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La faim justifie les moyens [Belinda A. Goldsmith]

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La faim justifie les moyens [Belinda A. Goldsmith] Vide
MessageSujet: La faim justifie les moyens [Belinda A. Goldsmith] La faim justifie les moyens [Belinda A. Goldsmith] Icon_minitimeMar 5 Mar - 5:27

Suite à une soirée bien arrosée, Darren émergea lentement aux environs de 16h00. Il se leva, vêtu uniquement d'un simple boxer noir. Même s'il ne se dirigeait pas très droit il alla dans la cuisine avaler un café contre la gueule de bois.

Il alla ensuite jusqu'au salon et ouvrit les rideaux pour laisser la chaleur de fin d'après-midi entrer dans son appartement. Comme tous les jours, il exécuta sa série d'exercices par quinze minutes de tractions, quinze minutes d'abdos, suivi de trente minutes de pompes et de trente minutes de sac de frappe.
Une fois ses efforts physiques pour sculpter son corps terminés, il devait être environ 17h30.
Il alla prendre son paquet de cigarettes dans la poche de sa veste et découvrit qu'il ne lui en restait plus que trois, il s'en alluma une et s'assit sur son canapé.
Il n'avait plus de cigarettes, plus de whisky... et plus une thune... Il devait vraiment trouver un moyen de se faire un peu de monnaie. Il éteignit sa cigarette, alla s'habiller et descendit dans la rue.

Il monta sur son quad et démarra, à un moment donné, il vit un homme au milieu de la route qui faisait de grands signes. Il freina brusquement, et découvrant le visage fin et les cheveux blonds en bataille de son ami, il s'écria :
« Le small ! Mais tu veux te faire tuer ou quoi ?! »
« Désolé Darren, j'ai vu ton quad et je me suis précipité », répondit-il mal-à-l'aise « Bref, la soirée d'hier était géniale non . En tout cas tu avais la cote, surtout avec cette fille là... », ajouta-t-il en souriant.
Darren essaya de voir de qui son ami parlait mais sa mémoire lui jouait des tours... C'est toujours comme ça les lendemains de soirées.
« Bah ouais, vous n'avez pas arrêté de vous embrasser », dit son ami.
« Euh...», commença Darren.
Son ami éclata de rire,
« J'adore te faire marcher, tu ne te souviens jamais de rien »
« Le Small... », dit Darren d'un air mécontent. Mais il n'eut pas le temps de finir sa phrase, une avalanche de klaxons retentit, ils gênaient le passage.
« Le Small, monte et accroche-toi comme tu peux », déclara Darren en redémarrant à toute vitesse et en se dirigeant vers la rue commerciale où ils purent se garer.
« En tout cas à cette soirée, il y a une fille qui m'a vraiment plus. Elle était blonde comme je les aime.», dit son ami en descendant du quad et en se plaçant devant Darren. « elle aurait pu te plaire... » ajouta-t-il en le regardant.
« Tu sais très bien que je n'aime pas les blondes le Small », répondit Darren.
« Ouais, tu n'aimes pas les blonds non plus », dit son ami.
« Fais attention le Small, je pourrai te prendre au mot et te convaincre du contraire », lui répondit Darren en riant.
« Non merci, j'ai toujours dit que j'essayerais, mais pas avec un mec qui peut me réduire les os en compote... », déclara son ami. « Dit, tu aurais une clope ? », ajouta-t-il.
« Désolé le Small, mais c'est la dech, il faut vraiment que je trouve de l'argent quelque part...»

Soudain, son regard fut attiré par la bijouterie « The Golden Life », et son esprit vagabonda... Il pourrait la cambrioler ça lui rapporterait gros, en plus d'après ses informations c'était une femme qui tenait cette bijouterie. Ce ne sera donc pas difficile...
« Tu n'es pas d'accord ? », demanda son ami, le coupant dans ses pensées.
« Hein ? »
« Je disais que l'on pourrait bosser au black pour Irvin pour se faire de la thune », ré expliqua son ami.
« ah ouais, ouais »
« Tu n'as pas l'air, du tout avec moi Darren », dit son ami.
« Ouais excuse-moi, j'ai l'impression que j'ai la tête qui va exploser, je crois que je vais rentrer chez moi », répondit Darren pour se débarrasser de son ami et pouvoir préparer son cambriolage qu'il avait déjà prévu pour ce soir.
« Alala Darren, tu ne tiens plus la chopine mon grand ? », dit-il en souriant.
« Apparemment... Allez, salut le Small, content de t'avoir vu », déclara Darren en allumant le contact et en se dirigeant vers son appartement.

Une fois rentré chez lui, Darren s'alluma une cigarette et chercha un stratagème pour le cambriolage de la bijouterie.

Il alla dans la cuisine et prit un long couteau qu'il aiguisa. Au cas où la propriétaire de la bijouterie arriverait...

Il regarda son réveil, il était 21h15, il descendit dans la rue et monta sur son quad aussi noir que la nuit qui l'entourait, l'avantage est qu'il n'est pas facilement repérable. Il mit le contact et se dirigea vers la rue commerciale où était la bijouterie qu'il avait remarqué un peu plus tôt, il se gara quand même relativement loin de la bijouterie, pour que la propriétaire n'ait pas l'idée de relever sa plaque d'immatriculation.
Il se dirigea donc vers la bijouterie à pied ayant pris soin que personne ne soit dans la rue à fouiner.

Devant la porte, il regarda la vitrine et chercha des yeux ce qui était à prendre en premier, une fois son inspection des lieux terminée, il sortit un fil de fer de sa poche et tritura la serrure avant que celle-ci ne s'ouvre.

Il entra doucement, regardant autour de lui pour voir où se situaient les caméras de surveillance, une fois qu'il les vit, il les mit hors-service avec tout le tact d'une personne ayant désamorcé de bombe.

Il se dirigea alors vers les bijoux sous glace, ceux qui valaient une fortune. Il mit un coup de poing à la glace avec sa main droite, se cachant le visage avec le bras gauche pour ne pas se prendre les débris de verre. Il ramassa alors les bijoux dans son sac et se dirigea vers une autre vitrine où il fit la même chose, ramassant rubis, saphirs et diamants, en colliers, bracelets ou boucles d'oreilles.

Darren le savait, cela faisait du bruit, tout ce qu'il espérait c'était que la propriétaire ait le sommeil lourd... Pensant cela, il crut entendre des bruits de pas... non, il devait rêver. Et il continua de ramasser ces pierres précieuses et ces bijoux...
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Belinda S. Viperidea
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MessageSujet: Re: La faim justifie les moyens [Belinda A. Goldsmith] La faim justifie les moyens [Belinda A. Goldsmith] Icon_minitimeMar 5 Mar - 21:33

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La faim justifie les moyens.

