Roxane Swrank
▌LOCALISATION : La Heroes'SUP, dans son appartement,... FC▌SUPER: Blue Fight Girl▌POWER: No▌LEVEL: (17/100)
| Sujet: La prof vous guette! Ven 1 Mar - 7:19 | |
| Swrank Roxane
IDENTITÉ • 35 ans • Pas de surnoms avec les élèves. Mais Roxy pour les intimes. • Françaises mais a acquis la double nationalité. • Professeur de combat à la Heroe's SUP. • Depuis que l'établissement existe.
| | Blue Fight Girl
•Blue Fight Girl •Personnel •Aucun pouvoir •Tout ce qui peut lui tomber sous la main.
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Explication du don ::Aucun pouvoir Explication de l'arme :: La femme a exploitée de nombreuses armes. Enfin celles disponibles sur le marché. Fusils, pistolets, taser,... Néanmoins elle n'a pas touché aux armes de type explosif lorsqu'elle vagabondait dans les rues. Trop dangereux et trop cher.
Les armes dont elle s'équipait étaient des armes à feu, des couteaux, des objets qui se trouvaient sur place ou son corps en lui-même.
Si on demandait à Blue Fight girl son arme préférée, ce serait son fusil hypodermique. Simple à utiliser, pas trop lourd à porter, ne créant aucune blessure à la personne visée. Mesurant 1,10 mètres, pesant 2,3 kilos. Il possède une visée allant de 4 à 50 mètres de distance. Roxane adore la simplicité de cette arme presque non-violente. Bien qu'elle soit destinée aux animaux, elle l'a quelque peu modifiée. En effet les seringues sont dosées au poids moyen d'un être humain. Elle possède plusieurs sortes de seringues de différentes couleurs. Elles sont rangées dans les poches de la ceinture de celle-ci. Celles-ci s'approprient selon l'âge et le sexe de la personne visée. * La seringue verte pour un adolescent de 12 à 18 ans. *La rouge pour une adolescente de 12 à 18 ans. *La jaune pour un homme majeur. *La bleu pour une femme majeure. Un pur délice de ramasser son adversaire quelques mètres plus loin pour le livrer quelques minutes après à la police sans aucune égratinure. Même si comme on le sait, Roxane aime se bagarrer.
HISTOIRE en 30 lignes minimum - Spoiler:
Je dois raconter mon histoire ? Bon et bien allons-y... Je suis née en France à Paris un après-midi de juillet, le 27 exactement. Mes parents m'avaient attendus. Surtout ma mère qui en avait marre du poids qu'elle prenait. Un petit bébé de 2 kilos, avec quelques cheveux roux et des yeux gris. Une vraie merveille d'après mes parents. J'étais calme, sage et souriait à tous ceux qui me prenaient dans leurs bras. J'ai eut une enfance heureuse, je n'ais pas à me plaindre. Mes parents m'aimaient et moi je leur rendait tout mon amour en dessinant de mes oeuvres d'art sur les murs du salon. J'étais une petite fille qui adorait faire tourner en bourrique mes parents. Lorsqu'ils disaient "non" pour moi c'était "oui" et "oui" c'était, bah c'était "oui". J'ai finis par me calmer vers mes 6 ans, au début C.P, mais je reprenais vite mes anciennes habitudes. Je commençais tout juste à travailler, écrire, lire, compter, chanter. J'étais dans les 5 premiers de la classe sur une trentaine d'élèves. J'ai adoré l'école pour les jeux, les copains, les bagarres, les matières. Bon une chose que je détestais c'était les menus à la cantine. Souvent on avait de la langue de Boeuf. Non mais de la langue ! En revanche j'adorais les épinards, les choux-de -bruxelles, le chou fleur, le gratin de courgette . Souvent je récupérais les assiettes de mes camarades et les finissaient à leur place. En gros j'étais une petite fille joyeuse, énergique, adorant les cours.
