Heroe's SUP
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[Histoire] Hero's Doomsday

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[Histoire] Hero's Doomsday Vide
MessageSujet: [Histoire] Hero's Doomsday [Histoire] Hero's Doomsday Icon_minitimeMar 21 Mai - 6:01

Bon, bon. Je ne sais pas j'ai le droit de poster ici, mais si il faut pas, prévenez moi par Mp. Ensuite, l'histoire est une fiction qui se place dans l'univers de l'Heroe's SUP, une version de ce monde qui n'existera jamais. Par après, si je poste, c'est à cause (grâce ? ê__e) à André/Brooke/Hyacinthe et Réon/Luna.
Voici l'histoire :


Hero's Doomsday



_________[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] On était dans un taxi quand c'est arrivé. J'aimais bien quand il me baladait dans son taxi, il le faisait souvent. Ce jour-là, j'avais eu une crème glacé, goût chocolat et vanille. C'était une glace qui venait du petit glacier, au coin de la rue, à Tortel Way, le glacier était un italien pur souche qui se nommait Ginno, ses enfants, Armida et Danilo, tout deux âgé de vingt et quinze ans, étaient destinés à reprendre la boutique de leur père, ce qu'Armida se destinait avec joie. Elle savait comment préparer toute les glaces, de la même manière que son père. Les prix de leurs n'avaient jamais été très élevés, car ce qu'ils voulaient surtout, c'était voir le sourire des gens quand ils recevaient leurs glaces. Dans les temps trop froid, ils vendaient des gaufres, des pains chauds. Bien qu'en été, les pains chauds aussi été vendu.
Le soleil tapait suffisamment que pour donner envie de sortir, et se promener en des tenues plus fraîches. Je me souviens qu'un groupe de jeunes filles, à leur uniformes, des étudiantes, sans aucun doute, discutaient vraisemblablement mode et musique. Sur un passage clouté, une grand-mère traversait en compagnie de son petit-fils de sept ans, avec en laisse un chien, un jack russel, pour être précis.
La plupart des gens se plaigne de tel ou tel détail. Le mieux, ce serait de se plaindre des grands événements. Comme celui-ci.

Mon nom est Maxime Orlgad, douze ans, fils de Jackson et Charleen Orglad. Deux humains parfaitement normaux. Eux qui vivaient dans un appartement de la rue commerciale, comme tout parents parfaitement moyen. D'ailleurs, mes parents.... ont toujours préféré la normalité, délaissant la réalité ses Supers de côté, espérant que ça ne les concernerait. C'était sur ce point qu'ils avaient tort : leur enfant, leur fils, était né d'une maladie maladie incurable, mais dont ils espéraient tout de même trouver un traitement. Un remède. J'étais, en générale, cloîtré dans ma chambre, à regarder par la fenêtre, à écouter la radio. Mon oncle, un chauffeur de taxi, me sortait souvent de l'appartement, histoire que je prenne un peu l'air, le soleil. Mes cachets, car j'en prenais, étaient sans effet, je le savais au plus profond de moi. Rien ne changeait. Mais je me taisais. Ignorant même le nom de ma maladie. Mais je ne m'en préoccupait pas. Je m'enfermait dans une pièce, et dans le silence.

Personne ne s'attendait à voir cette chose débarquée. Elle était plus grande que tout ce que j'ai toujours connu. Un torse, un visage fait d'acier, brillant comme de l'argent, et au regard effrayant. Personne ne connaissait la raison de sa venue, personne ne se doutait que ça présence était un peu le symbole du grand changement. Étrangement, je savais que cette chose était là pour moi, mais pas seulement, pour aussi toute les autres personnes qui ont la même maladie que moi. Ce qu'il a voulu faire ? Je l'ignore. À ce moment, j'ai fermé les yeux, souhaitant très fort de partir, ne plus être là, de disparaître dans un endroit où il ne pourrait pas me retrouver. Pendant un instant, j'ai senti la brise de l'été sur ma peau. J'avais cru un instant que la bête de métal avait arraché le toit de la voiture, ne m'offrant aucune échappatoire. La peur prit possession de mon corps. Mais la brise était si agréable. Elle me donnait envie de me sentir en sécurité. Que la nature pouvait être trompeuse.
J’eus soudainement la sensation de tomber, quittant ainsi ma peur pour la panique. Mon corps toucha l'eau froide qui permettait de faire face à ce soleil trop chaud, qui nous brûlait la peau. Mais pourtant, le calme reprit ça place, tandis que je commençais à manquer d'oxygène, jusqu'à en perdre connaissance.