« Une journée bien tranquille, et une soirée bien chargée. »
Darren & Belinda

Le matin semblait se lever bien vite quand Belinda se leva quelques minutes en avance par rapport à son réveil. Il était tout à fait normal qu'elle se soit levée plus tôt qu'a l'accoutumée. En fait, elle avait ouvert il y avait de cela quelques jours seulement, et les gens étaient curieux de savoir ce que renfermait sa petite boutique. Et il faut aussi dire que son pouvoir y était aussi pour quelque chose. Si elle l'avait voulu, elle aurait pu faire acheter une bonne partie des bijoux par des clients du sexe opposé. Mais une fois qu'elle n'était plus dans les parages, ils seraient en train de se demander ce qu'ils leur avaient pris d'acheter à prix d'or des diamants, du rubis, des émeraudes . Il valait mieux qu'elle se fasse discrète pour le moment.

Et puis, il fallait dire que pour le moment, elle n'avait pas encore eu le temps de continuer à s'exercer pour faire de fausses pierres. Enfin, elle verrait ça plus tard. Elle prit rapidement une douche et s'habilla, ou plutôt tenta de s'habiller normalement. Elle fouinait dans ses cartons qui étaient ouverts, mais pas encore vidés. Elle avait était plutôt pressée d'ouvrir sa bijouterie. Elle avait fait installer le minimum question sécurité. Des caméras, c'était le plus simple pour le moment. Pour l'alarme, elle verrait finalement plus tard.

Elle trouva donc un pantalon noir en faux cuir et un chemisier blanc. Elle ne se souvenait plus qu'elle avait pu acheter de tels vêtement. Enfin, cela lui donnait un petit air Rock'n'roll qui ne lui déplaisait pas, mais elle préférait tout de même le style victorien. Elle n'allait pas changer ses habitudes. Elle alla dans sa cuisine, et se fit un thé. Pas un des meilleurs, mais bons, elle n'avait repéré que ça en magasin, surtout que c'était une des rares fois où elle avait fait les courses, puisqu'elle allait manger dans des petits restaurants familiaux...

Elle préférait le thé au café. Allez donc savoir pourquoi. Sans doute ses origines noble Anglaise. Ou peut-être que cela ne veut absolument rien dire. Dès qu'elle eut fini sa tasse, elle la passa sous l'eau avant de l'essuyer avec un torchon sec et de la ranger dans un placard. Il faut dire que cette vie lui changeait beaucoup. Enfin, elle aimait bien le changement. Toujours faire la même chose devient lassant, pour le peu que l'on fasse quoi que ce soit. Elle prit une pomme dans le panier à fruits et se fit plaisir. Les fruits sont bon pour la santé, pourquoi s'en priver ?

Les restes de la pomme finirent bien vite à la poubelle. Il était bientôt l'heure d'ouvrir la boutique, et descendit donc mettre un peu d'ordre dans son petit "chez soi". Elle alluma l'ordinateur portable qui lui avait était "fourni" avec les caméras de surveillance, histoire de surveiller à distance ce qu'elles filmaient. Et c'est tout aussi pratique pour savoir s'il y en avait une défectueuse qui n'affiche rien que de la neige... Il était à présent neuf heures du matin, et elle ouvrit donc sa bijouterie.

Les futurs clients ne furent pas trop longs, et il faut dire que le peu de femmes attirées ici semblaient presque aux anges de voir de magnifiques pierreries et demandaient sans cesse des renseignements sur tel ou tel bijou, que Belinda s'empressait de leur dire, comme si elle avait appris un texte par coeur, ce qui n'était pas totalement faux en soi Elle avait tout appris sur la consistance des vraies et fausses pierres, mais aussi des vrais et faux métaux précieux. Il ne pouvait y avoir plus experte en la matière qu'elle dans cette ville.

La journée passa plutôt rapidement. Le midi, elle avait décidé de cuisiner quelque chose d'Italien pas trop compliqué à faire, des lasagnes. Un plat qu'elle avait réussi et qu'elle avait dégusté comme il se doit. L'odeur s'était diffusée dans tout son appartement, et même dans la boutique, mais cela ne resta pas plus d'une heure, vu qu'elle avait ouvert les fenêtes, histoire d'éviter que les clients se plaignent, même si en soit-ce n'était pas possible, vu le don de Belinda. Pendant un certain temps, il ni n'eut personne. Cela ne l'étonnait pas, vu que dix-sept heures trente était une heure creuse pour tout le monde, sachant que beaucoup de bon rentrait du travail ou y allait, et n'avaient donc pas le temps de venir flâner dans les magasins.

Bref, elle était assise sur son siège à roulette noir quand elle vit un quad noir s'arrêter non loin de sa petite bijouterie, il y avait un homme blond, et un autre aux cheveux étrangement verts. Enfin, étrangement... Belinda avait elle-même les cheveux rose, donc bon. Les deux hommes semblaient discuter de choses plaisantes et d'autres moins plaisantes. Enfin, une discussion d'homme, en quelque sorte.

Au bout d'un moment, l'homme au quad parti, laissant seul son ami, qui fut attiré dans la bijouterie, comme tous les autres hommes avant lui. Il était fort sympathique, mais sans plus. Il paraissait avoir son âge, mais il ne l'intéressait pas vraiment. Il fit le tour de la bijouterie en faisant part de ses commentaires sur les bijoux exposés. Du genre « Wouah, ce diamant est énorme ! » ou encore « C'est vraiment de l'or ? ça doit valoir une fortune... ». Bref, il semblait être le genre d'homme qui n'avait pas beaucoup d'argent et ne pouvait donc pas s'offrir ce genre de choses.

Elle lui fit signe à travers la vitre de la porte, étant le seul client depuis au moins trois quarts d'heures. Les clients se firent rare avant la fermeture. Mine de rien, elle était quand même fatiguée. Les jeunes femmes de milieu modeste sont bien étranges, à demander tout et n'importe quoi sur telle ou telle chose. De toute façon, le client est roi. Et Belinda ne fait pas partie de ces gens vulgaires utilisant au moins un gros mot par phrase. Bref, la soirée était calme, et elle s'était faite des pâtes bolognaises, histoire de rester en Italie. Elle ne savait pas ce qu'elle aurait bien pu cuisiner le lendemain.

Elle avait monté l'ordinateur portable et l'avait posé sur le plans de travail de sa cuisine, histoire qu'elle ne se demande pas où elle aurait pu le mettre le lendemain en grommelant des choses intelligibles. Il est plutôt rare de la voir grommeler pour quelque chose, et généralement, la journée qui suit, elle est de mauvaise humeur pour une simple raison.

Dans les alentours de vingt et une heures, elle était déjà au lit en train de somnoler légèrement quand elle entendi un petit bruit. Elle se leva simplement pour aller chercher de quoi combler son petit creux avec une pomme. Personne n'aurait pu la gronder d'être allé grignoter dans la soirée, vu qu'elle était adulte, et faisait donc ce qu'elle voulait. Et elle se félicitait un peu d'être partie de chez elle.

Elle s'assit sur une chaise haute, et tout en mangeant sa pomme, elle alluma son ordinateur. Juste le temps de voir qu'aucunes images ne s'affichait pour entendre un fracas. Du verre cassé, ça fait toujours du bruit. Et ce n'est pas très malin de venir la voler, elle, alors que son appartement est juste au-dessus. Elle se dirigea lentement vers l'escalier pour descendre voir ce qu'il en était, et le temps qu'elle réalise qu'elle n'était pas beaucoup vêtue, ne portant qu'une culotte et un soutient gorge en dentelle noire, ravissant, en passant, elle était déjà en bas.

