passe. Seule, elle aurait couru vers ce mur, au fond. Sautant d'un mur à l'autre, elle aurait pu passer par dessus et, doutant que le jeune homme soit capable de faire la même chose, aurait pu le semer. Ouais, sauf qu'à la vue de la brunette en talons hauts noirs, elle se dit que finalement, ce n'était peut être pas l'idée du siècle. Même elle qui avait pourtant déjà plusieurs mois d’entraînements derrière elle à courir, sauter et j'en passe en talons galérait et risquait souvent de manger le sol. Alors bon, n'essayons pas. Surtout qu'elle n'avait pas une allure bien sportive, et était en fait plutôt frêle. Ouais, non, la course était une bien meilleure idée.

Pas un mot. Respire et cours. Là ! Virage ! Ne la lâche pas. Tu sais pas où tu vas ? Elle si ? Bah ! Là n'est pas la question, COURS c'est tout.

Au bout d'une bonne dizaine de minutes -oui, elle est sacrément endurante et encore, elle aurait pu tenir plus longtemps si elle avait couru à son rythme et sans se tordre pour tenir celle qu'elle avait déjà baptisé BN-, elle s'arrêta derrière un arbre et repris son souffle. Elle était assez fatiguée d'une telle course-poursuite boiteuse; car elle l'était. Elle n'avait pas pu se mouvoir aisément, et cela avait affecté son endurance. Elle se redressa alors, respirant bruyamment. C'était la première fois depuis bien longtemps qu'elle était dans cet état là.

"Aaaaaaaaah ! Ouf ! SEMÉ !"

Elle lui adressa un de ces sourires dont elle a le secret; un sourire plein de pep's, enfantin, doux et attendrissant. Ouais, il fallait réellement être un monstre pour ne pas être affecté par un tel sourire. Mais bon. On s'en fout. Là, ce n'était pas réellement la question. Ouvrant finalement les yeux, elle laissa à la brunette le temps de se reprendre avant de se redresser et de lui tendre une main, fièrement. Étrangement, elle se sentait déjà proche de la jeune fille. Mais bon, elle la saluait de la façon traditionnelle... Masculine. Ah ouais.

"Je m'appelle Juliet ! Juliet Marie Misesquieu ! Et je te remercie d'avoir voler à mon secours !"

Avant d'éclater d'un rire cristallin tout à fait charmant. Elle sortit alors des bonbons de son sac et les lui tendit. Bah... Respectons notre promesse. Hochant la tête avec un sourire, lui indiquant donc de les prendre. Puis la contemplant de ses yeux chaleureux, elle finit pas pencher la tête, toujours ce sourire niais sur le visage -en fait, il pouvait en énerver certain, maintenant que j'y pense-, se disant que qu'elle lui était plutôt sympathique. Elle eut soudain envie de s'en faire une amie, plus qu'une sauveuse ou une simple alliée. Après tout, elle l'avait tiré de ce mauvais pas...

"Et toi ?"





HS : Bon, comme prévu ce n'est pas aussi long, mais j'ai essayé de tenir un rythme assez proche. (si si ça se voit, il y a une GRANDE différence /PAN/) Maintenant, je ne garantis rien pour les autres réponses... Ca peut être du court comme du long. Ah ! Et tu fais pas du si court que ça hein xDD Je fais à peu près pareil, en temps normal x)
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MessageSujet: Re: Quand, à la base, tu ne demandais que ton chemin... Quand, à la base, tu ne demandais que ton chemin... Icon_minitimeMer 28 Aoû - 22:43


Il proférait des tas d'insultes, un livre en pleine face ne lui avait donc pas suffis !? Ce qui est sur c'est que les paroles du jeune homme ricochait sur Diana qui se montrait insensible envers ses paroles Pas qu'elle n'en avait rien a faire mais elle s'intéressait plus a la jeune fille qu'au débile du coin !
Mais elle n'eut guère le temps de plus s'inquiéter que le crétin la prenait par les épaules pour mettre Diana face a lui... Diana allait bien sûr lui lancé une réplique fracassante et sans doutes le re-frapper -car on ne touchait pas une dame de cette façon. Mais la aussi elle n'eut pas le temps de faire grand chose. La jeune fille qu'elle avait secourue, sortit un paquet de sucre et jeta son contenue dans les yeux du jeune crétins !
Le jeune homme mit bien sûr ses mains devant ses yeux, geste strictement inutile mais qui relevait du réflexe quand on avait du sucre dans les yeux. Ce qui permit à la jeune rouquine de saisir Diana par le poignet et l’entraîner dans une fuite effrénée... C'est a ce moment la que notre mafieuse se maudit d'avoir mit des talons, pas qu'elle se savait pas courir avec ceux-ci mais savoir courir avec n’empêchait pas d'avoir mal !

Diana aurait bien dit a la rouquine que ça ne servait a rien de fuir, qu'elle aurait été capable de se défendre mais elle était trop occupé a courir et a ne pas tomber par terre. la mafieuse malgré ses airs de jeune fille frêle était en fait très endurante et sportive comme quoi il ne faut pas se méfier des apparences !
C'est pour ça qu'au bout de dix minutes de course avec des talons et tirer par le poignet elle était juste un peu essoufflée, elle l'était quand même ce n'était Hulk non plus.

"Aaaaaaaaah ! Ouf ! SEMÉ !"


La réplique de la jeune fille avait été dites avec un sourire plein de peps et qui avait un coté enfantin. Diana ne put s’empêcher de sourire elle même devant un sourire aussi charmant. Même Diana qui était plutôt insensible devant ce genre de sourire d'habitude était la attendrit, la rouquine lui tendit la main. Cette manière de saluer était plutôt masculine mais ça ne dérangeait pas la mafieuse qui était malgré ses airs de fille gnangan était plutôt garçons manqué au fond... Elle lui serra donc la main.

"Je m'appelle Juliet ! Juliet Marie Misesquieu ! Et je te remercie d'avoir voler à mon secours !"


Juliet donc, éclata d'un rire qui était aussi charmant que le sourire précédant. La rouquine lui tendit alors des bonbons et lui fit signe de les prendre... Ça tombait bien Diana remarqua qu'en fait elle avait plutôt faim. Juliet lui demanda son prénom a son tour :

"Merci et de rien ! Moi je m'appelle Diana Kitaëv, hum ça te dirait qu'on fasse un tour a la cafété..."


Elle n'eut pas le temps de finir sa phrase qu'elle sentit un coup dans ses cotes elle vola un peu plus loin pour finir par s'écraser contre un muret. C'était le crétins il était revenu, il l'avait pris par surprise !
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Quand, à la base, tu ne demandais que ton chemin... Vide
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Quand, à la base, tu ne demandais que ton chemin...

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