Au collège mes notes naviguaient autour de 14-16 de moyenne générale. Mes parents étaient fiers de mes résultats mais moins de mon comportement envers mes camarades. En effet, j'adorais me mêler aux bagarres et revenaient souvent avec beaucoup de bleus. Ce qui me fallait environ 4 conseils disciplinaires durant mes années collège. En gros 1 par an. C'est durant l'année de ma troisième que j'avais commencé à me calmer. D'un j'avais trouvé une passion pour l'Amérique. J'avais envie de tenter le rêve Américain. En plus je trouvais leur système ainsi que l'accent de la langue assez plaisant. De deux, mes parents avaient décidés de me canaliser en me faisant faire un maximum de sport. Je pratiquais l'escalade, le judo, la natation. La natation le mercredi après-midi, le judo le matin du samedi et le judo l'après-midi du samedi. Début de la seconde, j'appris 2 semaines après la rentrée qu'on pouvait envoyer des filles aux pairs aux États-Unis durant les vacances. J'en parlais à mes parents qui ne voulaient pas m'y envoyer de suite, prétextant mes études et me demandant d'attendre les grandes vacances. Ce n'est qu'un mois après que j'appris qu'une association pouvait permettre à des jeunes de passer le deuxième et troisième trimestre là-bas. Ne voulant pas gâcher mes chances je préparerais des arguments imparable. C'est ainsi que dès la fin du premier trimestre que je pu rejoindre les États-Unis, sans mes parents, dans une famille d'accueil.
Je passais donc la fin de mes études lycéennes dans le "High School Houton Jones". À 18 ans je décidais de dire à mes parents que je voulais rester aux États-Unis. Ils n'avaient pas si bien accueillis la nouvelle mais finalement l'acceptèrent. Je commençais donc à faire des études dans le but de devenir prof. Vous vous demandez sûrement pourquoi et quand est-ce que je suis devenue une héroïne, une justicière ? Ne vous inquiétez pas, ça va venir. Un jour lors d'une sortie avec des amis, nous avions dû aller à la banque pour prendre un peu d'argent. Pendant qu'un de mes amis était à un des guichets, des hommes qui avaient cachés leur visage grâce à des masques entrèrent. Ils nous avaient menacés de leurs flingues, voulant l'argent de la banque. Il y eut un vent de panique, un moment de silence, puis des cris. Les hommes armés nous avaient demandés le silence et de nous asseoir par terre en restant bien calmes. La plupart des personnes présentes dans la banque avaient obéis. Sauf une personne, celle-ci s'était jetés sur un des hommes masqués, tentant de prendre l'arme des mains du voleur. Malheureusement il ne réussit point et en plus un coup partit. Étant proche d'eux, je reçu cette balle en pleine poitrine. En à peine quelques minutes la douleur ainsi que le sang qui coulait me firent perdre conscience. Je ne repris conscience qu'à l'hôpital. On m'avait informé qu'une personne déguisée s'était introduite dans la banque, avait désarmé les voleurs puis les avaient sortis dehors où attendaient des voitures de police. Il avait aussi appelé une ambulance pour le cas de blessés, moi ainsi que l'homme qui avait tenté de prendre l'arme. Je ne sus jamais qui c'était ni à quoi il ressemblait, il était parti si vite que les journalistes n'avaient pu le filmer ou l'interroger. Cette personne, bien qu'inconnue pour ma part, avait changé ma vie. J'avais réalisé que si j'étais toujours en vie c'était grâce à cette personne. J'admirais cet anonyme qui m'avait sauvé.
Lorsque j'atteingnis mes 20 ans, l'idée de devenir une sorte de justicière me donnait envie. J'avais déjà un job en caisse dans un fast food grâce auquel je pouvais payer ma nourriture et mes factures. Le logement et mes études étaient payés par mes parents. Comme il me restait encore assez d'argent j'avais décidé d'acheter des costumes de super héros. Peu me plaisaient après l'essayage. Pas assez légers, restrictions de la plupart des mouvements, couleurs flash. Mais mon premier costume fut de couleur orange et noir. En ayant ce premier costume j'avais réalisé qu'en tant qu'humaine je ne pouvais pas faire grand chose, à part des prises de judo ou escalader une parcelle de mur ou même sauter sur l'ennemi. Il me fallait une arme pour me défendre. J'avais déjà payé une balle dans le corps, grâce à cette mésaventure je cherchais des costumes qui pouvaient mieux protéger mon corps. Je n'avais pas envie de me retrouver une nouvelle fois à l'hôpital, surtout dans un costume avec l'excuse que "je voulais aider le monde". Comme les armes étaient chères, je me devais de trouver un boulot mieux payé. Je cherchais donc à la recherche d'emplois. J'en trouvais un comme vendeuse. Je quittais donc mon travail à la caisse du fast food pour devenir une vendeuse dans un magasin de vêtements. J'étudiais le lundi,mardi et jeudi, tandis que les autres jours de la semaine je travaillais. En étant vendeuse, j'avais l'avantage de pouvoir ramener certains articles qui n'étaient pas vendus voir inutilisable. Grâce à ce droit, je pouvais créer moi-même différentes tenues, costumes. Je devins une assez bonne couturière durant cette période . J'en retirais d'ailleurs une certaine satisfaction.