On était jeudi. On était dans un taxi quand c'est arrivé.


Merci de ne pas poster à la suite de ce message pour être mis au courant de la suite.


Dernière édition par Stupidity le Ven 24 Mai - 8:48, édité 1 fois
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[Histoire] Hero's Doomsday Vide
MessageSujet: Re: [Histoire] Hero's Doomsday [Histoire] Hero's Doomsday Icon_minitimeMer 22 Mai - 9:07

Réveil • ©hapitre 1
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Des ruines. De la poussière. À peu près les seules choses notables dans ce coin qui fut entièrement détruit. Une jeune femme au long cheveux rose, qui portait une sorte de combinaison uni, légèrement moulante, se tenait sur une colonne, un débris évident d'une ancienne banque, tout en observant les alentours via une petite paire de jumelles hautement perfectionnée, dans les temps qui courent. Un grand chien se tenait près du débris où était positionné la jeune fille, tout du monde, c'est ce qu'on pourrait éventuellement penser au début, car ce “chien” blanc n'était autre qu'un loup, qui pouvait s’avérer parfois de bonne compagnie.

Un grognement provint de la bouche de la charmante demoiselle. Elle ne parlait que très peu sous cet état, et elle était un peu du genre brutale et expéditive. Son nom n'était autre Miko. Bien qu'en réalité, ce fut Emiko, mais la jeune femme avait un petit problème auquel elle avait réussi à faire face depuis quelques temps, ce qui avait été réglé donc. Une sorte de micro-récepteur se tenait sur son oreille. La machine projeta un léger son désagréable, qui fit grincer des dents la miss à l'étrange chevelure. D'un geste, un simple pressement de bouton, et la conversation s'activa.

« - Ici Zone 1 à Canin-R. Vous me recevez ? » La voix se faisait accompagnée d'un bruit de clavier, que l'on tapait. Le bruit ne cessait de continuer, ce qui exaspéra un peu plus la jeune fille. Le jeune garçon semblait passionné parce qu'il écrivait.
« - Ici Canin-R1 à Zone 1. Je te reçois parfaitement. Un problème ?
- Non. Prise de contact avec toute les équipes. Quelque chose à signaler ? » Miko soupira. Elle ne supportait décidément pas la voix du jeune garçon – qui venait surtout d'atteindre vaillamment les vingt-et-un ans – qui lui semblait trop stridente. Mais elle se retint de le dire.
« - Juste une bande de métatrons à proximité. Ordre d'attaquer ? » D'une certaine façon, elle espérait avoir l'autorisation d'attaquer. Un peu d'action ne lui ferait pas de mal. Après de longues secondes d'attente, avec ce bruit insupportable de cliquetis, son “supérieur” lui répondit enfin.
« - Ordre de tirer uniquement si vous vous faite repérer... » Miko sourit, l'idée idiote d'attaquer lui vînt à l'esprit. « ... mais fait attention, Miko. » Bien que le jeune brun ne fut pas à la porter de vue, la fille aux allures excentriques leva un sourcil. « Nous avons réussi à nous reconnecter à un satellite, nous avons une vue plus ou moins globale, ce qui nous permettra de limiter les pertes. » Miko comprit mieux les raisons de cet appel. L'un des satellites observateurs de l'ancienne école avait pu être remis en marche, ce qui lui permettait d'être mieux “contrôlée”. Malgré tout, un sourire s'incrustait sur son beau visage. « -Je vois. Merci pour cette info, Big Brother.
- Mais pas de quoi. Maintenant, rentre à la base. Grâce à vous, nous avons pu compléter un peu la carte digitale. La nuit ne va pas tarder. » Miko approuva tout de même d'un signe de tête, et se retourna vers son compagnon.
« On rentre Fenrir. C'est un ordre de Damian. »

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L'école avait été ravagée depuis près de deux ans. Les événements s'étaient enchaînés les uns à la suite des autres. Humain, Supers et Aliens résidents sur cette planète avaient ignorés les premiers signes de la déclinaison. Cette grande offensive, causé par un homme, qui lui même venait de cette ville, qu'il avait chérie, qu'il avait haït. Qu'il avait construite, qu'il avait détruite. Certaines langues diront que c'était d'une part sa faute. Mais il était mort à présent.
En tout lieu, il n'y avait que des ruines. Les choses avaient bien changée en quatre ans. La révolution, l'arrivé ennemie. « Leurs vie avait été chamboulée à jamais. Ce n'est pas juste pour ces enfants... » pensa la rouquine qui était allongé sur le sol métallique de l'ancienne école. Sur le sol d'une pièce qui lui servait, depuis presque trois ans. Les Supers avaient passés deux ans à se cacher de la population, avant de se mettre à protéger les citoyens qui ne pouvait rien faire face aux premières attaques de métatrons. Les métatrons.