« Oh... Fichtre. La prochaine fois, j'y repenserais à deux fois avant de descendre dans ce genre de tenue... » fit-elle doucement pour que le voleur ne l'entende pas.

Elle chercha quelque chose pouvant lui permettre de se défendre au cas où et ne trouva qu'un vulgaire bout de verre qui avait glissé bien loin. C'était déjà ça... Elle ne comptait pas appeler la police, sachant que s'ils découvrait son identité secrète, et surtout ses livres sur les fausses pierres, elle devrait leur fournir bon nombre d'explicitations plus étranges les unes que les autres. Elle s'éclaircit la voix, se trouvant derrière le voleur. Et le voleur en question avait les cheveux verts. Quelle étrange coïncidence...

« ... Ahem. Je pense que ce que vous avez dans votre sac m'appartient... Monsieur le voleur. » Dit-elle assez audiblement pour son interlocuteur. « Il me semble que volé est puni par la loi, si je ne m'abuse ? » elle fit un demi-sourire tout en cachant son arme -à savoir un pitit bout de verre- dans son dos.

Elle tenta donc de le faire plier avec son pouvoir, c'est-à-dire le charmer -enfin, elle était déjà quasiment nue,donc bon-, histoire que cela se passe sans encombre. Elle ne voulait pas d'ameutement, de girofard de police, ou quoique se soit attirant l'attention.

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MessageSujet: Re, la faim justifie les moyens La faim justifie les moyens [Belinda A. Goldsmith] Icon_minitimeJeu 7 Mar - 5:22

En entendant la voix mélodieuse de la jeune femme, Darren se stoppa net. Il ferma les yeux, maudissant cette fille, mais surtout maudissant son idiotie. Il aurait dû se douter qu'en cambriolant une bijouterie où l'appartement de la propriétaire est juste au-dessus, il avait quatre-vingt-dix-neuf pour cent de chances de se faire attraper...

« Il me semble que voler est puni par la loi, si je ne m'abuse ? », ajouta la jeune femme.
« Bah Nan c'est pas puni par la loi, sinon je ne me ferais pas chier à venir en pleine nuit en essayant de ne pas me faire voir », déclara-t-il d'une voix sarcastique en se retournant vers elle.

Il la regarda alors de haut en bas, enfin « regarda »... « reluqua » serait un terme plus approprié. Ses yeux s’arrêtèrent sur les sous-vêtements de la jeune fille et il dit d'une voix amusée :
« Eh bien, être voleur réserve parfois quelques belles surprises »

Soudain, il fronça les sourcils, se demandant ce que la jeune femme cachait dans son dos... Bon, même s'il s'agissait d'un couteau ou d'une arme dans ce genre-là, il n'avait pas vraiment à s'en faire, c'est vrai quoi, ce n'est qu'une fille. Enfin, il porta sa main droite à sa ceinture, là où il avait mis son couteau de cuisine si bien affûté, on ne sait jamais.

« Bon mademoiselle, tu es bien charmante et ça me dérangerait de devoir t’abîmer, alors tu vas me laisser repartir avec ces bijoux, sans appeler la police et sans opposer de résistance, compris ? », déclara-t-il en s'approchant d'elle, ayant pris son couteau et la menaçant.

Et sans prévenir, il se jeta sur la jeune femme, la plaqua contre le mur et lui tordit le bras, la faisant lâcher ce qu'elle tenait dans la main.
Le débris de verre tomba alors à terre et Darren ne put s'empêcher d'exprimer un sourire narquois.
« Tu as vraiment cru pouvoir m'arrêter avec un petit bout de verre . Tu es bien naïve... », lui murmura-t-il à l'oreille avec un ton malin.

Leurs deux corps étaient très proches, et Darren se rapprocha encore plus de cette fille en sous-vêtements pour voir comment celle-ci allait tenter de réagir...
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MessageSujet: Re: La faim justifie les moyens [Belinda A. Goldsmith] La faim justifie les moyens [Belinda A. Goldsmith] Icon_minitimeJeu 7 Mar - 7:33

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La faim justifie les moyens.

« Une journée bien tranquille, et une soirée bien chargée. »
Darren & Belinda

La journée s'était passée sans encombre, même si vers la fin de l'après-midi était plutôt calme. à 21 h, elle somnolait déjà dans son lit, même si elle avait vu bien pire comme journée. Quand elle s'était levée pour grignoter un peu, elle avait entendu des fracas de verres. Quelqu'un avait donc eu la fabuleuse idée de venir la cambrioler. Elle était descendue en petite tenue sans s'en rendre compte. Dès qu'elle le remarqua, elle ne fit pourtant pas demi-tour comme l'auraient fait, généralement, la plupart des femmes censée. Mais elle n'était nullement intimidée, ayant fait par le passé de l'escrime et elle avait derrière elle trois ans de sport de combat. Donc, même si elle s'était armée d'un petit bout de verre, ce n'était pas celui-ci qui pourrait lui sauver la mise, mais bel et bien ses compétences plutôt suffisantes pour arriver à se défendre et à contre-attaquer si le besoin était. Ayant choisit de faire dans la subtilité, elle dit de son ton le plus calme qu'elle était possible de faire.

« ... Ahem. Je pense que ce que vous avez dans votre sac m'appartient... Monsieur le voleur. Il me semble que volé est puni par la loi, si je ne m'abuse ? » Avait-elle dit.

Elle cachait dans son dos le pitait bout de verre, même si ce petit truc ne pouvait pas faire mieux que de l'égratigner tout au plus. En tout cas, la réponse ne se fit pas attendre, et elle ne fut pas des plus agréable à entendre.

« Bah Nan c'est pas puni par la loi, sinon je ne me ferais pas chier à venir en pleine nuit en essayant de ne pas me faire voir » fit le voleur aux cheveux vert. Et il se payait sa tête, en plus.

Et sur ces mots, il s'était retourné. La suite ne lui avait vraiment pas plus du tout. Qui était-il pour la reluquer de la sorte ? Bon, certes, elle aimait bien que les hommes la regardent, mais un vulgaire voleur sans bonnes manières... Et puis, son pouvoir n'avait pas l'air de fonctionner sur cet homme... Étrange et pas très bon pour elle. Elle lui avait jeté le regard le plus noir et le plus glacial qu'elle pouvait faire. Elle le détestait déjà, elle qui faisait un point d'honneur à ne jamais se baser sur l'apparence des gens. Mais là... Si cela avait été dans d'autres circonstances, peu être qu'elle aurait pu faire un effort, mais là, impossible.

« Eh bien, être voleur réserve parfois quelques belles surprises... » fit-il d'un ton amusé.

Elle roula les yeux exagérément pour montrer son mécontentement. Une voleuse qui se fait voler, ce n'est pas une belle surprise pleine d'ironie, aussi ? Elle l'observa plus en détails, et vu qu'il devait être un peu plus âgé qu'elle, et bien plus Barraqué. Rien de bien méchant, car on peut facilement retourner la force de l'adversaire contre lui...