L'année de mes 21 ans, je réussissais enfin à me payer une arme. J'avais acheté un droit de port d'arme ainsi qu' un fusil hypodermique et un taser. Je créais donc une ceinture pouvant y contenir le taser. J'avais crée par la suite un outil permettant de transporter mon fusil. J'achetais par la suite des somnifères que je mettais dans les petites seringues de mon fusil. J'enfilais le premier costume (oubliant les protections)par une nuit d'Août. Je parcourais les rues lorsque je vis dans une petite supérette quelques personnes lever les mains en l'air. Mon sang ne fit qu'un tour, je courrais vers le magasin, observant les personnes qui s'y trouvaient: 5 clients, 1 vendeur, 1 voleur. J'entrais silencieusement, refermant la porte avec douceur. Arrivé près de ce voleur, je lui tapotais l'épaule lui envoyant mon poing dans la figure. J'avais demandé aux personnes d'aller dehors et d'appeler la police, ce qu'ils firent sans se faire prier. Le voleur me rendit mon poing, je lui répondais par un bon coup de pieds dans les côtes puis d'une prise de judo. J'avais envoyé son arme valsé, durant mon temps d'inattention, il avait réussit à répliquer. Je me bagarrais avec lui durant un temps qui me parut infini, jusqu'à saisir mon taser et l'utiliser. Ne bougeant plus, je pris une corde d'un des rayon et le ficelait comme un saucisson. Je sortis quelques secondes après avec quelques bleus au visage. Le vendeur m'avait remercié et demandé quel était mon nom avant que je ne parte. “Blue Fight Girl “avait été le nom que je lui avais donné après un instant d'hésitation. J'aimais me battre, j'étais une fille. Bon j'étais habillé d'orange et noir mais j'avais nommée une des couleurs que j'aimais.
Je faisais désormais partie de ces justiciers de la nuit qui luttaient contre les criminels. J'étudiais, travaillais, cousais le week-end et était justicière pendant quelques heures la nuit. J'ai connu des justiciers, fait équipe avec eux, me suis fait des ennemis, eut des alliés et quelques amourettes qui se finirent plus ou moins bien. Et oui les 5 super héros faisaient envie et quelques personnes avaient décidés de faire comme eux, devenir des justiciers.
J' eus mon diplôme de professeur vers mes 25 ans, je fu reçu dans l'Université d'Harvard. J'avais dès lors arrêté mon job de vendeuse qui m'avais bien servi. J'avais plus de temps et avait changé au moins 5 fois de costume, le rendant plus souple, plus léger, plus chaud ou non selon les saisons. Je chômais rarement vu qu'il y avait souvent des vols, agressions, personnes en fuite. J'aidais la police et partais aussi vite que je le pouvais, c'est d'ailleurs durant ces années que je m'achetais ma bonne vieille voiture. Bien entendu j'avais caché les plaques d'immatriculations et y ajoutais des bandes décolables. De cette façon on ne pouvait savoir l'identité du conducteur en question.
J'avais au fil du temps acquéri de nouvelles armes, protection, gilet pare-ball, costumes et surtout de l'expérience dans la manière de me battre. Je savais où cogner, de quelle façon tuer; bien que je n'ais point tué durant ma carrière; tirer sur de longues distances ainsi qu'un petit carnet d'adresses d'amis justiciers. Surtout que j'avais fort sympathisé avec l'un d'entre eux. Nous nous étions rencontré durant vers mes 26 ans, en février. Je l'avais aidé lors d'un combat de rue entre jeunes dealers. Au tout début, il n'avait pas du tout apprécié, prétextant qu'il contrôlait la situation avant que j'intervienne. Dites ça lorsque vous vous retrouvez avec une dent en moins et en pissant du sang par le nez. Nous nous sommes quittés, moi de mauvais poil jurant de ne plus venir l'aider, lui avec mauvaise conscience. Nous nous sommes revus par hasard dans une rue fin février de la même l'année. Il m'avait abordé en me disant qu'il voulait se faire pardonner. Il m'invitait donc à manger un kebab sur un toit qu'on pouvait accéder grâce aux escaliers de l'extérieur. Je l'avais pardonné et avait trouvé en lui un futur partenaire de nuit. Je le voyais quelques nuits et je l'accompagnais durant quelques heures. Puis nous nous sommes fixés des rendez-vous pour arpenter les ruelles ensemble. Après quelques relations amoureuses nous nous sommes vraiment regardés et avons éprouvés des sentiments l'un envers l'autre. En juin aux alentours de 29, je suis sorti avec lui. Ce fut une révélation pour moi, un petit cocon m'enveloppait, je subissais la maladie d'amour.