Des créatures, venu d'on ne savait où, aux formes parfois changeante, mais le constat restait le même : en général deux paires de bras, et une paire de jambes. Un exosquelette, généralement de couleur rouge, bleue ou noire, tous foncé, avec une large résistance aux balles et aux armes blanches. Il recommandé d'attaquer avec des flammes. Ou avec le pouvoir. On a pu constater que certains se déplaçait sous une forme de groupe hiérarchisé. Un chef, des sous-chef et les soldats. Nous avons aussi pu remarquer que certains groupes transportaient ce qui semblait être des matériaux primaires. Peut-être ont-ils une reine ? Un centre ? Ou alors une forme de groupe initial qui s'est séparé pour des colonisations. Mais rien ne garantis qu'ils ont un esprit collectif, bien qu'ils se comportent notamment comme des fourmis. Ce sont des bêtes sanguinaires et fort dangereuses. Néanmoins, leur organisation restent prodigieuses, et ils se sont adaptés à merveilles à nos territoires. Les chasser ne sera pas facile.
J. McCornick, Chroniques sur notre Dernier Monde.


La femme aux cheveux de flammes balança le livret informatif quelque part dans la pièce. Elle avait lu le manuscrit de son ancien collègue maintes et maintes fois, cherchant une faille sur leurs ennemis, un quelque chose qui lui donnerait un semblant de plan. Elle soupira. Quelle heure était-il ? Enfermée dans cette pièce, elle avait finit par perdre la notion de temps. Il était temps de sortir, la réunion allait bientôt commencer. La rousse enleva son haut pour ne laisser qu'un débardeur noir. La chaleur des sous-sols. Elle devenait de plus en plus insupportable. Les les murs d'acier ne laissait pas la chaleur s'échapper, la laissant devenir exécrable. Cette étouffante chaleur souterraines allait finir par rendre tout les résidents des tunnels dingues. La femme araignée se dit que rester enfermé à l'intérieur n'apportait rien de bon, et que le terrain commençait tout doucement à faire un appel plutôt fort. Mais elle restait important dans la résidence, en tant que tour de contrôle ; les radios restaient un véritable mystère pour la plupart des réfugiés.

L'ancienne école avait été détruite, ne laissant que quelques partie plus ou moins intacte, tel que la tour de l'Observatoire, qui avant couvrait toute la ville. Maintenant, depuis ce point, on pouvait observer le triste spectacle des décombres, d'une ville autrefois si glorieuse. Heureusement, les souterrains non plus n'avaient pas été touchés, car ils parcouraient plus ou moins toute la ville et permettait plusieurs entrées et sorties, dont la plupart restaient inconnues aux yeux des survivants. Mais depuis quelques jours, plusieurs métatrons avaient été aperçus aux entrées des tunnels, certaines réfugiés commençaient à s'en inquiéter. Rien que l'idée que ces créatures puissent rentrer dans la Zone 1, dans les décombres de l'école, et puissent circuler dans tranquillement dans le réseau tunnelier les inquiétait. Ce qui était compréhensible, vu le temps de crise dont ils faisait face depuis près de trois ans, maintenant. La sécurité avait été augmentée aux entrées, et certains passaient le plus clair de leur temps à repousser les ennemis.
Ce fut une chance pour tous que Damage ait décidé de créer un tel dédale souterrain, sans quoi, ils seraient peut-être tous séparé. Ou pire, morts.