« Bon mademoiselle, tu es bien charmante et ça me dérangerait de devoir t’abîmer, alors tu vas me laisser repartir avec ces bijoux, sans appeler la police et sans opposer de résistance, compris ? » Il la menaçait maintenant...

Oh, mais quel homme détestable. Elle lui fit un sourire ironique mais n'eux pas le temps de répondre, car il se jetta sur elle avec son couteau. Bon, c'était juste pour lui faire peur, car il la plaqua juste contre un mur et lui tordis le bras, ce qui fit qu'elle lâcha son pitit bout de verre. Bon, la prochaine fois, il faudrait qu'elle revoie son armurerie avant de partir chasser les voleurs de bijoux dans sa boutique, car c'est vrai que là, cela devenait parfaitement ridicule et humiliant. Et comme en écho à ses pensées, le voleur qu'elle avait déjà en grippe pris parole.

« Tu as vraiment cru pouvoir m'arrêter avec un petit bout de verre ? Tu es bien naïve... » lui avait-il murmuré à l'oreille, ce qui la fit frissonner.

Brrr. Personne ne lui avait déjà fait un tel affront aussi humiliant. Déjà qu'il lui parlait comme si c'était une gamine de quinze ans, en utilisant la deuxième personne du singulier... Elle n'avait jamais eu autant envie de frapper quelqu'un que ce soir-là. Oh, elle n'allait pas y aller de main morte avec cet homme. Au diable la police et le reste, puis de toute façon, elle finirait bien par devoir l'appeler pour tentative de vol, ou même vol, elle s'en fichait. Les bijoux, ce n'est pas ça qui aurait pu la ruiner. Elle n'était ici que pour une seule chose; les vols de musés et de bijouteries contre des informations sur lesquelles pourrait bien se trouver sa soeur. Le coup de genou en plein dans les parties génitales de l'homme ne se fit pas attendre. Maintenant, elle était de très mauvaise humeur.

« Oups, excusez-moi, j'ai glissé... Plus sérieusement, je n'apprécie vraiment pas que l'on se joue de moi de la sorte. Je ne sais pas pourquoi mon pouvoir est inutile contre vous, mais ce n'est pas ça qui va m'empêcher de vous rendre la monnaie de votre pièce pour cet affront. Certes, vous êtes surement plus fort que moi, mais moi je sais me défendre... Oh, et laisser tomber la police, je n'ai nullement envie de l'appeler. Je n'ai absolument pas envie qu'elle fouille dans mes affaires. » Fit-elle d'un ton dur et froid en regardant l'homme qui était maintenant à terre à cause de son coup de genou.

Elle se baissa à sa hauteur et referma une de ses mains sur ses cheveux pour le faire la regarder dans les yeux. Avec son autre main, elle récupéra le couteau de cuisine qu'il avait fait tomber et le jetta plus loin pour qu'il n'ai pas l'idée de s'en servir contre elle tant qu'elle le tenait.

« Vous m'avez particulièrement mise de mauvaise humeur, monsieur le malpolis. La prochaine fois, j'aimerais que vous y réfléchissiez à deux fois avant de me tutoyer comme vous l'avait fait. Même si je suis surement moins vieille que vous. » continua-t-elle en le regardant droit dans les yeux.

Elle n'allait pas le laisser s'en tirer comme ça, ce «petit» insolent.

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MessageSujet: Re : la faim justifie les moyens La faim justifie les moyens [Belinda A. Goldsmith] Icon_minitimeVen 8 Mar - 4:39

Darren eut un sourire en sentant le corps de la jeune fille frissonner, cela l'amusa beaucoup. Soit il la dégoûtait, soit il lui faisait de l'effet... ou peut-être les deux à la fois qui sait ?

Cependant, ses pensées furent soudainement interrompues par une épouvantable douleur au niveau de ce qui fait la fierté d'un homme et toute sa virilité fut alors remise en question, suite au coup de genou que venait de lui asséner la jeune femme et qui le fit tomber à terre.

Il se retint alors de crier, ne voulant pas ameuter tout le quartier, mais il ne put s'empêcher d’émettre un gémissement exprimant sa douleur et son mécontentant :
« Put... aïe... »
« oups, excusez-moi j'ai glissé », déclara alors la jeune femme.
Là c'en était trop ! Elle l'avait mis à terre et maintenant elle se foutait de lui .! Mais c'était qui cette fille ?

« Plus sérieusement, je n'apprécie pas vraiment que l'on se joue de moi de la sorte. Je ne sais pas pourquoi mon pouvoir est inutile contre vous mais ce n'est pas ça qui va m'empêcher de vous rendre la monnaie de votre pièce pour cet affront. Certes vous êtes sûrement plus fort que moi mais je sais me défendre. Oh et laissez tomber la police, je n'ai nullement envie de l'appeler. Je n'ai absolument pas envie qu'elle fouille dans mes affaires » ajouta-t-elle alors.

Suite à cette cascade de paroles, tout un tas de pensées se mélangèrent alors dans la tête de Darren ;
un pouvoir ? Elle aussi en détenait un . Et puis, pour qu'il ne fonctionne pas c'est que ça doit être un pouvoir psychique. Il se demanda alors quel pouvait être son pouvoir... Et puis, elle a dit qu'elle allait « lui rendre la monnaie de sa pièce pour cet affront » . Non mais vraiment, elle savait à qui elle s'adressait ou quoi ?!... De même, qu'est-ce qu'elle voulait dire par « fouiller dans ses affaires », elle avait quelque chose à cacher ? Plus ça allait et plus cette fille l'intriguait...

Soudain, la jeune femme se mit à sa hauteur et lui attrapa violemment les cheveux avec sa main droite. Elle lui tira la tête si brutalement qu'il dut la regarder dans les yeux.

Il voulut alors attraper son couteau qu'il avait malencontreusement lâché quand il s'était pris le coup de genou, mais elle expédia plus loin avec sa main libre.

«vous m'avez particulièrement mise de mauvaise humeur monsieur le mal poli, la prochaine fois j'aimerais que vous y réfléchissiez à deux fois avant de me tutoyer même qui je suis sûrement moins vieille que vous », lui dit elle alors.
« Ah ouais ? Bah désole de t'av... De vous avoir mise de « mauvais poil » comme vous dîtes, mais moi j'ai besoin de fric alors vous aller me lâcher et me laisser repartir », lui répondit-il en attrapant furtivement de sa main gauche un bout de verre qui se situait à coté de lui.

Avec sa main droite, il saisit le poignet de la jeune fille et lui fit lâcher ses cheveux.
Il en profita pour se redresser brusquement et il jeta un rapide coup d’œil à l'endroit où avait atterri son couteau. Attendant juste le bon moment pour s'y précipiter.

« Ah et au fait, c'est quoi votre pouvoir ? », demanda-t-il à la jeune femme en scrutant autour de lui pour voir où se trouvait le sac de bijoux.
« Non mais c'est vrai ça m’intéresse à connaître les pouvoirs impuissants fassent au mien », ajouta-t-il avec un sourire charmeur.