Lors de mes 31 ans, durant une course poursuite à pieds , j'avais intercepté un meurtrier, bloqué par un mur. Je lui avais demandé à ce qu'il se rende. Il aurait pu se rendre si son partenaire n'était pas arrivé derrière moi me cassant deux côtes, m'amochant bien. Par chance, mon compagnon qui passait par là vint m'aider. Il livra les deux compères aux policiers et m'emmena chez lui pour me soigner. Je me rétablissais quelques semaines après et j'avais décidé d'arrêter pendant un temps mes visites nocturnes. Il fallait bien l'avouer, j'aurais bien pu y passer si on ne m'avait pas aidé.
Vers mes 31 ans, j'appris l'existence d'un directeur au nom de Damage Greem qui avait le projet de créer une école pour super-héros. L'idée me paraissait bien intéressante, de plus école voulait dire professeur. J'avais un diplôme pour prouver mon statut, acquis de l'expérience durant mes d'enseignement. Et surtout j'avais été une justicière. Qui mieux qu'une personne ayant déjà pratiqué ce métier pouvait y apporter son savoir en cette matière ? J'envoyais donc un CV au directeur pour lui proposer mes services. Je lui décrivais mon diplôme ainsi que mon passé de “Blue Fight Girl “. Je lui proposais de nous voir s'il était intéressé par mon C.V. et de discuter sur la Heroe's SUP qui m'intriguait fortement.Après la visite de l'établissement scolaire, de multiples discussions, explications sur la Heroe's SUP, j'exprimais mon désir d'intégrer cette école. Ayant parlé de mon expérience au combat, le directeur me proposa le poste de professeur de combat. N'ayant pas touché à toutes les armes existantes j'hésitais quelques peu mais accepta d'être parmi eux lors de la rentrée de ces héros. C'est donc à mes 32 ans que j'accueillais mes premiers élèves qui voulaient devenir des héros et que je me séparais de 3 ans de relation amoureuse. J'étais triste mais je le cachais à mes élèves. Je m'épanouissais dans mon poste de professeur de combat, j'étais heureuse de partager mon expérience et mes connaissances sur cette matière.
J'ai actuellement 35 ans et ça fait 3 ans que j'enseigne à la Heroe's SUP en tant que professeur de combat. Vous vous demandez ce qu'il est advenu de mon costume ? Et bien je le reprends quelques fois. Je fais toujours autant de sport: escalade le lundi soir, judo le mardi soir, boxe le mercredi ainsi qu'un petit footing le matin avant de me préparer pour les cours. Le soir je construis mes cours, corrige les exercices et les contrôles. Je n'ais toujours rien dit sur "Blue Fight Girl" à mes parents.
Son caractère: Sa débordante énergie lui a coûté de nombreux avertissements et conseils disciplinaires. Elle a de l'énergie à revendre, ça c'est sûr. Courir, bondir, bouger ! Le sport c'est super, ça permet de se défouler, de se détendre, de s'occuper et de veiller à la forme de son corps. À chaque fois qu'une bagarre se faisait, elle s'y joingnait. On l'appelait pour se battre, pas de problèmes, elle arrivait de suite! Maintenant comme celle-ci est une prof elle essaye d'arrêter de se battre et de stopper les batailles entre élèves qui se battraient. Il faut bien qu'elle donne l'exemple. Même si parfois, elle s'autorise une petite baston. Chassez le naturel et il revient au galop comme le dit si bien le dicton.
Vous l'embêtez bien méchamment, la faisant tourner en bourrique? Faites attention, elle pourrait très bien surgir devant vous et se venger. D'ailleurs elle n'oubliera pas le tour que vous lui aurez fait subir. Une p'tite blague de temps en temps ne fait de mal à personne. D'ailleurs ça allonge la durée de la vie. Rire c'est la vie, sans le rire on s'ennuyerait. C'est une grande fan des humoristes. Vous voulez être son ami ? Faites une p'tite blague, espérez qu'elle rit et c'est dans la poche dans la plupart des cas. Un grand mot qui la définirait serait sa gourmandise. Vous pourrez lui parler de nourriture et vous échangerez peut-être bien des recettes. Vous lui cuisinez un excellent dîner ? Elle vous adorera pendant longtemps. D'ailleurs si un jour vous lui faites une crasse, un conseil, vous pourrez vous faire pardonner d'un pardon et d'un bon repas.