Maria, toujours un peu plongée dans ses pensées, sortie de l'étroite pièce qui lui avait été déclarée comme chambre et se dirigea vers ce qu'aujourd'hui on appelait “la Salle de Réunion”. Des noms comme cela, les humains en avaient besoin. Ça leur donnaient l'impression de contrôler quelque chose, d'avoir un certain pourvoir sur une donnée insignifiante, ou même inexistante. Grande et froide d'émotion, c'était comme ça que la plupart de ceux qui sont passé par cette pièce la décrivaient.
Wilhelm s'appuyait sur le mur froid, tout au fond, son torse nu couvert de bandage. Son regard était lointain, comme absorbé par ses profondes pensées. Brooke, quant à elle, se tenait aux côtés de Lester qui ne semblait pas s'en être aussi bien sorti que les deux autres,. L'ancienne légende servait de point d'appuis à son frère qui était trop épuisé, et trop abîmé que pour tenir tout seul debout. Cette dernière l'installa sur une chaise avant de se retourner vers Maria.

Les deux rousse s'échangèrent un regard assez long. Maria prit la parole, histoire de briser le silence. « Et cette mission ? ». Brooke détourna légèrement le regard qui laissait comprendre que celle-ci avait été un échec. Un nouveau silence, mais Maria ne se laissait abattre. Au moins, avait-elle espoir de voir qu'Il était réveillé. « - Et Râ ? Toujours...
- ... Dans son état comateux. » Wilhelm répondit d'une voix sec. L'entente n'était pas au meilleur de sa forme, mais si la discorde régnait, leur survie pourrait en subir les conséquence. Et il valait bien mieux resté en nombre, si l'on désirait rebâtir la vie sur cette terre.

Le continent américain n'avait pas été l'unique touché. Tout le monde ignorait comment ces monstres étaient venus. Mais ce qu'on ignorait, c'était que ces bêtes-là n'était que des éclaireuses-ouvrières. Les véritables soldats n'étaient pas encore là. Elles attendaient l'ordre d'action. Mais elles pouvaient bien patienter, les pertes n'étaient à présent que minime. Les humains ne représentaient... qu'un faible obstacle. Europe, Asie, Océanie et Afrique. Pratiquement rien n'avait été épargner, seul quelques terrains, au centres de quelques territoires avaient été épargné, ainsi que les zones trop froide pour ces... choses. Le nord de l'Eurasie s'en sortait mieux qu'ici, mais leur aide n'était pour l'instant guère possible, pourtant, Maria gardait espoir de pouvoir les contacter. Peut-être avait-il une solution contre eux.

Les gens finirent par arriver. La pièce pu contenir tout le monde. La réunion pouvait commencer. Apparemment, une grande nouvelle. Même si le danger rôdait, l'excitation des plus jeunes avaient fini par atteindre les plus âgés. Tous espérait la bonne nouvelle. Et c'en fut une.

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Je ne suis pas seule.
La pluie s'était mise à tomber, laissant le soleil s'abandonner derrière les nuage. Les yeux claires de la jeune femme observaient les alentours. Un groupe de métatrons ouvrières. Métatron. Un nom purement humain. Une forme de sourire se forma sur les lèvres de la brune. Sa peau possédait un étrange mélange entre le rouge naturel de sa peau et une chose... inexistante. Sa peau semblait plus foncé que de l'habitude. Son visage n'était pas recouvert par la carapace habituelle de ces créatures, ni son corps d'ailleurs, mais quelques pointe de ses coudes, une sorte de carapace écailleuse avait recouvert son dos, et deux petite bosses se trouvaient au niveau des omoplates. Des sortes d'épines lui recouvraient les jambes, les bras et le dos, laissant le ventre et le visage sans cette “protection”. Mais son allure presque parfaite la rendait totalement désirable, malgré le risque dû à sa... condition.

La jeune chose regarda son corps. Une fusion parfaite. Elle était parfaite. Elle avait son propre corps, et son propre esprit, en plus de celui de la Ruche. La sublime créature avança de quelques pas. Pendant un an, elle était dans un œuf, pendant un an à s'imaginer le monde. Ça ne faisait que sept jour qu'elle était née. Sept jours qu'elle avait déjà compris la réalité. Elle était parfaite. Et le monde la connaîtra très bien tôt. En attendant, elle devait devenir Mère de Toutes Choses.
Je suis parfaite. Je suis Un. Tel est mon nom. Et bientôt, vous apprendrez à me craindre.
Bien évidemment, les pensée de Un était rangé dans un canal spécial, où Il ne pourrait pas l'entendre. Il était dangereux, quand il le voulait. Il ne pouvait pas être le Père de Toutes Choses. Ce qu'il fallait à ce peuple, ce n'était pas un Roi, mais bien une Reine. Une reine parfaite, comme elle. Ses pensées ne pouvaient être partagée, sinon Un aurait été punie, elle aurait souffert. Une reine qui souffre. Non, ce n'était pas bon ça. L'esprit collectif. L'esprit individuel. Un avait les deux. C'était ce qu'une reine devait avoir. Pouvoir penser seule, ne pas avoir besoin d'un nid pour survivre, mais avoir un nid pour vivre. Elle n'était pas encore parfaitement formée. La jeune métatronne le sentais au plus profond d'elle. Encore quelques jours, ou quelques mois. Mais ça approchait. Une année dans un cocon lui avait été bénéfique.