En attendant sa réponse, il avait caché le bout de verre dans son dos...

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MessageSujet: Re: La faim justifie les moyens [Belinda A. Goldsmith] La faim justifie les moyens [Belinda A. Goldsmith] Icon_minitimeDim 24 Mar - 7:27

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La faim justifie les moyens.

« Une journée bien tranquille, et une soirée bien chargée. »
Darren & Belinda

La soirée avait déjà bien commencé, et Belinda avait cru bon de descendre jeter un oeil à ce qui se passait dans sa boutique. Le jeune homme avait preuve d'ironie et avait été très irrespectueux envers elle, en la plaquant contre le mur, et profitant du peu d'espace entre eux, s'était rapproché d'elle. La prochaine fois qu'un cambriolage aura lieu chez elle, elle pensera à s'habiller en vitesse au lieu de rester en petite tenue. S'en était donc suivi un magnifique coup de genoux dans les parties génitales de l'homme aux cheveux verts, qui se retrouva donc par terre en disant un semblant de gros mot avant qu'elle ne lui fasse la morale, étant maintenant de très mauvaise humeur. Elle s'était baissé a sa hauteur et lui avait fait regarder ses yeux en tirant sur ses cheveux. Elle en profita pour lui dire que l'on ne la tutoyait pas de la sorte, ce qui eut un effet immédiat sur l'homme.

« Ah ouais ? Bah désole de t'av... De vous avoir mise de « mauvais poil » comme vous dîtes, mais moi j'ai besoin de fric alors vous aller me lâcher et me laisser repartir » fit-il, se reprenant vite fait sur le "t"av...". Il retenait bien la leçon apparemment.

Il lui fit lâcher ses cheveux, pendant qu'elle était en train de réfléchir à ce qu'elle pourrait faire pour qu'il comprenne qu'elle ne comptait pas le laisser partir sans qu'il l'ait remboursé, car les vitrines cassées, ça coûte cher, mine de rien. Pas d'argent ? Pas de problème alors, il ni avait qu'a le faire travailler pour elle quelque temps, juste histoire qu'il paye en main-d'oeuvre. Pourquoi pas ? Surtout qu'il n'y avait pas que ça à rembourser, il y avait les caméras aussi... Mais plus vite elle se le fera rembourser, plus vite elle les remplacera, quoique, elle ne manque pas d'argent du tout pour faire ce genre de trucs... Il l'a fit sortir de ses pensées en posant une question tout à fait légitime.

« Ah et au fait, c'est quoi votre pouvoir ? » Très bonne question, justement.

L'envoûtement n'est pas toujours perçu comme elle le perçoit. Un envoûtement peut être un sort, autant qu'il peut être un charme, ce qui revient un peu au même en soi Elle remarqua qu'il regardait autour de lui. Sans doute pour voir où était tombé le sac de bijoux quand elle l'avait mis à terre. Il tenta de faire diversion en souriant tout en sortant une phrase qui la fit aussi sourire.

« Non mais c'est vrai ça m’intéresse à connaître les pouvoirs impuissants face au mien » Impuissant... C'est étrange de se rendre compte que son pourvoir qui opère depuis si longtemps est impuissant face à un autre...

Elle afficha un sourire amusé, se déplacent lentement, ayant repéré ce que le voleur cherchait sans qu'il ne le remarque, sans doute. Elle avait quelques bouts de verre dans la plante des pieds, et cela ne lui faisait pas du bien, mais elle restait impassible sur la douleur ressentie, malgré le rouge significatif que laissait la maque de ses pas. Elle ramassa le sac d'une main et regarda le voleur en souriant.

« Si vous voulez tout savoir, mon pouvoir est l'envoûtement. Tout ce que je fais, dis, comment je le fais, etc., les autres semblent le vénérer, si on peut dire ça comme ça. On pourrait presque dire que je suis vue comme une déesse par les hommes victimes de mon pouvoir... Mais les femmes sont moins affectées, car je n'ai pas appris en m'en servir comme les élèves de l'école de cette ville...» Elle soupira. « Sinon, je pense que vous cherchiez ceci des yeux, non ? J'ai le regret de vous annoncer que je ne peux point vous les céder. Vous m'en voyez désolée. » fit-elle en faisant un pas vers lui. « Par contre, si j'ai bien compris, vous cherchez à gagner de l'argent ? J'ai quelque chose à vous proposer...» fit-elle avec un sourire charmeur.

Elle pourrait très bien le faire travailler pour lui, comme ça, cela pourrait finir mieux qu'il y a quelques minutes encore. Elle décida d'aller à son comptoir, posant le sac à portée de main, sortant quelques papiers pour faire ce qu'elle avait envie de faire, même si ce n'était pas très recommandable, surtout qu'il pourrait très bien profiter de cela pour ruiner ses affaires, sachant que cela ne faisait pas très longtemps qu'elle avait ouvert la boutique. Mais pour le moment, elle devrait fermer quelque temps, vu ce qu'il avait fait à son petit bijoux qu'elle avait aimé dès le premier regard.

« Ce que j'ai à vous proposer pourrait paraître très étrange, mais, bref, j'adore rendre ma vie plus trépidante qu'elle ne l'est déjà... Enfin bon, j'aimerais que vous travailliez pour moi quelque temps. Vous gagnerez de l'argent, et en échange... Je ne vous dénonce pas à la police, et dit que c'était un groupe de jeunes qui sont partis apeuré quand je suis descendue de mon appartement. Ah, aussi... Si vous cherchez un faussaire pour faire des vols de bijoux sans qu'ils ne se remarquent, je suis disponible. » Fit-elle sur le ton des affaires. On en oublierait presque qu'elle se faisait cambrioler.

Elle mit en ordre les papiers qu'elle avait sortit, prenant un stylo et le plaçant devant elle avec les feuilles, pour lui montrer qu'elle pouvait très bien l'engager tout de suite, sans conditions. Il fallait juste qu'elle attende qu'il réfléchisse à la question, mais vite fait, vu qu'elle n'était pas particulièrement patiente, sachant que si certains voisins remarquent qu'il se passe quelque chose à l'intérieur de sa boutique... Elle avait mis des rideaux, mais elle n'était pas sûre que cela puisse suffire, vu le fracas qu'avait provoqué cet homme en cassant ses vitrines.

« J'espère donc que cette offre plutôt charitable de ma part, sachant ce que vous avez fait à ma boutique, ne sera pas tombé dans l'oreille d'un sourd, Mh ? » Fit-elle en haussant un sourcil.

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Dernière édition par Belinda A. Goldsmith le Sam 6 Avr - 12:39, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: La faim justifie les moyens [Belinda A. Goldsmith] La faim justifie les moyens [Belinda A. Goldsmith] Icon_minitimeSam 30 Mar - 3:12

« Ah et au fait, c'est quoi votre pouvoir ? », avait-il demandé à la jeune femme.

« Non mais c'est vrai ça m’intéresse de connaître les pouvoirs impuissants fassent au mien », avait-il ajouté ensuite.