Envie de vous poser, de faire confiance à quelqu'un ? Elle ne vous trahira pas, soyez- en sûrs. Vous vous retrouvez dans la rue, sans un sous ? Si vous êtes son pote vous pourrez l'appeler elle répondra présente pour vous héberger un temps. Vous le confiez un secret top défense ? Pas de problèmes elle le gardera pour elle. Sauf si votre sécurité ou votre santé en dépendent.
Exigeante, autant avec elle-même qu'avec ses élèves. Elle veut qu'ils fassent des efforts, qu'ils réussissent, qu'ils montrent leurs capacités au maximum! Elle donnera conseils, exercices à l'élève qui lui demandera de l'aide. C'est aussi bien réciproque pour son cas. Elle ira jusqu'au bout de l'exercice et essayera de faire son maximum pour atteindre les objectifs qu'elle se sera fixé.
Un élève a triché ? Qu'il soit puni! Hop, 50 tours de terrain! Au moins ça lui fera les pieds! C'est ainsi que voit notre (jeune) femme la justice. Les personnes qui n'obéissent pas aux règles doivent être punis. Si des lois sont crées c'est dans le but de les respecter. Elle sera intraitable là-dessus. Si vous faites une bêtise, vous devrez la réparer. Elle y veillera, soyez-en sûr.
Le maquillage, très peu pour elle. Autant que les trucs bling-bling et j'me donne en public. Le naturel c'est mieux, on voit réellement la personne comme elle est. Pas la peine de l'emmener dans un restaurant très cher, elle s'en fiche ou plutôt elle préfère boire un café avec un ami, c'est mieux pour papoter tranquillement. On remarque aussi dans sa matière que ses cours sont compréhensibles et accessibles à qui le veut.
Relations: Bien qu'elle en ait fait bavé à ses parents, ils ont une bonne relation, elle leur envoit un mail tous les mois pour leur donner des nouvelles. Mais ils ne savent pas qu'elle est professeur de futurs héros. Ils l'imagent prof d'un lycée normal. Elle pense que ça ne les regarde pas autant que sa vie amoureuse. Enfin, si, lorsqu'elle décidera de se marier ou d'avoir un enfant avec la personne. Là elle les préviendrait,normalement.
Roxane a eut du mal à se faire des amis au début de sa scolarité. C'est sûr qu'un poing dans la figure comme bonjour n'était pas la meilleure tactique. Et puis elle s'est améliorée au fil du temps, elle a commencé à parler, trouver des centres d'intérêts , joué, sorti avec diverses personnes pour s'amuser. Elle a commencé à trouver de très bons amis, en a perdu certains, retrouvé d'autres.
L'amour, un bien grand mot. Elle l'a touché, utilisé, elle en a bavé. Et il revient lui rendre visite quelques fois. L'état amoureux chez elle est très voyant: bégaiements, joues qui rougissent, sourire béat, souvent dans ses pensées. Ils seront présents devant cette personne. Elle n'osera pas avouer ses sentiments à cette personne tellement elle en aura peur et essayera de l'éviter. Si elle la croise, elle baissera ses yeux jusqu'à ses chaussures . Étant pansexuelle la jeune femme est tombée amoureuse d'hommes et de femmes au long de sa vie. Ses relations amoureuses n'ont pas souvent durées, vu qu'elle était occupée à lutter contre le crime. Seulement 5 relations ont durées plus de 3 mois. La dernière en date s'est terminée lors de ses 32 ans par une nuit froide d'hiver. 3 ans de passion, d'amour avec un homme luttant avec elle la nuit. Ils se sont séparés pour cause de distance. Son compagnon avait reçut une promotion et devait aller travailler en Italie. Ce fut un adieu déchirant pour les deux amoureux. Elle n'a plus eut de nouvelles depuis un long moment.