Si Un était si différente, c'était pour une bonne raison. C'était Pour gouverner... Elle en était sûre. Ça ne pouvait qu'être ça. Son esprit résonnait, comme à chaque fois qu'Il parlait. Ressentant un frisson, presque de dégoût en elle. Sa voix résonnait dans sa tête, comme dans celle de chaque ouvrière.
« Mes enfants. » Un eut un rictus de dégoût. Elle était loin d'être “son enfant”. « Bientôt, la victoire sera notre. L'Esprit Collectif vous apporte savoir, courage et force. L'Esprit vous veut du bien, et vous donnera du bien. À l'unique condition que vous me suivez dans notre conquête du Nouveau Monde. » Un roula des yeux, une réaction typiquement humaine, puisque les métatrons ne pouvaient, physiquement parlant, pas rouler des yeux. Bien qu'Un en fut capable.

« Allez, mes enfants. Partez chasser ces immondes créatures hors de notre futur territoire. » Un continua a avancer. Les ouvrières étaient surexcité, il fallait en profiter pour attaquer des humains. C'était le moment parfait. Un regarda autours d'elle. Des ruines, de l'ancienne civilisation. Ha. Si on pouvait appeler ça une civilisation. Des parasites, tout au plus. Les métatrons vivaient en communion avec la nature, avec une symbiose parfaite, tout comme l'était Un. Elle marchait droit devant elle, son corps nu qui ressentait à peine la chaleur ou le froid.

Observant chaque recoins, elle finit par apercevoir ce qui semblait être une jeune fille. Peut-être plus jeune. Un ne pouvait le dire. Ces parasites étaient si étrange. Mais son visage ne lui semblait pas inconnue, d'ailleurs, Un était persuadé que cette jeune humaine était plus jeune qu'elle, oui. C'est ça. Plus jeune. Avait-elle moins de sept jours ? Peut-être. Un s'approcha d'elle, ordonnant aux ouvrières d'attaquer.

La jeune humaine était accompagné d'un animal fort étrange. À eux-deux, ils repoussèrent l'assaut des ouvrières. Un finit par grogner. Ce qui était plutôt naturel pour son espèce.

Elle s'avança de plus en plus vite, jusqu'en tenir le cou de l'humaine. Cette dernière avait eu un hoquet de surprise. Elle tenta d'articuler quelque mot. Un était de nature curieuse. Elle voulait savoir ce qu'elle racontait. Elle lâcha un peu la pression.

« Ro... Roxane... ? » Un leva un sourcil. Roxane ? Et elle se remit à serrer. La haine avait repris le dessus. La rage, aussi. Comment pouvait-elle osé s'attaquer à ses futurs enfants ? Comment pouvait-elle osé imaginer pouvoir toucher son peuple ? Eux qui était supérieur à cette misérable créature.
« Mon nom est Un. » dit-elle en serrant de plus en plus fort, avec un regard meurtrier. Les pieds de l'humaine ne touchait plus le sol, et elle commençait à manquer d'air. L'étrange animal se mit à détaler loin. Un observa la scène et ne revînt sur sa prise qu'une fois lorsqu'elle ne la sentie plus entre le bout de ses doigts. Sa cible s'en allait, courant avec l'animal blanc.

Sans pratiquement aucune émotion, elle se mit sur le canal de l'Esprit collectif. « L'unité 56 est morte. Je suis la seule survivante. Les “Humains”, comme ils se nomment, sont plus puissant que prévu. » Et elle finit par se taire. Regardant l'humaine fuir à toute jambe.

Je suis Un. Je suis parfaite. Je deviendrai Mère de Toutes Choses... Et les humains subiront ma vangeance...