Il aperçut alors un sourire amusé se dessiner sur les magnifiques lèvres de la jeune femme.
Elle se déplaça alors, il vit alors du sang par terre... Pieds nus sur du verre brisé ne doit pas faire de bien. Il regarda alors son visage, on n'aurait dit qu'elle ne sentait rien... elle devait être forte cette fille, pas comme les gamines qu'il draguait en boîte de nuits qui pleuraient dés qu'elles se coupaient. Il la suivit du regard avant de remarquer le sac qu'elle ramassa.
Bon, il allez devoir se débrouiller pour le récupérer.

Il se passa une main dans les cheveux et elle le regarda avec un sourire.

« Si vous voulez tout savoir, mon pouvoir est l'envoûtement. Tout ce que je fais, dis, comment je le fais, etc., les autres semblent le vénérer, si on peut dire ça comme ça. On pourrait presque dire que je suis vue comme une déesse par les hommes victimes de mon pouvoir... Mais les femmes sont moins affectées, car je n'ai pas appris en m'en servir comme les élèves de l'école de cette ville...», avait elle répondu à sa question avant d’émettre un petit soupir.

L'envoûtement ? … Charmant. Il la regarda des pied à la tête, elle n'en avait vraiment pas besoin.

« Sinon, je pense que vous cherchiez ceci des yeux, non ? J'ai le regret de vous annoncer que je ne peux point vous les céder. Vous m'en voyez désolée. Par contre, si j'ai bien compris, vous cherchez à gagner de l'argent ? J'ai quelque chose à vous proposer...» avait-elle ajoutée avec un air ensorceleur et en s'avançant vers lui.

Quelque chose à lui proposer pour lui faire gagner de l'argent ? Il était en train de la cambrioler et elle voulait parler affaire ? Tout ça lui paraissait vraiment, vraiment bizarre. Aucun de ses cambriolages n'avaient pris une tournure aussi saugrenue. Généralement c'était plié en deux en trois mouvements. Quelques morts au compteur des fois mais bon, après le passé militaire qu'il à eu, des morts il en a vu défiler.

« Ce que j'ai à vous proposer pourrait paraître très étrange, mais, bref, j'adore rendre ma vie plus trépidante qu'elle ne l'est déjà... Enfin bon, j'aimerais que vous travailliez pour moi quelque temps. Vous gagnerez de l'argent, et en échange... Je ne vous dénonce pas à la police, et dit que c'était un groupe de jeunes qui sont partis apeuré quand je suis descendue de mon appartement. Ah, aussi... Si vous cherchez un faussaire pour faire des vols de bijoux sans qu'ils ne se remarquent, je suis disponible. », déclara la jeune femme.

Qu'il travaille pour lui ?! Non mais quoi encore ? Vraiment mais... Cette fille était vraiment spéciale. Mais elle avait vu son visage alors... un autoportrait serait vite fait établi, l'identité de Bloodthirsty révélée et la police ne tarderait pas à le mettre derrière les barreaux... Qu'avait-elle dit ? Faussaire ? Cette fille était sérieuse ?!

Il sourit alors en la regardant, chacun ses petits secrets après tout...

Elle sortit alors des papiers et un stylo et les mit devant elle.

« J'espère donc que cette offre plutôt charitable de ma part, sachant ce que vous avez fait à ma boutique, ne sera pas tombé dans l'oreille d'un sourd, Mh ? », déclara-elle

Elle voulait qu'il signe tout de suite ? Elle était sérieuse quand elle parlait qu'il travaille pour lui ? Mais une bijouterie... qu'allait-il faire ? Le vendeur ? Faire le guignol et l'hypocrite devant les clients très peu pour lui... De toutes façon il n'avait pas vraiment le choix s'il ne voulait pas voir les poulets rappliquer.
Il regarda autour de lui et vit son couteau. Il n'avait aucunement envie de blesser cette magnifique jeune fille mais seulement le récupérer. Il alla le chercha, le rangea à sa ceinture et se dirigea vers elle.

« Faussaire vous dîtes ? Sympa, vous n'êtes pas la bonne fi-fille alors. », déclara-il en souriant.

« Bon, j'accepte votre offre. Après tout il faut que je me fasse de l'argent », ajouta-il en prenant le stylo en main.

Soudain, la sonnerie « Léa » de Louise Attaque retentit. Il n'y avait qu'une personne à laquelle il avait assigné son appel à une chanson française, c'était le small. Qu'est-ce qu'il voulait ce casse-couilles ?

Il décrocha avant que le bruit n'interpelle les voisins.

« Quoi le small ? », demanda t-il sur un ton irrité.
« Hey, tu as dit que tu allais te coucher mais la tu devrais être en forme ? Tu viens en boîte avec nous ? Je suis avec Irvin, Maxwell, John et Kevin. Enfin, on voudrait entrer mais il y a un videur qui veut pas nous laisser passer et... tu connais Irvin, il a voulu le frapper pour s'en débarrasser mais ce mec est dur comme le fer il s'est pété la main tu verrais c'est incroyable ! Bref, il n'y a que toi qui pourrais réussir à nous faire entrer, alors tu viens ? », déblatéra son ami à toute vitesse.
«... Le small comment te dire... IMPOSSIBLE. La routine. Fric. », avait-il répondu avec des ellipses.
« Oh je vois, », répliqua son ami au courant de ses affaires pas très légales. « en parlant de tes occupations. L'attentat de Météo toujours OK ? », ajouta t-il.
« Oui », répondit-il en s'éloignant de la jeune femme.

Il ne fallait pas qu'elle entende trop la conversation... déjà que le code ''Météo'' n'était pas très fute fute... quiconque connaissait le pouvoir de Strider pouvait l'assimiler à ce mot, et si une seule personne était au courant, l'attaque tombait à l'eau.


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MessageSujet: Re: La faim justifie les moyens [Belinda A. Goldsmith] La faim justifie les moyens [Belinda A. Goldsmith] Icon_minitimeMer 3 Avr - 18:59

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La faim justifie les moyens.

« Une journée bien tranquille, et une soirée bien chargée. »
Darren & Belinda

« J'espère donc que cette offre plutôt charitable de ma part, sachant ce que vous avez fait à ma boutique, ne sera pas tombé dans l'oreille d'un sourd, Mh ? » avait-elle fait en haussant un sourcil.

Il avait regardé autour de lui et avait ramassé son couteau, qu'il avait rangé dans sa ceinture. Elle ne craignait absolument pas qu'il lui fasse quelque chose, même si jamais il lui avait pris l'idée de lui sauter dessus et de l'agresser. Elle avait assez des connaissances pour se défendre, alors bon.

« Faussaire vous dîtes ? Sympa, vous n'êtes pas la bonne fi-fille alors. » dit-il en souriant.

Oui, elle n'était pas la petite fifille à ses parents. Être faussaire lui avait apporté bien des services, et elle avait bien fait d'avoir libéré son précepteur de prison avec un bon avocat trouvé par son ami le mafieux. C'est aussi comme ça qu'elle est devenue une voleuse assez réputée en Angleterre. C'est tout autant pour éviter de se faire avoir que pour retrouver sa soeur qu'elle était venue aux USA. Si quelqu'un ne correspondait pas du tout aux critères des femmes modernes normales, c'était bien elle.