La jeune femme organise ses cours durant son temps libre. Elle tente de faire un cours simple, court et compréhensible. Elle anticipe les éventuelles questions que pourraient lui poser les étudiants. Avec ses collègues elle est amicale, serviable envers eux, discute de banalités. Avec ses élèves elle est exigeante et juste. Elle les pousse à donner le meilleur d'eux-mêmes.Comme elle est professeur de combat elle enseigne la théorie et la pratique. Elle se montre très présente lors de séances où les élèves s'entraînent avec des armes dangereuses car elle sait qu'elles sont très dangereuses. Par contre elle n'aime pas lorsque sa classe chahute trop et ne parle pas du cours mais du dernier vernis à la mode. Dans ce cas, elle aime sous-entendre le fait qu'un contrôle surprise pourrait être de la partie dans les prochaines secondes à venir.
| Fidèle Exigeante Juste Simple Drôle Sportive Tolérante Bonne joueuse Mature
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Bagarreur Dynamique Gourmande Irritable Rancunière A du mal à mentir Altruiste Économe Mystérieuse
| Couleur de peau ::Elle a une couleur de peau assez blanche. Couleur d'yeux ::De beaux yeux Gris voir bleus. Couleur de cheveux :: Elle possède une longue chevelure aux tons châtains-roux descendant jusqu'à ses hanches.
| Taille ::Elle mesure 1 mètre56. Et oui c'est une petite femme! Corpulence ::Une silhouette plutôt normale, ni trop fine ni trop grosse. Elle pèse 50 kilos. Traits particuliers :: Aucun en particulier. | Si vous deviez avoir ::Un costume :Au tout début la jeune femme avait eut du mal à choisir. Elle essaya plusieurs tenues avant d'adopter un costume définif. Mais finalement elle se décida pour des habits bleus foncés pour éviter de se faire repérer et légers pour pouvoir se mouvoir. Il fallait qu'ils soit agréable, facile et simple. Un simple masque noir lui permettant de garder un certain mystère sur son identité. Elle porte un gilet pare-balle,par-dessus celui-ci un haut noir foncé couvrant ses bras jusqu'à ses poignets, ainsi qu'un sweat bleu avec une capuche. Une ceinture qui entoure sa taille avec quelques poches pour pouvoir y mettre de petits objets plus ou moins utiles. Un début de collant bleu caché par short noir allant jusqu'à ses genoux. Puis ses pieds se chaussent de chaussures de gym noir. Un moyen de transport :http://karscom.fr/pictures/3716f4daa25b996c5cbd94d77558cc59.jpgVolkswagen Minibus 8 places. Bien que Roxane soit célibataire elle aime ces grandes voitures où l'on peut tout transporter. Utile pour les déménagements, les grosses commissions ou le transport de diverses armes. Un gadget :Aucun gadget. Elle utilise surtout des armes. Une phobie/peur : Elle est Emétophobique. Elle a aussi peur d'avouer ses sentiments amoureux à son futur amoureux/amoureuse. Un pire ennemi: quelqu'un, quelque chose que tu évites ? Les huissiers,les ennemis qu'elle a rencontré lorsqu'elle était justicières, certains ex. Elle haït les langues de boeuf. Qui êtes-vous ::Fumeur :Fumer c'est mauvais pour la santé d'après Roxane. Buveur : (...Quoi.) Elle boit rarement, mais elle se permet un petit écarts lors de fêtes. Manie :Aucune en particulier. Sport pratiqué :Elle a pratiqué de nombreux sports. En ce moment elle pratique de la boxe, de l'escalade, du judo et du footing. Musique pratiqué/instrument :Non bien que le piano la tente. Bosseur ou glandeur dans l'âme :Bosseur, sinon elle ne serait pas professeur. Célibataire/en couple/c'est compliqué :Célibataire Orientation sexuelle : Pansexuelle: Ce qui veut dire qu'elle peut tomber amoureuse d'une personne ou éprouver du désir autant pour une personne du même sexe qu'elle ou de l'autre. Elle se fiche du sexe de la personne. |
| AVATAR :: Makise Kurisu de Steins Gate SURNOM :: Roxy ÂGE :: 17 ans DC ::Yep c'est Rosy PLUS ::Le nouveau design est superr :D CODE :: Suite à de nombreuses plaintes il est dorénavant obligatoire de terminer son assiette. Même si on vous sert du ragout d’algue mariné dans de la cervelle de maquereau. *clin d’œil, coup de coude *Par contre, vous devrez chaque mois offrir une nouvelle paire de poulpo-ventouses à nos chers-admins. *clin d’œil, coup de coude*
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