[* * *]

Miko courrait aux côtés de Fenrir, le plus loin possible de cette... chose. Si elle l'attrapait... Miko avait eu peur. Oui, peur pour la première fois de sa vie. Les yeux de la jeune fille s'en souviendrait encore. Mais est-ce que Emi le savait ? Sûrement. Après tout, elles étaient un corps. Elles étaient une.
Miko finit par trouver une entrée. Sécurité. C'était tout ce qu'importait pour l'instant. Elle referma la porte derrière Fenrir, et la verrouilla. Courant vers la salle de réunion. Le message était trop important. Interrompant les “festivités” du moment.

« Roxane ! » hurla-t-elle. « Elle... elle... est en vie. Et elle est devenue une métatronne... » son regard paniqué observa toute la pièce, tandis que Fenrir retrouva l'aspect humain d'André, un beau brun au caractère un peu superficiel.

La salle entière observait à présent Miko. Ou plutôt Emiko, car aucun d'eux ne savait laquelle des deux personnalités parlait.


Ceci conclut donc notre premier chapitre. Vous verrez que l'avenir réserve d'autre surprise bien... étranges...
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MessageSujet: Re: [Histoire] Hero's Doomsday [Histoire] Hero's Doomsday Icon_minitimeLun 27 Mai - 6:51

Brisés + Chapitre 2

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________Personne ne s'était vraiment attendu à voir un jeune garçon, âgé de pas plus de treize ans, apparaître, s'éclater contre l'eau. Le bruit du choc attira le regard de tout les élèves présents. Le jeune garçon s'enfonçait dans l'eau, ses grands yeux bruns observant la surface, qui se voyait flouté par l'eau pleine de chlore. Maxime tenta une vaine respiration. L'eau pénétra dans ses poumons, l'étouffant. Le privant de cet air rempli de dioxygène si précieux. Il coulait dans ce liquide, presque nauséeux. Avalant l'eau répugnante, le jeune garçon aux cheveux gris, presque blanc, continuait de couler dans l'eau infâme. L'inconscience finit par l'éteindre de ses bras, par l'étouffer dangereusement.

Une main finit par le tirer de l'eau, alors que pendant quelques secondes, qui lui parurent une éternité, il avait cru mourir. C'était fou comme la mort pouvait sembler longue. Pourtant, en pensant mourir, même si ça paraissait étrange, il se sentait... en paix. Il avait changé de lieu, par son esprit, il en était persuadé. Même si la mort l'hantait, Cette idée le réconfortait. Il était différent de ce que ses parents pensait. Il n'était pas malade. Il était comme tant d'autre : il était un super. La main le retira de sa noyade, le ramenant à la réalité. Le choc de l'air chaud lui paru si étrange sur sa peau. Quand est-ce que l'été avait débuté déjà ? Il s'en souvenait à peine, à tant rester enfermé dans sa chambre. Mais il était encore à l'intérieur. Enfin, pas totalement. Le toit avait disparu – était-ce un toit ouvrant ?.

L'air est froid. Non, il était chaud, mais l'eau sur sa peau lui donnait l'impression de geler. Maxime leva son regard, entre le remerciement et la prise de conscience, dû au choc. Un jeune brun, au yeux verts. Maxime resta coller à sur ces yeux, d'un vert qu'il n'avait jamais vu. En réalité, Maxime n'avait vu que très peu de chose de l'extérieur. Ce qu'il connaissait était les choses chez lui, pour le reste, ça ne semblait qu'être une vague illusion qu'il regardait à la télévision. Depuis quand était-il si pathétique ? Ah oui. Depuis sa naissance.

La mémoire suspendu, Maxime finit par sombrer dans l'inconscient, les poumons toujours rempli d'eau. Seule quelques secondes avaient suffit à l'inonder du liquide. Quelques secondes de plus auraient suffit à le tuer. Aucun exercice physique, aucun entraînement. Il marchait. C'était tout, et très peu de temps. Il avait aussi de l'asthme. Il était maigre. Maxime avait tout d'un malade, avec sa peau trop pâle. Et son regard parfois vide.

André, car oui, tel était le nom du russe aux yeux verts, hurla qu'on apporte de l'aide. Une jeune fille aux cheveux bleutées, qui se tenait près de lui il y avait quelques secondes, sprinta vers son téléphone, tandis que d'autres élèves partirent chercher un professeur. De l'aide. C'était ce qui importait. Après tout, n'était-ce pas une école pour jeune héros.