« Bon, j'accepte votre offre. Après tout il faut que je me fasse de l'argent » Fit-il en prenant le stylo qu'elle avait posé devant-elle.

Elle se doutait bien que s'il voulait la cambrioler, il avait besoin d'argent. En ce moment, il y avait une forte hausse de criminels, autant qu'il y avait de plus en plus de futurs héros. Que voulez-vous ? C'était la crise. Alors qu'il allait signer, ce qui aurait bouclé cette affaire en deux temps trois mouvements, un portable, qui n'était pas le sien sonna. La sonnerie était une chanson française, Une langue qu'elle ne parlait que très couramment, car elle avait été en France pendant un voyage scolaire pour voir Paris et ses musées en tous genres, mais surtout pour voir le musée du Louvre, et la Joconde.

La célèbre peinture que les plus grands voleurs ont convoitée au moins une fois dans leur vie. Le pire, c'est que personne ne sait s'ils ont l'original, ou juste une copie. Ce qui, restera sans doute sans réponses ni certitudes, vu que si c'était le cas, ils ne le diraient pas aux visiteurs, car non seulement ils pourraient perdre pas mal de touriste, mais pour la retrouver, il aurait fallu un certain courage. Belinda ne l'avait jamais convoitée. Juste admirée, comme une personne normale. Elle respectait quand même les oeuvres de maitres. Un tableau d'une telle valeur ne devait en aucun cas finir entre des mains ignorantes du travail acharné que l'auteur avait fait. Enfin bref, cela lui évoquait pas mal de choses. Il décrocha rapidement, pour éviter, surement, que les voisins se réveillent et viennent jeter un coup d'oeil chez elle, ce qui ne serait pas très top.

« Quoi le small ? » « Hey, tu as dit que tu allais te coucher mais la tu devrais être en forme ? Tu viens en boîte avec nous ? Je suis avec Irvin, Maxwell, John et Kevin. Enfin, on voudrait entrer mais il y a un videur qui veut pas nous laisser passer et... tu connais Irvin, il a voulu le frapper pour s'en débarrasser mais ce mec est dur comme le fer il s'est pété la main tu verrais c'est incroyable ! Bref, il n'y a que toi qui pourrais réussir à nous faire entrer, alors tu viens ? » «... Le small comment te dire... IMPOSSIBLE. La routine. Fric. » « Oh je vois.. en parlant de tes occupations. L'attentat de Météo toujours OK ? » « Oui » répondit-il en s'éloignant d'elle.

Ainsi donc, il était de ce bord-là ? Aller en boîte avec des amis, boire comme des trous et ne se réveiller que tard dans l'après midi ? Pas étonnant qu'il cherchait de l'argent, donc. Les temps sont durs, il est difficile de se trouver un boulot, enfin pour certains. Les fêtards ont aussi la vie dure. Un videur qui était dur comme du fer ? Elle se rappelait vaguement d'un homme du nom de Nikolaï qui était comme ça... Elle l'avait souvent vu avec quelques-uns de ses clients ayant besoin de protection. Apparemment, il était plutôt sollicité pour ses performances et ses années d'expérience dans un autre milieu pas très recommandé. Elle avait fait quelque recherche sur lui, ou plutôt, elle avait demandé a son ami le mafieux d'en faire pour voir ce qu'il en était vraiment, car un garde du corps comme cela, ça cache généralement quelque chose. Et elle avait à moitié raison, mais pour des raisons inconnues, on lui avait fait quitter les milieux sans qu'il ne soit rejeté ou même tué. Il avait vraiment eu de la chance. Son ami lui avait dit que si un membre de sa famille désirait partir, il le tuait. Plutôt radical, mais c'était la loi de la mafia. Maintenant, il allait avoir des différends avec un groupe de petits malins, le pauvre homme. Enfin, ça devait l'occuper.

Par contre... Attentat météo ?... Cela devait certainement parler d'une certaine personne connue... Pas quelqu'un qui parlait de météo bien évidemment, car qui en voudrait à un présentateur de ce genre. La seule personne qui lui venait à l'esprit était Strider, avec son pouvoir assez déroutant qui semblait être bien pratique, de contrôler le temps qu'il faisait. Un attentat donc, contre Strider le légendaire ? En tout cas, il fallait vraiment que ce "small" trouve des noms de code plus compliqués à cerner, parce que Belinda n'avait eu aucun mal à trouver.

« Météo, hein ? Je pense qu'il faudrait revoir sérieusement vos noms de code... Surtout que météo et facilement analysable, et l'ont devine facilement que vous parlez de Strider. » fit-elle en souriant.

Elle connaissait Strider plutôt bien, et lors de quelques-uns de ses vols, elle l'avait croisé. Il ne l'avait toujours pas mise derrière les barraux d'une prison, ce qui était plutôt étonnant, venant d'un légendaire. Mais son pouvoir devait aussi faire son poids. Sans parler du fait qu'ils finiront bien dans un lit a un certain moment. Ce jeu-là est assez dangereux, car si l'un d'eux tombait amoureux, il aurait en quelque sorte perdu. Enfin, être aimé comme cela ne serait pas déplaisant, bien au contraire. Enfin bon, assez pensé sur leurs relations. Il fallait qu'elle boucle tout ça au plus vite, pour retourner se coucher bien sagement... Ou peut-être pas. Si elle ne voulait pas que certains soupçons se posent sur une quelconque fraude, il faudrait appeler la police... Après avoir mis en scène quelques petites choses.

« Je ne chercherais pas à savoir ce que vous lui voulez, si cela peut vous rassurer. » dit-elle en s'appuyant sur le comptoir. « J'aimerais quand même que vous évitiez de prendre trop de temps, car j'ai une petite mise en scène à faire pour que la police croie que vous et moi, nous étions partis en amoureux, ce qui est évidemment faux, et que quand nous sommes rentrés, la boutique était dans cet état-là... Ce qui me permettrait d'en finir au plus vite avec ceci. » ajouta-t-elle en montrant ce que son futur nouvel employé avait fait.

Pour ces pieds, cela risquait de faire quelques peu de preuves contradictoires, mais au cas où elle leur filerait un pot-de-vin. Sybil n'allait pas se laisser avoir si facilement. Et au risque que cela lui semble tiré par les cheveux d'un chauve, il fallait qu'il joue bien son rôle le moment venu.

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MessageSujet: Re: La faim justifie les moyens [Belinda A. Goldsmith] La faim justifie les moyens [Belinda A. Goldsmith] Icon_minitimeSam 27 Avr - 4:36

« Météo, hein ? Je pense qu'il faudrait revoir sérieusement vos noms de code... Surtout que météo et facilement analysable, et l'ont devine facilement que vous parlez de Strider. », lui avait-elle dit.

Il ferma les yeux. Mais quel con ce small putain ! Mais putain...

« J'te laisse le small », déclara-il avant de raccrocher le téléphone.

Il se retourna pour la regarder. On doit l'avouer, l'appel du small l'avait bien refroidi et il ne faisait plus le fanfaron... si jamais cette fille... non non, il faut éviter d’être pessimiste.

« Je ne chercherais pas à savoir ce que vous lui voulez, si cela peut vous rassurer. » dit-elle en s'appuyant sur le comptoir.

Il la fixa. Oui en effet cela le rassurait... mais... Il ne pouvait être sur de le véracité de ses paroles., cette fille pouvait très bien dire cela maintenant et demain lui planter un couteau dans le dos... en même temps... elle était faussaire... donc criminelle, donc ça diminuait les risques quand même...
Il ne fallait en aucun cas que cela ce sache, sinon Darren risquait très gros...

« J'aimerais quand même que vous évitiez de prendre trop de temps, car j'ai une petite mise en scène à faire pour que la police croie que vous et moi, nous étions partis en amoureux, ce qui est évidemment faux, et que quand nous sommes rentrés, la boutique était dans cet état-là... Ce qui me permettrait d'en finir au plus vite avec ceci. », ajouta-t-elle ensuite

« Oui je comprends bien que vous vouliez faire une mise en scène... Mais le coup du jeune couple amoureux ça me dit pas trop... Vous êtes charmante c'est pas la le problème... Mais... On va dire que je viens de rencontrer quelqu'un, alors si elle apprend le casse de la bijouterie et que c'est moi qui joue le rôle du copain... ça risque de jeter un froid sur notre relation avant même qu'elle est commencée... Alors tout ce que vous voulez mais pas le coup du couple... », dit Darren

C'est vrai, il venait à peine de rencontrer Roxane... Il n'allait pas tout gâcher maintenant... Surtout que cette fille... Enfin, c'était la première fois qu'il ressentait quelque chose d'aussi fort avant même qu'il se passe quoique ce soit entre eux... Il y tenait vraiment...

Il s'approcha du comptoir, prit le stylo. Rempli ce qu'il y avait a remplir et signa.

« Voilà », dit-il

Il regarda la jeune femme avec un air plutôt noir

« ... De toute façon, pour ce que vous avez entendu... vous n'avez vraiment pas intérêt de le dire... Sinon, je peut très bien dévoiler aux poulets que vous êtes faussaire », dit-il avec un ton grave.

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MessageSujet: Re: La faim justifie les moyens [Belinda A. Goldsmith] La faim justifie les moyens [Belinda A. Goldsmith] Icon_minitimeSam 4 Mai - 16:53

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La faim justifie les moyens.

« Une journée bien tranquille, et une soirée bien chargée. »
Darren & Belinda

« Oui je comprends bien que vous vouliez faire une mise en scène... Mais le coup du jeune couple amoureux ça me dit pas trop... Vous êtes charmante c'est pas la le problème... Mais... On va dire que je viens de rencontrer quelqu'un, alors si elle apprend le casse de la bijouterie et que c'est moi qui joue le rôle du copain... ça risque de jeter un froid sur notre relation avant même qu'elle est commencée... Alors tout ce que vous voulez mais pas le coup du couple... » expliqua-t-il gravement.

Très bien. Il sera alors son employé et elle modifiera les dates des papiers. Elle aborda un sourire amusé. Il avait donc quelqu'un... Alors, c'était quoi ce petit manège tout à l'heure . Il voulait vraiment jouer au plus malin... Que c'était hilarant. Elle le regarda attentivement signer les papiers, elle les regarda attentivement, en relisant bien, car même pour les employeurs, c'est une chose à faire. Comme ce cher Darren Anderson n'avait pas mi de date, il était facile d'en mettre une fausse. Tiens, falsifions aussi les dossiers sur l'ordinateur... Qui était en haut. Fichtre. Elle irait le chercher juste après. Il la regarda noir avant tout en parlant.

« ... De toute façon, pour ce que vous avez entendu... vous n'avez vraiment pas intérêt de le dire... Sinon, je peut très bien dévoiler aux poulets que vous êtes faussaire » la menaça-t-il.

Oh ? Vraiment ? Elle souriait toujours plus en le regardant dans les yeux. Elle rangeait les papiers dans son tiroir en un claquement sec du bois qui s'entrechoque.

« Même si vous le dites, ils ne vous croiront pas... Mon pouvoir est beaucoup trop enivrant pour certains hommes. Même si vous faites exception à la règle, bien sur. Alors évitez de vous mettre dans ce genre de situation, s'il vous plaît. Et ne me regarder pas comme ça. Vous croyez qu'un regard dur de militaire me fait peur ? Ce n'est même pas drôle. Je fréquentes un mafieux bien plus dangereux qui a l'air très sympathique, mais pour ce qui est du regard noir qu'il vous lance, il n'est d'autant plus effrayant que le vôtre... Ne le prenez pas mal. Et puis s'il vous venait à l'idée de me dénoncer, c'est lui qui enverra ses hommes de main pour vous botter les fesses. Et je l'ai vu tuer des hommes pour beaucoup moins que ça. » répliqua t'elle en étant tout sourire.

Elle n'avait absolument pas peur de Darren. La seule personne qui pourrait lui faire peur, c'était son ami. Personne d'autre, pas même des grands criminels... Les mafieux sont effrayants quand ils s'y mettent. Ils sont très nombreux et ils sont des personnes banales comme tout le monde. C'est très perturbant.

« Bon ! J'espère que vous êtres d'attaque pour jouer la comédie. Je dirais simplement que vous être mon nouvel employé de quelques jours et que, ayant le sommeil plutôt lourd a cause de somnifères je n'ai rien entendu du grabuge et que quand je suis descendue, je me suis écorchée les pieds sur les morceau de verres... Et que je vous ai appelé directement. ça vous va ? Même si c'est non, on va faire ça. J'ai sommeil, moi. » explica t-elle en baillant tout en mettant sa mains devant la bouche. « Et pour le sac de bijoux... Bah ! Je les laisserais dans ma cave en attendant. » fit-elle.

Elle monta dans son appartement au-dessus, prit son ordi portable et son téléphone pour redécendre au rez-de-chaussée, et rengea le sac de bijoux en le lourdant dans les escaliers de la cave. Ils n'allaient pas casser, ils n'étaient pas en sucre. Elle falsifia les documents sur son ordi avant d'appeler la police en jouant la comédie. Les hommes en bleu ne tardèrent pas à rappliquer pour voir l'étendue des dégas. Elle avait revêtu une robe de chambre pour ne pas rester en petite tenue quand elle avait été chercher son téléphone dans sa chambre. Elle était en train de répéter son aventure aux policiers de façon dramatique, en espèrent que ce cher Darren le fasse aussi. Après tout, c'était de ça faute si elle était obligée de perdre du temps sur son sommeil. Quand ils partirent enfin, l'heure était plutôt bien avancée et elle renvoya Darren chez lui, lui donnant les bijoux en lui disant de faire ce qu'il en voulait, finalement. Elle n'avait pas besoin de bijoux invendables, et puis, s'il voulait de l'argent, cela lui suffirait amplement pour les prochains mois. Elle pouvait enfin dormir ! Ce n'était pas trop tôt. Elle retourna avec joie dans son lit en s'endormant presque aussitôt sous la couette.

~FIN~

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