[* * *]

Quand Maxime revint à lui, il était dans un petite salle, qui semblait être un infirmerie. Un endroit calme, paisible. Le jeune garçon se releva. Il était à présent assis sur un lit. Mes parents... pensa-t-il. Et une forme de panique finit par arriver. Mon oncle !Comme si il s'en rendait compte, seulement maintenant, des dégâts causés par cette... machine ? Était-ce vraiment une machine, ou un de ces soit-disant super-héros, comme le disait si bien son père.

Son père. Parlons-en, puisque nous somme enfin dans le calme, et que nous ne serons pas dérangé. Comme vous avez vous en doutez, il n'aime pas particulièrement les supers-héros. Au contraire, il est contre l'idée de super-pouvoir, chose qui sort trop de la normalité. Vous voyez le topo ? Et sa femme n'est pas mieux. Quoique, elle n'a peur que pour son enfant. Elle pourrait être au bords de la panique, si elle apprenait que son enfant était dans une école pour... oh, monstruosité, apprentis héros. C'était vraiment son pire cauchemar, que son enfant soit aux prises de ses dangereuses bêtes, qui partent presque chaque soir affronter le danger. Comment les parents pouvaient-ils supporter l'idée que leurs enfants aillent se battre contre de dangereux criminels ? Ne serait-ce pas mieux de laisser ça aux personnes compétentes, comme la police ? N'étaient-ils pas entraîné pour ce genre de situation ?

Un homme blond, grand, avec des lunettes entra dans la pièce. Il était accompagné d'une femme au teint sérieux, ses cheveux noirs et court lui donnait un air plus sévère qu'il aurait dû être. Respectivement, ils étaient Damage Greem et Camille Clemenceau. Le directeur et proviseur de l'Heroe's SUP. Maxime en blanchît. Si sa mère apprenait qu'il était ici... Mais pourtant, la voix de Greem se voulait rassurante, calmant ainsi la frayeur du jeune adolescent.

« Ma chère amie, Camille, ira chercher tes parents. Et je te promet qu'elle leur fera comprendre que tu n'as jamais voulu franchir les portes de l'école. C'est d'accord ? » Maxime hocha de la tête, signifiant qu'il approuvait. Si ils expliquaient, ses parents ne seraient pas fâché, n'est-ce pas ? C'est du moins ce que pensait le jeune brun. Le grand blond lui conseilla de se reposer, après ses aventures, ce serait peut-être mieux pour lui. Maxime ne remarqua l'infirmière assise à sa table, en train de faire ses papiers, qu'après le départ des deux autres adultes. D'une certaine façon, le bruit du stylo qui glissait sur le papier le rassurait. Il se laissa envahir par le sommeil.

Le jeune garçon ignorait que derrière la porte se trouvait cinq jeunes gens. Les cinq adolescent qui avait trouvé Maxime. André, Jena, Jim, Alice, et Diana. Tous attendaient une quelconque nouvelle. Après tout, n'étaient-ils pas un peu concerné ? Damage sorti de la pièce, Camille étant déjà partie pour prévenir les parents du malheureux. Le directeur expliqua aux étudiants la situation, et qu'ils pouvaient retourner à leurs occupations. D'un soupire général, c'est ce qu'ils firent... en quelque sorte.

[* * *]

Le temps passa, s'en que l'endormi s'en rende compte. Mais il cauchemardait silencieusement. Tout ses événements l'avaient quand même chamboulé. Et... son oncle ? Cette idée lui restait dans le crâne, ne sachant ce que sa famille devenait, il fut réveillé par sa mère, qui était vêtue de son trench coat brun. Son père n'était pas là, au travail sûrement. Elle souriait, heureuse de le savoir en bonne santé. L'adolescent demanda des nouvelles de son oncle. Il fut soulagé : il était à l'hôpital, certes, mais juste pour quelques sutures. Une question brûlait aux lèvres de Maxime, il mourrait d'envie de savoir. Pourquoi ? Comment est-ce possible ?, mais il savait parfaitement qu'elle ne lui dirait rien.

Maxime récupéra ses affaires, et pendant ce temps, le directeur apparu. Le garçon et sa mère remercièrent sincèrement le directeur, avant de partir. Laissant un goût d'étrangeté dans l'esprit de Maxime.
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